Notre actualité
Brèves
Vivre avec le VHC : étude de validation d’un questionnaire
Les nouveaux traitements contre l’hépatite C commencent à être proposées aux patients séropositifs au VHC. Dans ce contexte, une équipe de chercheurs menée par Martin Duracinsky, médecin et chercheur à l'hôpital de Bicêtre, aimerait recueillir le ressenti des patients sur la vie avec le virus de l’hépatite C et sur la vie avec ces traitements afin de pouvoir valider un questionnaire international qui permettra d’analyser et d’améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus de l’hépatite C. Cette étude est menée en partenariat entre l’EA 7334 REMES - Recherche Clinique Coordonnée Ville-Hôpital, Méthodologies et Société (ED 393) - Unité de Méthodologie des critères d’évaluation (Patient-Reported Outcomes) - Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris-Cité représentée par le Dr Martin DURACINSKY, médecin et chercheur à l'hôpital de Bicêtre, spécialiste des échelles de qualité de vie, et le Collectif Hépatites Virales (CHV). Vous êtes porteur de l’hépatite C et vous souhaitez
Seniors - Appel à témoignages
Vous vous reconnaissez comme "senior", vous êtes séropositif(ve) contaminé(e) récemment ou depuis de longues années, votre témoignage nous intéresse.Quelles sont vos perceptions, vos représentations concernant l’avenir, compte tenu de votre avancée en âge ? Quels sont vos projets et choix de vie pour cette période à venir ? Nous aimerions recueillir votre point de vue au cours d’un entretien téléphonique anonyme où vous pourrez exprimer ce qui vous tient le plus à cœur sur ce sujet. De nombreux thèmes peuvent être prétextes à se projeter dans cet « avenir » en communiquant votre expérience et ressenti. Citons par exemple l’évolution de vos ressources financières et de votre mode de vie, l’état de santé, les liens affectifs et ceux de votre réseau social, la sexualité, l’estime et la confiance en soi, vos activités… Votre témoignage, recueilli anonymement par téléphone au cours d’un entretien, servira à un récit mis en forme et restitué sur notre si
Bienvenue sur le nouveau site d'Actions Traitements
Nous sommes heureux de vous accueillir sur le nouveau site Internet de notre association. Conçu pour être un portail d'informations fiables et mises à jour, il est destiné aux personnes vivant avec le VIH, ainsi que ceux qui les accompagnent, et concentrera en un seul point sur Internet, sous une forme moderne et aérée, toute l'information produite par notre association. Notre objectif est également de faciliter l'accès à tous nos services et tous nos outils d'information thérapeutique, pour la plupart mis à jour à l'occasion de la refonte de ce site. Bonne lecture !
Indétectable = Intransmissible : l'avis suisse a 4 ans
À l’époque, on avait parlé de pavé dans la mare. Avec le recul, c’était une petite bombe. L’avis suisse sur l’effet préventif des traitements (charge virale indétectable = quasi-suppression du risque de transmission) vient de fêter ses quatre ans. L’occasion de revenir sur l’accumulation d’éléments qui a fait d’une déclaration polémique une évidence scientifique.
SAINT-LOUIS : FIN D’UNE FORMATION SUR LA CARTOGRAPHIE DE VULNÉRABILITÉ AU VIH
source : APS Saint-Louis, 12 oct (APS) – Un atelier international de formation en cartographie locale de la dynamique de vulnérabilité au Vih-Sida en Afrique de l’ouest, s’est achevé vendredi à Saint-Louis (nord), a constaté l’APS. Une formation vih pour les professionnels L’atelier de formation destiné notamment à des formateurs de haut niveau a été clôturé en présence du professeur Cheikh Tidiane Ndour, chef de la division Vih-Sida au ministère de la Santé et de l’Action sociale, ainsi que du recteur de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB). Dans son adresse à la clôture de la rencontre, le professeur Ndour a souligné l’importance de ladite formation dans le ciblage des différentes catégories de personnes touchées par le virus, les personnes vulnérables généralement difficiles à localiser, les travailleurs du sexe, les détenus, les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes. Le Sénégal s’est engagé à atteindre les objectifs déclinés sous le terme ‘’ trois 90’’
Microbiote vaginal, papillomavirus et cancer du col, un ménage à trois
Source : jim.fr L’infection persistante par un papillomavirus à haut risque (HPVhr) peut provoquer une dysplasie cervicale et un cancer du col. Des études récentes suggèrent qu’il existe un lien entre la composition du microbiote vaginal, l’infection à HPV et son évolution vers la dysplasie et le cancer.Le microbiote vaginal, chez la plupart des femmes, est composé de lactobacilles qui créent un environnement protecteur contre le développement des bactéries exogènes et des virus en produisant de l’acide lactique, des bactériocines et des biosurfactants. Les perturbations du microbiote vaginal à l’origine de la vaginose bactérienne sont caractérisées par la disparition des lactobacilles au profit de bactéries anaérobies, et sont associées à certaines complications de la grossesses et inflammations pelviennes. Infections vaginales
L’infection à HPV, la plus fréquente des infections sexuellement transmissibles, guérit spo
Quel est l’impact chez un adulte, de passer de l’inactivité à 150 minutes d'activité physique par semaine en 5 ans ?
