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Brèves
Scandale du sang contaminé : résumé, nombre de victimes
Source: sante.journaldesfemmes.fr
L'affaire du sang contaminé est l'un des plus grands scandales sanitaires en France. Entre 1984 et 1985, 2000 hémophiles ont eu le virus du sida (VIH) suite à des transfusions de sang contaminé. Ces produits auraient été volontairement distribués. Résumé de l'affaire.
Le scandale du sang contaminé éclate le 25 avril 1991 en France. Ce jour-là, la journaliste Anne-Marie Casteret, révèle que le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) a sciemment distribué, de 1984 à 1985, des produits sanguins contaminés à des hémophiles. Plus de 2000 patients ont ainsi été contaminés par le virus du sida (VIH) et par le virus de l'hépatite C. Plusieurs médecins et ministres ont été mis en cause et ont comparu devant la justice. Dates-clé, nombre de victimes, nombre de morts, ministres impliqués, résultat de la condamnation... Retour sur une
Tanzanie : des rats pour détecter la tuberculose chez les séropositifs
Source: africanews.fr
Dans ce laboratoire de Dar es-Salaam, ces rats sont considérés comme des héros. Entraînés à renifler des échantillons de crachats humains, ils parviennent à identifier la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH.
Ce projet dénommé APOPO, d'une ONG belge a été initié en 2008, aujourd'hui, les animaux sont utilisés dans 21 centres médicaux de la capitale de la Tanzanie. Selon ce scientifique Joseph Soka, responsable du programme TB à APOPO, la capacité de ses rongeurs à détecter les agents pathogènes est élevée en raison de leur impressionnante sensibilité à l'odorat.
"La sensibilité de ces rats est aussi élevée que celle des microscopes et par rapport aux autres tests, leur sensibilité est indépendante du statut VIH. C'est-à-dire qu'ils peuvent facilement identifier la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, sachant que ces personnes vivant avec le VIH, il est très difficile d'être diagnostiqué par le test standard, y compri
Un professeur de l’Université d’Ottawa veut repenser le dépistage du VIH
Source: ici.radio-canada.ca
Le professeur de l'Université d'Ottawa et infirmier, Patrick O'Byrne, veut repenser le dépistage du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Pour y arriver, il a lancé le projet pilote GetaKit en 2020. L'objectif est de rendre le dépistage plus accessible, en plus de lutter contre le virus.
"Si on crée un nouveau projet et on donne les tests gratuitement, les personnes qui ont des risques pour le VIH, est-ce qu'ils vont les commander ? Est-ce qu'ils vont les utiliser ? Puis, est-ce qu'on va trouver de nouvelles infections? Puis, si c'est le cas, est-ce qu'on peut donner le traitement à ces personnes-là ", lance Patrick O'Byrne.
Il a donc lancé le projet pilote GetaKit en juillet 2020, soit un programme d'auto dépistage par envoi postal, qui utilise des trousses d'autotest du VIH approuvé par Santé Canada la même année. L'objectif est de faciliter l'accès au dépistage, fait-il valoir.
"C'est quelque chose que
Dans «la fin du sida en 2030», il y a aussi l’objectif «zéro décès dû au VIH»
Source: vih.org
Avec les progrès réalisés dans la prise en charge du VIH ces dernières années, les décès liés au VIH sont en diminution constante. Grâce à l’efficacité des traitements ARV de plus en plus efficaces et initiés au plus près de la date de l’infection, cet objectif n’est plus irréaliste.
L’objectif «zéro décès du VIH en 2030» fait partie des stratégies internationales d’atteindre la «fin du sida en 2030» avec ceux de «zéro transmission» et «zéro discrimination». «Éliminer les morts évitables liées au VIH» fait donc partie des enjeux pour les Villes engagées contre le VIH dans le cadre de la Fast-Track Cities Initiative (FTCI). L’équipe londonienne de celle-ci s’est attaquée à définir une méthode et une classification pour identifier les décès d’aujourd’hui qui sont encore liés au VIH et ceux qui pourraient être prévenus par des interventions ou des prises en charge précoces aujourd’hui insuffisamment mises en œuvre. À travers cett
L’OMS veut renforcer les efforts de conception de vaccins contre la tuberculose
Source: news.un.org
Au Forum économique mondial, qui se déroule à Davos, en Suisse, le chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé mardi un projet de création d’un Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux afin de faciliter l’homologation et l’utilisation de ces vaccins.
Selon l’OMS, les répercussions négatives de la pandémie de COVID-19 sur les services de lutte contre la tuberculose ont clairement démontré qu’il fallait, de toute urgence, renforcer les efforts de conception des vaccins.
Prenant la parole à une table ronde de haut niveau sur la tuberculose organisée au Forum économique mondial, le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a annoncé ce projet de Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux. Mobiliser les bailleurs de fonds
Cette instance facilitera l’homologation et l’utilisation de nouveaux vaccins antituberculeux efficaces par une mobilisation à haut niveau
Générations positives : Marianne et Sasha
Source : REMAIDES
Marianne a 61 ans. Elle vit avec le VIH depuis 1987. Sasha, de son côté, a 30 ans. Il vit avec le VIH depuis 2014. Ils ne se connaissent pas et ne se sont jamais parlé. Aujourd’hui, ils participent à un entretien croisé. Dans quelles circonstances avez-vous découvert votre séropositivité et quelles ont été les répercussions sur votre vie, les premiers temps ?
