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Brèves
Lancement PAACX - Enquête sur les Perceptions, Attitudes et Attentes vis-à-vis du Chemsex
AIDES (association de lutte contre le sida et les hépatites) et l’équipe SanteRCom (SESSTIM – UMR 1252) mènent actuellement une étude nationale, financée par l’ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales), sur le chemsex c’est-à-dire l’utilisation de substances psychoactives en contexte sexuel. Cette enquête porte sur les Perceptions, attitudes et attentes vis-à-vis du chemseX de l’ensemble des acteurs concernés (PaacX).Votre coopération est sollicitée afin d'informer les personnes potentiellement concernées par le chemsex de l'enquête PAACX. Les objectifs principaux de l’étude sont de :
- mieux appréhender les profils de (ex-)chemsexeurs, avoir une meilleure connaissance des spécificités du chemsex sur le territoire national, de l’hétérogénéité des pratiques et des usagers et de leur rapport singulier à l’usage du chemsex, du point de vue des chemsexeurs eux-mêmes et des intervenant.e.s (professionnel.le.s de santé e
Contre le sida, ces autotests de dépistage ont été distribué "illégalement"
SANTÉ - À la veille de la journée mondiale de lutte contre le SIDA qui a lieu ce dimanche 1er décembre, l’association ActupienNEs a distribué dans les rues de Paris plusieurs sacs contenant préservatifs et autotests de dépistage du VIH dans la rue, comme le montre la vidéo en tête d’article.Mais si ces autotests, qui fonctionnent à partir d’un autopiqueur, sont disponibles à la vente dans les pharmacies (ils coûtent une vingtaine d’euros), ils ne peuvent être distribués gratuitement. C’est ce que reprochent plusieurs associations de prévention comme ActupienNEs, qui aimeraient les rendre plus accessibles.“Nous n’avons pas le droit de distribuer des tests gratuitement et c’est la deuxième année que nous nous adressons aux parlementaires mais on ne voit pas de résultats”, explique une membre de l’association. “Donc on a décidé de distribuer des autotests du VIH aujourd’hui pour sensibiliser les Parisi
Lutte contre le VIH/SIDA : le projet HIV Free officiellement lancé à l'ouest du Cameroun
source : Initié par la Cameroun Baptist convention health service, le projet HIV Free West a pour but d'étendre l'accès aux soins de qualité durable de prévention et de prise en charge du VIH/SIDA dans les formations sanitaires afin d'atteindre le contrôle de l'épidémie d'ici septembre 2020.
Projet HIV Free : lutter contre l'épidémie de VIH dans un pays très touchéLe Cameroun est le deuxième pays avec la prévalence du VIH la plus élevée en Afrique de l'ouest et centrale. Dans la population générale, la prévalence du VIH est passée de 5,3 % en 2004 à 3,4 % en 2018. Pour atteindre le contrôle de l'épidémie à VIH, le Cameroun a adopté les objectifs 90-90-90 de L'ONU SIDA en 2020. Selon l'enquête CAMPHIA de 2017-2018, les performances au Cameroun sont les suivantes : Ist 90:56%, 2e 90:93% et 3e 90:80%.Un an après,les performances sont: 1e 90:68%, 2e 90:90
La PrEP, le traitement préventif contre le VIH, adoubée par les experts du monde entier
Source : europe1.fr Pour toutes les autorités sanitaires et les spécialistes du Sida de la planète, réunis à partir de dimanche Mexico, le traitement préventif contre le VIH, la PrEP, doit faire partie des outils de prévention du Sida, au même titre que le préservatif.
Mexico va accueillir du 21 au 24 juillet la dixième conférence IAS 2017, l'une des plus grande conférence scientifique sur le Sida. Un événement majeur qui se déroule tous les deux ans et regroupe tous les chercheurs et médecins du monde entier qui travaillent sur cette maladie. Le sujet de cette conférence
Toutes les innovations et les défis à relever pour les années à venir seront au centre des discussions. Et cette année, pour l'ouverture du congrès ce dimanche, l'OMS va prendre position pour la première fois sur l'intérêt de la PREP, le traitement préventif contre le VIH, qui est déjà disponible en France et rembo
40 ans de sida : «Je suis vivant, mais une partie de moi est morte», témoigne Maxime, rescapé de l’épidémie.
Source : Le Parisien40 ans de sida : «Je suis vivant, mais une partie de moi est morte», témoigne Maxime, rescapé de l'épidémie Il y a 40 ans, le 5 juin 1981, les autorités médical es américaines alertaient sur une maladie qui allait devenir le sida. Maxime Journiac a contracté le virus un an plus tard. Il a accepté de nous raconter quatre décennies de combat.«Je ne suis pas indemne. C'est un traumatisme au-delà de tout», explique Maxime, 67 ans, atteint du VIH depuis 39 ans. LP/Philippe LavieillePar Yves LeroyLe 4 juin 2021 à 14h5« Bob est mort dans mes bras en juin 1986. C'était l'amour de ma vie, je suis veuf depuis. » Maxime Journiac a 67 ans aujourd'hui. Il est un survivant - même s'il n'aime pas ce terme - des premières années du sida. Une maladie évoquée pour la première fois il y a 40 ans jour pour jour.Ce Parisien a contracté le VIH « entre 1981 et 1983, aux Etats-Unis », dans la v
Quelle application choisir pour faciliter son suivi de la prophylaxie pré-exposition (ou PrEP pour les intimes) ?