Source : Univadis.fr Une étude prospective de cohorte menée sur plus de 170.000 personnes-années montre que :- L’augmentation sur le long cours de l’activité physique diminuerait la mortalité et ce quel que soit le niveau initial d’activité physique.
- Passer de l’inactivité à un niveau d’activité physique modérée à intense de 150 min/semaine (recommandations OMS) réduirait la mortalité toutes causes de 24%, la mortalité cardiovasculaire de 29% et la mortalité par cancer de 11%.
- L’activité physique serait bénéfique même chez ceux ayant une maladie cardiovasculaire ou un cancer. Que dire à vos patients ?
Atteindre et maintenir le minimum d’activité physique requis par les recommandations (150 min/sem) diminuerait le risque de mortalité de 46% par rapport à l’inactivité. Chez les sujets d’âge moyen ou âgés, et même en cas de cancer ou de maladie cardiovasculaire, il existe un réel bénéfice à pratiquer une activité physique et il n’es
IAS2019: Un Médicament Anti-VIH Révolutionnaire Sans Danger Pour Les Femmes En Âge De Procréer
Source : News-24.fr Ce médicament novateur contre le VIH est sans danger pour les femmes qui souhaitent tomber enceinte. Après un examen ayant montré que le risque de malformations congénitales est inférieur à celui que l'on pensait initialement.L’Organisation mondiale de la santé a mis à jour ses directives pour le médicament contre le dolutégravir (DTG). Ce médicament contre le VIH a désormais pour recommandation d'être administré à tout le monde, y compris aux femmes en âge de procréer. Médicament, femmes et désir de grossesse
L’année dernière, l’OMS a déclaré que les femmes qui souhaitent devenir enceintes ne devraient pas prendre ce médicament. Et ce, après une étude menée au Botswana – le premier pays d’Afrique subsaharienne à avoir introduit le médicament. Cette étude a découvert un nombre plus élevé que prévu de bébés nés avec des anomalies du tube neural, problèmes de la colonne vertébrale et du crâne qui survie
VIH : un rapport de la Cour des comptes contre le ronronnement ambiant
Source : liberation.fr Quel dommage que la Cour des comptes se montre aussi «polie» dans son rapport sur «la prise en charge et la prévention du VIH», réalisé à la demande du Sénat, et rendu public la semaine dernière.En effet, vu la situation médiocre de la France qui s’habitue, bon an, mal an, à ses 6 000 nouveaux diagnostics par an, on rêvait que les magistrats de la rue Cambon s’énervent, mettent les pieds dans le plat et bousculent cette gestion pépère que l’on a depuis quelques années de l’épidémie. Le résultat est en demi-teinte.
Certes, la Cour est critique, pointant une politique manifestement dépassée, mais ce énième rapport a été présenté de façon bien discrète. Mesuré et diplomatique, sans mot de trop, il risque de ne pas provoquer de changements. D’ailleurs le ministère de la Santé s’est bien gardé de réagir.
Comme souvent en matière de santé publique, les autorités sanitaires
Encore trop de discriminations liées au VIH
source : Onusida Au début de l'épidémie de VIH, la stigmatisation et la discrimination généralisées des personnes présentant un risque élevé d'infection au VIH ainsi que de celles vivant avec le virus ont pratiquement paralysé la riposte au sida.
Cette forme de discrimination empêche en effet ces personnes d'accéder aux services du VIH dont elles ont besoin pour rester en bonne santé, tout en affectant parfois leurs revenus et leur subsistance, ainsi que de nombreux aspects de leur vie.
Dans un nombre bien trop élevé de pays, les comportements discriminants envers les personnes vivant avec le VIH restent monnaie courante. Des études récentes menées auprès de la population de 26 pays révèlent que 16,9 % des 15-49 ans en Afrique du Sud et jusqu'à 80 % en Guinée adoptent une attitude de discrimination envers les personnes vivant avec le VIH.