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La PrEP, le traitement préventif contre le VIH, adoubée par les experts du monde entier
Source : europe1.fr Pour toutes les autorités sanitaires et les spécialistes du Sida de la planète, réunis à partir de dimanche Mexico, le traitement préventif contre le VIH, la PrEP, doit faire partie des outils de prévention du Sida, au même titre que le préservatif.
Mexico va accueillir du 21 au 24 juillet la dixième conférence IAS 2017, l'une des plus grande conférence scientifique sur le Sida. Un événement majeur qui se déroule tous les deux ans et regroupe tous les chercheurs et médecins du monde entier qui travaillent sur cette maladie. Le sujet de cette conférence
Toutes les innovations et les défis à relever pour les années à venir seront au centre des discussions. Et cette année, pour l'ouverture du congrès ce dimanche, l'OMS va prendre position pour la première fois sur l'intérêt de la PREP, le traitement préventif contre le VIH, qui est déjà disponible en France et rembo
40 ans de sida : «Je suis vivant, mais une partie de moi est morte», témoigne Maxime, rescapé de l’épidémie.
Source : Le Parisien40 ans de sida : «Je suis vivant, mais une partie de moi est morte», témoigne Maxime, rescapé de l'épidémie Il y a 40 ans, le 5 juin 1981, les autorités médical es américaines alertaient sur une maladie qui allait devenir le sida. Maxime Journiac a contracté le virus un an plus tard. Il a accepté de nous raconter quatre décennies de combat.«Je ne suis pas indemne. C'est un traumatisme au-delà de tout», explique Maxime, 67 ans, atteint du VIH depuis 39 ans. LP/Philippe LavieillePar Yves LeroyLe 4 juin 2021 à 14h5« Bob est mort dans mes bras en juin 1986. C'était l'amour de ma vie, je suis veuf depuis. » Maxime Journiac a 67 ans aujourd'hui. Il est un survivant - même s'il n'aime pas ce terme - des premières années du sida. Une maladie évoquée pour la première fois il y a 40 ans jour pour jour.Ce Parisien a contracté le VIH « entre 1981 et 1983, aux Etats-Unis », dans la v
Quelle application choisir pour faciliter son suivi de la prophylaxie pré-exposition (ou PrEP pour les intimes) ?
Source : tetu.com Que l’on opte pour le protocole de prise en continu ou celui de prise à la demande, l’aide d’une application sur son téléphone peut permettre de mieux suivre son traitement PrEP. Tout en levant l’inquiétude d’oublier une prise de cachets.C’est l’un des outils les plus prometteurs dans la lutte contre le VIH. La prophylaxie pré-exposition (ou PrEP pour les intimes) est un traitement qui vise à prévenir la transmission du virus. Il destiné aux personnes séronégatives ayant des rapports à risques.
Deux protocoles existent : la prise en continu et la prise à la demande. Dans le premier cas, une simple alarme sur son téléphone peut suffire à ne pas oublier de prendre son cachet quotidien. Dans le deuxième cas, le mode de prise est un peu plus compliqué. Ce qui peut favoriser les oublis. L’aide d’une application mobile est donc la bienvenue.
Quel que soit votre votre mode de pri
Génériques et mention «non substituable»: des changements et des restrictions au 1er janvier 2020
source : vih.org
Depuis le 1er janvier 2020, la prise en charge des médicaments a évolué dans le but de favoriser encore plus le recours aux génériques. Désormais, si un substitut générique existe, les patients devront avancer le prix du princeps pour l’obtenir, et ne seront remboursés que partiellement à hauteur du prix du générique.Jusqu’à présent, il suffisait que le médecin précise «non substituable» sur l’ordonnance, écrit de sa main, pour que le patient puisse obtenir et se faire rembourser le médicament princeps. Ces conditions de prescription et de prise en charge ont changé au 1er janvier 2020. De nouvelles règles relatives à la mention « non substituable » entrent en vigueur à cette date. Elles découlent de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 (article 66) qui a modifié les articles L. 5125-23 du Code de la santé publique et L. 162-16 du Code de la sécurité sociale. L’
La Prep et les communautés trans : des obstacles spécifiques
Source : Seronet.info Le parcours de Prep pour les personnes trans doit être intégré à une offre plus globale de santé et pas seulement se limiter au VIH, pour l'accueil spécifique des communautés. Des articles de la littérature scientifique tendent à aller en ce sens.Dans un écrit publié dans le Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes, sur les connaissances et le recours à la Prep chez les femmes trans noires et hispaniques aux États-Unis, l’étude souligne que ce n'est pas tant le défaut de connaissance de la Prep qui est à l'origine de son faible recours, que d’autres facteurs. Au sein de ces communautés...
