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Vaccin contre l’hépatite B, une protection qui dure !
Pour l'indépendance sanitaire : message de Mme Nadia Ramassamy
Alors que le Gouvernement tarde à prendre des mesures face aux pénuries de médicaments qui se multiplient, vous trouverez ci-joint le courrier que Mme la Députée et médecin Nadia Ramassamy vient d'adresser à la Ministre des Solidarités et de la Santé. Je cite :"
La notion de puissance revêt de nos jours plusieurs aspects. Puissance militaire, puissance économique, puissance diplomatique, mais aussi puissance sanitaire. Or, je constate d’inquiétantes discontinuités dans notre souveraineté sanitaire.
En effet, 70% des principes actifs des médicaments consommés en France ne sont pas fabriqués dans l’Union européenne, et cette tendance à l’importation de principes actifs hors de l’Europe ne fait que s’accentuer.
La France perd son savoir-faire, ses compétences, sa capacité d’innovation, sa recherche et développement, son appareil productif, son indépendance sa
Les meilleures pratiques en matière de prise en charge du VIH : les enseignements de la clinique du 56 Dean Street
Source : univadis.frLe 56 Dean Street est une clinique consacrée à la fois à la santé sexuelle et au VIH. Elle se trouve dans le quartier de Soho, à Londres, et fait partie du Chelsea and Westminster NHS Foundation Trust. Il s'agit de la clinique de ce type la plus fréquentée d’Europe avec près de 12 000 patients se présentant chaque mois. Le Dr Gary Whitlock, l’un des sept médecins réalisant des consultations à exercer au sein de la clinique, a été interviewé afin de découvrir le secret du succès de la clinique de Dean Street.A savoir sur la clinique Dean Street
UNIVADIS: Pouvez-vous nous expliquer l’organisation de la clinique de Dean Street ?
DR. WHITLOCK: Comme toutes les cliniques de santé sexuelle au Royaume-Uni, le 56 Dean Street offre une évaluation et un traitement complets de la santé sexuelle et des
Guyane : Le Centre Hospitalier de Cayenne met en place une permanence d'accès des soins à Soula.
Source : Outre Mer 360 Rejoignant trois autres structures déjà existantes à Cayenne et Matouri, une nouvelle permanence d'accès aux soins a ouvert ses portes au mois de février à Macouria, dans le quartier de Soula. Ces structures permettent une meilleure proximité pour l'accès aux soins, à destination des personnes en situation de difficulté ou de précarité.
Mis en place par le Centre Hospitalier de Cayenne, cette antenne d'accès au soin est composée de médiateurs, d'infirmiers et de médecins, a déjà accueilli plus de 140 personnes dans son optique de fournir un accès au soin facilité pour tous. Qu'il s'agisse de problématiques de rupture de droits sociaux, de mobilité, la grande majorité des personnes reçues sont en situation de grande précarité. La mise en place de ces centres permet d'apporter une aide au niveau individuel, mais aussi collectif, en agissant en prévention avant des cas d'hospitalisation ou de maladies
Mali: les ONG de lutte contre le sida attendent plus de l’État
source : RFI Il y a quelques jours, se tenait à Lyon, en France, la 6e Conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le Sida, le paludisme et la tuberculose. Le Fonds a atteint son objectif : récolter 14 milliards de dollars, pour mener ses programmes pendant les trois prochaines années. Sur la dernière période, plus de 70% des ressources étaient destinées à l'Afrique. Pour les associations, ces fonds sont essentiel,Le docteur Bintou Dembélé, directrice exécutive de l'ONG Arcad-Sida Mali, parle même d'une question de vie ou de mort, pour les populations africaines. Son organisation est active depuis plus de 10 ans, dans la lutte contre le Sida au Mali, et pour l'accès des malades aux traitements. Elle est notre invitée. RFI : Qu’est-ce que c’est, vivre avec le sida au Mali, aujourd’hui ? Bintou Dembélé : Mon pays est un pays de faible prévalence, 1,1%, mais les personnes les plus affectées sont les personnes les plus vulnérables. Ce sont les personnes marginali
Bien vivre avec le VIH après 50 ans, suivez le guide
Source : transversalmag.fr Actions Traitements publie une nouvelle édition de son guide sur la vie avec le VIH après 50 ans. L’occasion de rappeler quelques mesures de prévention qui peuvent permettre non seulement d’allonger, mais aussi d’améliorer la qualité de vie des quinquas… et plus.À l’heure où l’espérance de vie d’une personne vivant avec le VIH (PVVIH) rejoint celle de l’ensemble de la population, la question n’est plus de savoir comment vivre avec le VIH après 50 ans, mais comment « bien » vivre. Conscient de ce nouveau défi, l’association Actions Traitements vient d’éditer à 6 000 exemplaires un guide de 51 pages, disponible gratuitement. De quoi s'agit-il ?
