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Brèves
VIH et inflammation : nouvelle piste
Source : seronet.info
Recherche. Malgré le succès des traitements antirétroviraux (ARV) dans le contrôle de l’infection à VIH et la possibilité pour les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) de vivre longtemps et en bonne santé, beaucoup d'entre elles (en particulier celles qui commencent un traitement ARV après l'apparition d'une infection chronique) ont un système immunitaire stimulé qui entraîne une inflammation persistante dans l'organisme. Les chercheurs-ses ont établi un lien entre cette réponse inflammatoire et une incidence plus élevée de diverses comorbidités non liées au VIH, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers, ainsi que la mortalité.
Les résultats d'une étude récente offrent une nouvelle piste pour élucider une partie du mystère de l'inflammation persistante chez certaines PVVIH, rapporte le site Aidsmap. Bien que ces résultats ne permettent pas de découvrir une cause, ils appuient l'hypothèse selon laquelle l'inflamma
Prep en prison : ça marche !
Source : seronet.info
Une étude sur la Prep dans les prisons en Zambie (Afrique australe) fait état d'un taux d'utilisation de 93 %, rapporte le site Be In The Know. L'Onusida estime qu'au niveau mondial, les personnes en détention sont exposées à un risque sept fois plus important de contracter le VIH que les autres. En Zambie, les prisons comptent un nombre particulièrement élevé de personnes exposées à un risque élevé de contracter le VIH, comme les travailleurs-ses du sexe (TDS), les personnes qui s'injectent des drogues et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). Mais les prisons zambiennes ne fournissent pas d'accès à la prévention du VIH, notamment aux préservatifs et aux lubrifiants. Bien que les données soient limitées, on estime qu'une personne sur cinq en prison en Afrique subsaharienne a des rapports sexuels consentis.
Les rapports sexuels forcés, les rapports sexuels transactionnels et les viols sont également courants. Ces situat
Sexualités Info Santé pour les jeunes
Source:seronet.info
Sida Info Service a mis en place, en octobre dernier, une nouvelle ligne d’écoute anonyme, dont la vocation est « d’orienter gratuitement les jeunes face aux enjeux de la sexualité. Le dispositif a été « pensé pour les jeunes », a déclaré Nathalie Courtial de Sida Info Service (SIS). L’objectif est d’écouter et d’accompagner un public « qui cherche à mieux s’outiller face aux enjeux de la sexualité », a-t-elle exposé. Depuis son lancement en octobre, sur 392 sollicitations (mail, livechat et téléphone), une majorité provenait de jeunes de moins de 24 ans, adolescents-es compris. Plus de 60 % sont passés-es par la ligne téléphonique.
Cet engouement pour le téléphone, qui a surpris l’association, s’explique par « la rareté » des lignes « gérées par des professionnels formés aux enjeux de sexualités », selon Nathalie Courtial. La plupart des requêtes concernent les pratiques sexuelles, la contraception ou les risques en cas de rapports sexuels
Scandale du sang contaminé : résumé, nombre de victimes
Source: sante.journaldesfemmes.fr
L'affaire du sang contaminé est l'un des plus grands scandales sanitaires en France. Entre 1984 et 1985, 2000 hémophiles ont eu le virus du sida (VIH) suite à des transfusions de sang contaminé. Ces produits auraient été volontairement distribués. Résumé de l'affaire.
Le scandale du sang contaminé éclate le 25 avril 1991 en France. Ce jour-là, la journaliste Anne-Marie Casteret, révèle que le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) a sciemment distribué, de 1984 à 1985, des produits sanguins contaminés à des hémophiles. Plus de 2000 patients ont ainsi été contaminés par le virus du sida (VIH) et par le virus de l'hépatite C. Plusieurs médecins et ministres ont été mis en cause et ont comparu devant la justice. Dates-clé, nombre de victimes, nombre de morts, ministres impliqués, résultat de la condamnation... Retour sur une
Tanzanie : des rats pour détecter la tuberculose chez les séropositifs
Source: africanews.fr
Dans ce laboratoire de Dar es-Salaam, ces rats sont considérés comme des héros. Entraînés à renifler des échantillons de crachats humains, ils parviennent à identifier la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH.
Ce projet dénommé APOPO, d'une ONG belge a été initié en 2008, aujourd'hui, les animaux sont utilisés dans 21 centres médicaux de la capitale de la Tanzanie. Selon ce scientifique Joseph Soka, responsable du programme TB à APOPO, la capacité de ses rongeurs à détecter les agents pathogènes est élevée en raison de leur impressionnante sensibilité à l'odorat.
"La sensibilité de ces rats est aussi élevée que celle des microscopes et par rapport aux autres tests, leur sensibilité est indépendante du statut VIH. C'est-à-dire qu'ils peuvent facilement identifier la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, sachant que ces personnes vivant avec le VIH, il est très difficile d'être diagnostiqué par le test standard, y compri
Un professeur de l’Université d’Ottawa veut repenser le dépistage du VIH
Source: ici.radio-canada.ca
Le professeur de l'Université d'Ottawa et infirmier, Patrick O'Byrne, veut repenser le dépistage du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Pour y arriver, il a lancé le projet pilote GetaKit en 2020. L'objectif est de rendre le dépistage plus accessible, en plus de lutter contre le virus.