Source : tetu.com Que l’on opte pour le protocole de prise en continu ou celui de prise à la demande, l’aide d’une application sur son téléphone peut permettre de mieux suivre son traitement PrEP. Tout en levant l’inquiétude d’oublier une prise de cachets.C’est l’un des outils les plus prometteurs dans la lutte contre le VIH. La prophylaxie pré-exposition (ou PrEP pour les intimes) est un traitement qui vise à prévenir la transmission du virus. Il destiné aux personnes séronégatives ayant des rapports à risques.
Deux protocoles existent : la prise en continu et la prise à la demande. Dans le premier cas, une simple alarme sur son téléphone peut suffire à ne pas oublier de prendre son cachet quotidien. Dans le deuxième cas, le mode de prise est un peu plus compliqué. Ce qui peut favoriser les oublis. L’aide d’une application mobile est donc la bienvenue.
Quel que soit votre votre mode de pri
Génériques et mention «non substituable»: des changements et des restrictions au 1er janvier 2020
source : vih.org
Depuis le 1er janvier 2020, la prise en charge des médicaments a évolué dans le but de favoriser encore plus le recours aux génériques. Désormais, si un substitut générique existe, les patients devront avancer le prix du princeps pour l’obtenir, et ne seront remboursés que partiellement à hauteur du prix du générique.Jusqu’à présent, il suffisait que le médecin précise «non substituable» sur l’ordonnance, écrit de sa main, pour que le patient puisse obtenir et se faire rembourser le médicament princeps. Ces conditions de prescription et de prise en charge ont changé au 1er janvier 2020. De nouvelles règles relatives à la mention « non substituable » entrent en vigueur à cette date. Elles découlent de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 (article 66) qui a modifié les articles L. 5125-23 du Code de la santé publique et L. 162-16 du Code de la sécurité sociale. L’
La Prep et les communautés trans : des obstacles spécifiques
Source : Seronet.info Le parcours de Prep pour les personnes trans doit être intégré à une offre plus globale de santé et pas seulement se limiter au VIH, pour l'accueil spécifique des communautés. Des articles de la littérature scientifique tendent à aller en ce sens.Dans un écrit publié dans le Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes, sur les connaissances et le recours à la Prep chez les femmes trans noires et hispaniques aux États-Unis, l’étude souligne que ce n'est pas tant le défaut de connaissance de la Prep qui est à l'origine de son faible recours, que d’autres facteurs. Au sein de ces communautés...
Des facteurs socio-économiques, comme l’accueil discriminant et l’offre de santé peu adaptée et inclusive et surtout des craintes liées au traitement ont un impact important. Alors que 80 % des participantes interrogées connaissaient la Prep et que 75 % aimeraient (ou auraient aimé) y avoir recours pour évit
VIH : un manque d'empathie de la part du corps médical peut pousser le patient à arrêter son traitement
Source : ladepeche.frDe nombreux patients sont victimes de stigmatisation et d'un manque de compassion de la part des prestataires de soins. Une nouvelle étude montre que les personnes séropositives sont plus susceptibles de poursuivre leur traitement si le personnel médical qui les suit ne porte pas de jugement et implique le patient dans la prise de décision.Grâce au développement des traitements antirétroviraux, les personnes séropositives peuvent désormais vivre de nombreuses années avec le virus du sida et avec une charge de virus indétectable, c'est-à-dire qu'elles ne peuvent pas le transmettre à d'autres personnes. Séropositivité et inquiétudes
Mais la complexité de la maladie et le caractère invasif du traitement peuvent parfois décourager le patient. Sans compter que la peur de la stigmatis
Vaccin contre l’hépatite B, une protection qui dure !
source : Jim.fr (abonnés)Le vaccin contre l’hépatite B, disponible depuis le début des années 1980, a permis de faire reculer l’incidence des infections aiguës et chroniques même si les chiffres restent encore impressionnants avec en 2016, 292 millions de personnes (3,9 % de la population mondiale) infectées par le virus de l’hépatite B (VHB) et près de 900 000 décès.La durée de la protection après la vaccin (immunisation contre l'antigène de surface de l'hépatite B –AgHBs) n'est pas exactement connue. L'OMS ne recommande pas un rappel chez les enfants et adultes immunocompétents correctement vaccinés.Une équipe a voulu évaluer l’efficacité du vaccin après 20 à 30 ans. Leur étude a pris place dans 2 pays où l'endémicité du VHB est faible (séroprévalence estimée : 0,60 %-0,68 % en Belgique et 0,60 %-0,76 % au Canada). Ainsi, entre le 11 octobre 2016 et le 1er mai 2017, ont été recrutés 101 patients âgés de 40 à 60 ans ayant reçu trois ou quatre