Des facteurs socio-économiques, comme l’accueil discriminant et l’offre de santé peu adaptée et inclusive et surtout des craintes liées au traitement ont un impact important. Alors que 80 % des participantes interrogées connaissaient la Prep et que 75 % aimeraient (ou auraient aimé) y avoir recours pour évit
VIH : un manque d'empathie de la part du corps médical peut pousser le patient à arrêter son traitement
Source : ladepeche.frDe nombreux patients sont victimes de stigmatisation et d'un manque de compassion de la part des prestataires de soins. Une nouvelle étude montre que les personnes séropositives sont plus susceptibles de poursuivre leur traitement si le personnel médical qui les suit ne porte pas de jugement et implique le patient dans la prise de décision.Grâce au développement des traitements antirétroviraux, les personnes séropositives peuvent désormais vivre de nombreuses années avec le virus du sida et avec une charge de virus indétectable, c'est-à-dire qu'elles ne peuvent pas le transmettre à d'autres personnes. Séropositivité et inquiétudes
Mais la complexité de la maladie et le caractère invasif du traitement peuvent parfois décourager le patient. Sans compter que la peur de la stigmatis
Vaccin contre l’hépatite B, une protection qui dure !
source : Jim.fr (abonnés)Le vaccin contre l’hépatite B, disponible depuis le début des années 1980, a permis de faire reculer l’incidence des infections aiguës et chroniques même si les chiffres restent encore impressionnants avec en 2016, 292 millions de personnes (3,9 % de la population mondiale) infectées par le virus de l’hépatite B (VHB) et près de 900 000 décès.La durée de la protection après la vaccin (immunisation contre l'antigène de surface de l'hépatite B –AgHBs) n'est pas exactement connue. L'OMS ne recommande pas un rappel chez les enfants et adultes immunocompétents correctement vaccinés.Une équipe a voulu évaluer l’efficacité du vaccin après 20 à 30 ans. Leur étude a pris place dans 2 pays où l'endémicité du VHB est faible (séroprévalence estimée : 0,60 %-0,68 % en Belgique et 0,60 %-0,76 % au Canada). Ainsi, entre le 11 octobre 2016 et le 1er mai 2017, ont été recrutés 101 patients âgés de 40 à 60 ans ayant reçu trois ou quatre
Pour l'indépendance sanitaire : message de Mme Nadia Ramassamy
Alors que le Gouvernement tarde à prendre des mesures face aux pénuries de médicaments qui se multiplient, vous trouverez ci-joint le courrier que Mme la Députée et médecin Nadia Ramassamy vient d'adresser à la Ministre des Solidarités et de la Santé. Je cite :"
La notion de puissance revêt de nos jours plusieurs aspects. Puissance militaire, puissance économique, puissance diplomatique, mais aussi puissance sanitaire. Or, je constate d’inquiétantes discontinuités dans notre souveraineté sanitaire.
En effet, 70% des principes actifs des médicaments consommés en France ne sont pas fabriqués dans l’Union européenne, et cette tendance à l’importation de principes actifs hors de l’Europe ne fait que s’accentuer.
La France perd son savoir-faire, ses compétences, sa capacité d’innovation, sa recherche et développement, son appareil productif, son indépendance sa
Les meilleures pratiques en matière de prise en charge du VIH : les enseignements de la clinique du 56 Dean Street
Source : univadis.frLe 56 Dean Street est une clinique consacrée à la fois à la santé sexuelle et au VIH. Elle se trouve dans le quartier de Soho, à Londres, et fait partie du Chelsea and Westminster NHS Foundation Trust. Il s'agit de la clinique de ce type la plus fréquentée d’Europe avec près de 12 000 patients se présentant chaque mois. Le Dr Gary Whitlock, l’un des sept médecins réalisant des consultations à exercer au sein de la clinique, a été interviewé afin de découvrir le secret du succès de la clinique de Dean Street.A savoir sur la clinique Dean Street
UNIVADIS: Pouvez-vous nous expliquer l’organisation de la clinique de Dean Street ?
DR. WHITLOCK: Comme toutes les cliniques de santé sexuelle au Royaume-Uni, le 56 Dean Street offre une évaluation et un traitement complets de la santé sexuelle et des
Guyane : Le Centre Hospitalier de Cayenne met en place une permanence d'accès des soins à Soula.
Source : Outre Mer 360 Rejoignant trois autres structures déjà existantes à Cayenne et Matouri, une nouvelle permanence d'accès aux soins a ouvert ses portes au mois de février à Macouria, dans le quartier de Soula. Ces structures permettent une meilleure proximité pour l'accès aux soins, à destination des personnes en situation de difficulté ou de précarité.
Mis en place par le Centre Hospitalier de Cayenne, cette antenne d'accès au soin est composée de médiateurs, d'infirmiers et de médecins, a déjà accueilli plus de 140 personnes dans son optique de fournir un accès au soin facilité pour tous. Qu'il s'agisse de problématiques de rupture de droits sociaux, de mobilité, la grande majorité des personnes reçues sont en situation de grande précarité. La mise en place de ces centres permet d'apporter une aide au niveau individuel, mais aussi collectif, en agissant en prévention avant des cas d'hospitalisation ou de maladies
Mali: les ONG de lutte contre le sida attendent plus de l’État
source : RFI Il y a quelques jours, se tenait à Lyon, en France, la 6e Conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le Sida, le paludisme et la tuberculose. Le Fonds a atteint son objectif : récolter 14 milliards de dollars, pour mener ses programmes pendant les trois prochaines années. Sur la dernière période, plus de 70% des ressources étaient destinées à l'Afrique. Pour les associations, ces fonds sont essentiel,Le docteur Bintou Dembélé, directrice exécutive de l'ONG Arcad-Sida Mali, parle même d'une question de vie ou de mort, pour les populations africaines. Son organisation est active depuis plus de 10 ans, dans la lutte contre le Sida au Mali, et pour l'accès des malades aux traitements. Elle est notre invitée. RFI : Qu’est-ce que c’est, vivre avec le sida au Mali, aujourd’hui ? Bintou Dembélé : Mon pays est un pays de faible prévalence, 1,1%, mais les personnes les plus affectées sont les personnes les plus vulnérables. Ce sont les personnes marginali