Simple et didactique, sur un ton positif et rassurant, ce guide fourmille d’informations et de conseils pratiques pour apprendre à manger plus sainement, faire de l’exercice physique, arrêter de fumer et limite
Recul du VIH en France, Agnès Buzyn salue un progrès pour la santé sexuelle en France
source : ministère de la santé A la veille de la sixième conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, Agnès BUZYN, ministre des Solidarités et de la Santé, se félicite des dernières données de 2018, publiées par Santé publique France, qui montrent un recul du VIH en France : le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivité au VIH diminue de manière significative par rapport à 2017 (-7%). La santé sexuelle est un enjeu prioritaire de la politique de santé menée par la ministre des Solidarités et de la Santé avec pour objectif de mettre fin à l’épidémie de sida d’ici 2030 et de faire évoluer les représentations sociales Le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivité VIH en France (données issues de la déclaration obligatoire) a été estimé à 6 200 en 2018. La diminution observée entre 2013 et 2018 pour les personnes nées en France est de 16% pour les hommes ayant des relations sexuelles
Oran : le cri de détresse des porteurs du VIH
Source : Liberté Algérie
Désespérés et à bout de force, les porteurs du VIH à Oran et dans d’autres wilayas de l’Ouest commencent doucement à lâcher prise : “La situation est trop dure sur le plan psychologique. Nous sommes sans médicaments depuis plusieurs mois, et il ne semble pas qu’un arrivage soit programmé dans l’immédiat, malgré les assurances des autorités locales et nationales. Les malades ont cette sensation qu’on les laisse mourir tout doucement”, constate Ahlem Azzi, présidente de l’association “Rêve de vivre positif”.
Ce sentiment d’abandon s’est accentué avec l’apparition du coronavirus qui accapare toute l’attention des responsables de la santé : “En pareille situation, les porteurs du VIH sont les plus vulnérables en raison de l’affaiblissement de leur immunité et devraient bénéficier d’une attention particulière. Ce n’est malheureusement pas le cas”, continue la responsable,
La Cour des comptes dénonce une prise en charge insuffisante du VIH/sida en France
Source : vih.org Dans un rapport publié le 9 juillet 2019, la Cour des comptes se montre critique envers la politique de lutte contre le sida en France, et formule 10 recommandations pour améliorer la gouvernance de la prise en charge et de la prévention du VIH. Le Pr Gilles Pialoux livre son analyse.Finalement, on l’a tant attendu ce rapport de la Cour des comptes sur les politiques en matière de prévention et de prise en charge du VIH, qu’il y a forcément de la déception à l’ouverture du document. Pourtant, le long travail des magistrats de la rue Cambon, quoique bien plus attentiste que le rapport du Sénat qui le précède de quelques jours, est censé ouvrir des perspectives réalisables.
On notera au passage le peu de bruit médiatique qui a accompagné la sortie de ces deux rapports (hors Le Figaro et Libération). Il est vrai que le rapport de la Cour des comptes ne dénonce pas, mais s’efforce de do
Sida : 770 000 morts du VIH en 2018 selon les dernières statistiques
Source : pourquoidocteur.fr En 2018, 770 000 personnes sont mortes du sida dans le monde, soit un tiers de moins qu'en 2010. Malgré tout, la lutte contre le VIH ne progresse pas assez rapidement, alerte l'Onusida ce mardi."En finir avec l’épidémie de sida d’ici à 2030". Telle est la volonté de l’Onusida, le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida, qui publie ce mardi 16 juillet un rapport annuel assez encourageant mais toutefois très contrasté. En 2018, 770 000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au VIH contre 800 000 l’année précédente. Depuis 2010, cette mortalité a diminué de 33%. Malgré tout, la lutte contre le sida ne progresse pas assez rapidement et souffre de grande disparités régionales, s’inquiète le programme. Des données globales
Aujourd’hui, plus de trois séropositifs sur cinq, soit 23,3 millions sur 37,9, suivent des traitements antirétroviraux, qui bloquent la transmission du s
5 juin 1981... Une épidémie commence.
Source : Komitid Tout ce que les malades et les personnes affectées par le VIH/sida ont obtenu ne leur a pas été donné, il a fallu se battre et arracher une après l'autre des victoires.
En 1981, internet n'existe pas et le téléphone est une grosse boite fixe, grise, à cadran. François Mitterrand est président de la République. L'homosexualité est encore pénalisée en France. Le mur de Berlin sépare toujours les deux blocs capitaliste et communiste.
Le 5 juin 1981, dans le Mortality et Morbidity Weekly Report adressé aux médecins, le Centre de contrôle des maladies étatusien publie une enquête sur cinq cas de pneumocystose carinii diagnostiqués sur des hommes jeunes et en bonne santé de Los Angeles, tous gays. Dans sa note, les rédacteurs du bulletin suggèrent au vu de ces cas qu'il s'agirait d'un « dysfonctionnement du système immunitaire » et d'une « maladie acquise à travers un contact sex