"Si on crée un nouveau projet et on donne les tests gratuitement, les personnes qui ont des risques pour le VIH, est-ce qu'ils vont les commander ? Est-ce qu'ils vont les utiliser ? Puis, est-ce qu'on va trouver de nouvelles infections? Puis, si c'est le cas, est-ce qu'on peut donner le traitement à ces personnes-là ", lance Patrick O'Byrne.
Il a donc lancé le projet pilote GetaKit en juillet 2020, soit un programme d'auto dépistage par envoi postal, qui utilise des trousses d'autotest du VIH approuvé par Santé Canada la même année. L'objectif est de faciliter l'accès au dépistage, fait-il valoir.
"C'est quelque chose que
Dans «la fin du sida en 2030», il y a aussi l’objectif «zéro décès dû au VIH»
Source: vih.org
Avec les progrès réalisés dans la prise en charge du VIH ces dernières années, les décès liés au VIH sont en diminution constante. Grâce à l’efficacité des traitements ARV de plus en plus efficaces et initiés au plus près de la date de l’infection, cet objectif n’est plus irréaliste.
L’objectif «zéro décès du VIH en 2030» fait partie des stratégies internationales d’atteindre la «fin du sida en 2030» avec ceux de «zéro transmission» et «zéro discrimination». «Éliminer les morts évitables liées au VIH» fait donc partie des enjeux pour les Villes engagées contre le VIH dans le cadre de la Fast-Track Cities Initiative (FTCI). L’équipe londonienne de celle-ci s’est attaquée à définir une méthode et une classification pour identifier les décès d’aujourd’hui qui sont encore liés au VIH et ceux qui pourraient être prévenus par des interventions ou des prises en charge précoces aujourd’hui insuffisamment mises en œuvre. À travers cett
L’OMS veut renforcer les efforts de conception de vaccins contre la tuberculose
Source: news.un.org
Au Forum économique mondial, qui se déroule à Davos, en Suisse, le chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé mardi un projet de création d’un Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux afin de faciliter l’homologation et l’utilisation de ces vaccins.
Selon l’OMS, les répercussions négatives de la pandémie de COVID-19 sur les services de lutte contre la tuberculose ont clairement démontré qu’il fallait, de toute urgence, renforcer les efforts de conception des vaccins.
Prenant la parole à une table ronde de haut niveau sur la tuberculose organisée au Forum économique mondial, le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a annoncé ce projet de Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux. Mobiliser les bailleurs de fonds
Cette instance facilitera l’homologation et l’utilisation de nouveaux vaccins antituberculeux efficaces par une mobilisation à haut niveau
Générations positives : Marianne et Sasha
Source : REMAIDES
Marianne a 61 ans. Elle vit avec le VIH depuis 1987. Sasha, de son côté, a 30 ans. Il vit avec le VIH depuis 2014. Ils ne se connaissent pas et ne se sont jamais parlé. Aujourd’hui, ils participent à un entretien croisé. Dans quelles circonstances avez-vous découvert votre séropositivité et quelles ont été les répercussions sur votre vie, les premiers temps ?
Marianne : En 1987 je vivais en Guyane et, suite à une crise d’herpès fulgurante, mon gynécologue m’a fait faire un test VIH qui est revenu positif. À l’époque, le sida, c’était une maladie honteuse et sale pour la société. C’était un véritable coup de massue, la terre s’est écroulée sous mes pieds. J’avais un petit garçon de 18 mois, né d’une ancienne relation. Je venais de me marier avec mon nouveau conjoint et j’avais le désir d’un deuxième enfant avec lui. Un chercheur de l’Institut Pasteur de Cayenne m’a annoncé que je pouvais espérer quatre ans à vivre, seul recul que j’avais
Sidaction 2023 : date, quel but, comment faire un don ?
Source: sante.lejounaldesfemmes.fr
Le Sidaction 2023 a lieu à la fin du mois de mars, avec une grande collecte de fonds destinée à la lutte contre le virus du Sida (VIH). Comment faire un don ? Que signifie le ruban rouge ? Où vont les dons ? Quel objectif ? Tout savoir.
Le Sidaction lutte contre le virus du Sida (VIH) depuis 1994. Cette association de solidarité présidée par Françoise Barré-Sinoussi soutient la recherche sur le virus du Sida. C'est également un évènement télévisuel de collecte de dons. "Les fonds collectés seront reversés à la fois aux programmes de recherche et de soins et aux programmes associatifs de prévention, d'accès au dépistage et d'aide aux personnes vivant avec le VIH, en France et à l'international" explique l'association Sidaction. Comment faire un don ? Quelle est la signification du logo, le ruban rouge ? Quelle est la date de la prochai