Marianne : En 1987 je vivais en Guyane et, suite à une crise d’herpès fulgurante, mon gynécologue m’a fait faire un test VIH qui est revenu positif. À l’époque, le sida, c’était une maladie honteuse et sale pour la société. C’était un véritable coup de massue, la terre s’est écroulée sous mes pieds. J’avais un petit garçon de 18 mois, né d’une ancienne relation. Je venais de me marier avec mon nouveau conjoint et j’avais le désir d’un deuxième enfant avec lui. Un chercheur de l’Institut Pasteur de Cayenne m’a annoncé que je pouvais espérer quatre ans à vivre, seul recul que j’avais
Sidaction 2023 : date, quel but, comment faire un don ?
Source: sante.lejounaldesfemmes.fr
Le Sidaction 2023 a lieu à la fin du mois de mars, avec une grande collecte de fonds destinée à la lutte contre le virus du Sida (VIH). Comment faire un don ? Que signifie le ruban rouge ? Où vont les dons ? Quel objectif ? Tout savoir.
Le Sidaction lutte contre le virus du Sida (VIH) depuis 1994. Cette association de solidarité présidée par Françoise Barré-Sinoussi soutient la recherche sur le virus du Sida. C'est également un évènement télévisuel de collecte de dons. "Les fonds collectés seront reversés à la fois aux programmes de recherche et de soins et aux programmes associatifs de prévention, d'accès au dépistage et d'aide aux personnes vivant avec le VIH, en France et à l'international" explique l'association Sidaction. Comment faire un don ? Quelle est la signification du logo, le ruban rouge ? Quelle est la date de la prochai
Guyane : Sida Info Service poursuit le développement de sa ligne d’écoute téléphonique de prévention en santé sexuelle et signe un partenariat avec Personn’Ailes
Source: outremers360.com Après un an d’exercice de la ligne téléphonique de Sida Info Service (SIS), l’association a décidé un élargissement des horaires d’écoute, ainsi que l’utilisation de nouvelles langues, afin de toucher un plus large public guyanais.
La ligne téléphonique du SIS, gratuite et accessible depuis un an en Guyane, voit ses horaires évoluer, les lundis, mardis, jeudis de 9h à 15h et les vendredis et samedi de 17h à 23h par téléphone ou via l’application WhatsApp. De plus, si la ligne proposait déjà 4 langues, avec le français, le créole haïtien, le portugais et l’espagnol, deux nouvelles langues sont désormais disponibles, avec l’anglais et le sranan tongo, dans une volonté d’élargir la disponibilité et l’écoute de professionnels locaux, dédié à la mission de l’association.
Autre annonce notable du SIS, le soutien apporté par l’association Gay Friendly et LGB
Les Actupiennes : Appel manifestation jeudi 19 janvier
Source : Les Actupiennes
Retraite pour les personnes vivant avec VIH et pathologie chronique grave.
On nous promet que dalle !
Nous personnes vivant avec le VIH et personnes atteintes de pathologie chronique grave avons eu
la chance de survivre, la retraite nous ne l’avions même pas envisagée, nos parcours professionnels
ont été hachés, nous avons été trop souvent en arrêt de longue maladie, nous avons été quelquefois
orientées vers des dispositifs de remplacement financier inadaptés, nous étions des artisans, des
agriculteurs, des libéraux, des fonctionnaires, nous n’avions pas pensée aux ruptures de droits dans
le maquis de la protection sociale.
Pour toutes ces raisons, nous n’avons pas les trimestres requis pour prétendre à une retraite
décente.
Pour bon nombre d’entre nous, c’est l’ASPA qui se profile jusqu’à la fin de notre vie soit 953€/mois
nous sommes et seront en dessous du seuil de pauvreté.
Même si notre espérance d
Assemblée et groupes d’études
Source: seronet.info
Il existe environ 80 « groupes d’études » à l’Assemblée nationale sur des sujets très variés, dont certains concernent directement la santé. C’est le cas de celui sur VIH et sida, ou encore de ceux sur le cancer, la santé mentale, la maladie d’Alzheimer, les maladies rares, etc. Certains groupes d’études sont dévolus aux questions d’organisation du système de santé comme celui qui traite des déserts médicaux et de l’accès aux soins, de la fin de vie, ou encore du handicap et de l’inclusion.
Des groupes ont aussi été constitués sur la « prostitution » (c’est le terme utilisé par l’Assemblée nationale), le cannabis, les conditions d’accueil des migrants-es et des mineurs-es non accompagnés-es, les discriminations et LGBTQI-phobies, la pauvreté, précarité, non-recours aux droits et sans-abri ou encore les prisons et les conditions carcérales.
Le 7 décembre dernier, le Bureau des groupes d’études, présidé par le dépu