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Hommage à Françoise Barré-Sinoussi, héroïne de la science
Source: Contrepoints Hommage à Françoise Barré-Sinoussi, une scientifique qui a découvert, avec Luc Montagnier, le VIH, rétrovirus qui cause le SIDA.Par Alexander C.R. Hammond. Un article de Human Progress.
Voici le dixième épisode de la série d’articles de humanprogress.org, intitulée « Les héros du progrès ». Ces textes publiés toutes les deux semaines fournissent de courtes présentations de héros ayant magnifiquement contribué au bien-être de l’humanité. Vous trouverez le neuvième épisode ici.
Notre dixième héros du progrès est une héroïne, Françoise Barré-Sinoussi, une virologue française qui a découvert le virus de l’immunodéficience humaine, le VIH, cause du syndrôme d’immunodéficience acquise, le SIDA. La découverte de Barré-Sinoussi a conduit au développement de traitements médicaux qui ralentissent la progression du VIH et réduisent le risque de transmission.
Réservoirs cellulaires: Le VIH attend son heure dans les macrophages du système immunitaire
Source: Science et Avenir Les antirétroviraux permettent aujourd'hui de contenir le VIH, mais pas de l'éliminer totalement car le virus persiste dans des réservoirs cellulaires. Une équipe française vient d'identifier l'un d'eux.Eliminer complètement le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est une gageure, car celui-ci peut se cacher dans des cellules immunitaires infectées, dites réservoirs cellulaires, pendant plusieurs dizaines d'années, sans qu'aucune protéine virale ne soit exprimée. Il échappe ainsi à la réponse immunitaire et aux traitements antirétroviraux, et se multiplie massivement en cas d'arrêt de la trithérapie.
Identifier ces réservoirs cellulaires est une étape essentielle pour envisager des traitements curatifs. Dans une étude publiée le 4 février 2019 par la revue Nature Microbiology, une équipe de l'Institut Cochin, coordonnée par Morgane Bomsel, directrice de recherche CNRS, met le doigt sur des r
Seniors et VIH/SIDA en France : un cas sur cinq a plus de 50 ans
Source: SéniorActu Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire a présenté il y a quelques semaines, un article dévoilant les caractéristiques des seniors (personnes âgées de 50 ans et plus) ayant découvert leur séropositivité VIH en 2016, en les comparant à celles des adultes de 25 à 49 ans à partir des déclarations obligatoires d’infection à VIH.L’évolution de nos modes de vie et l’arrivée des médicaments contre la dysfonction érectile ont profondément changer la sexualité des seniors. Si certains se remettent en couple et refont leurs vies, d’autres préfèrent profiter de cette seconde jeunesse en multipliant les partenaires. Oui mais voilà, la plupart de ces personnes, souvent des hommes, ne se sentent pas concernés par le SIDA. Grosse erreur. Ainsi, selon le BEH de novembre 2018, en 2016, le nombre de seniors ayant découvert leur séropositivité a été estimé à 1.184 soit 20% de l’ensemble des découvertes (un cas sur cinq tout de même).
VIH en Europe : un niveau inquiétant sur le continent selon l’OMS
Source: Santé sur le Net Selon le Centre Européen de Prévention et de Contrôle des maladies (ECDC) et le Bureau régional de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), 160 000 personnes ont reçu un diagnostic de séropositivité du VIH en 2017 dans la zone Europe regroupant plus d’une cinquantaine de pays. Retour sur ces travaux de l’OMS qualifiant 2017 comme une nouvelle année de chiffres alarmants. Augmentation de nouveaux cas dans la partie orientale de l’Europe A la vue de ces résultats, l’OMS estime qu’il s’agit d’un « chiffre alarmant » mais qu’il reste cependant « encourageant de constater que la courbe ascendante est moins marquée qu’auparavant » en Europe.Dans toute la région, le VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine= virus responsable du SIDA) affecte davantage les hommes puisqu’ils représentent 70 % des nouveaux diagnostics de VIH.
Sur les nouveaux cas de Séropositivité du VIH recensés dans 53 pays de l’Europe
Création des CeGIDD : quel bilan à 1 an ?
Source: Univadis
Messages-clés- La majorité des consultations réalisées par les CeGIDD étaient consacrées au dépistage ou au diagnostic.
- La population accueillie était considérée à 85% comme étant à risque d’exposition aux IST.
- Les taux de positivité des tests réalisés étaient compris entre 0,41% (VIH) et 8% (gonocoques).
Le 1er janvier 2016, les CDAG et des CIDDIST, dont les spécificités de missions étaient peu lisibles pour le grand public, ont disparu pour donner naissance aux seuls CeGIDD ( Centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic des infections par le VIH, les hépatites virales et les infections sexuellement transmissibles ). Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire a publié un pre
Autotests VIH : TVA réduite en 2019 - Information publiée au Bulletin officiel des Finances publiques-Impôts
Source: Seronet Autotests VIH : L’information a été publiée au Bulletin officiel des Finances publiques-Impôts (BOFiP-Impôts) du 23 janvier 2019.L'article 75 de la loi n° 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019 pérennise l'application du taux réduit de 5,5 % de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) aux Autotests VIH de détection de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine (VIH) prévue par l'article 61 de la loi n° 2016-1918 du 29 décembre 2016.
Autrement dit, c’est donc toujours une TVA réduite qui sera appliquée en 2019 à cet outil de dépistage du VIH.
Dr Sampou Mamy : « le VIH/SIDA en Haute Guinée évolue à grand pas »
Source: GuinéeMatin.com Le virus du SIDA, autrement appelé Virus Immuno-Humain (VIH), se propage en Haute-Guinée de manière inquiétante. Selon le dernier rapport publié par le centre de prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA, l’indice de prévalence n’a fait qu’augmenter dans la région. Le phénomène des rapports sexuels non protégés est la cause fondamentale de cette situation alarmante, rapporte le correspondant de Guineematin.com basé dans la préfecture.A l’hôpital régional de Kankan, se trouve une unité spéciale de médecins chargés de s’occuper des personnes touchées par le VIH/SIDA. Selon Dr Sampou Mamy, Médecin chargé de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA, les statistiques sont inquiétantes pour ce qui est de l’année 2018.
Plus de 3.000 personnes porteuses du VIH/SIDA, ont été enregistrés au sein de ce service, apprend-on. M
Une alimentation insuffisante serait liée à l’inflammation chez les femmes séropositives
Source: Nouvelles Catie- Le VIH est associé à de l’inflammation, laquelle est susceptible d’entraîner une détérioration graduelle des systèmes organiques
- Une nouvelle étude a établi un lien entre l’inflammation et l’insécurité alimentaire chez les femmes vivant avec le VIH
- L’étude a observé ce lien même en présence d’un traitement du VIH efficace Grâce à la disponibilité et à l’utilisation à grande échelle d’un puissant traitement d’association anti-VIH (traitement antirétroviral ou TAR), de nombreuses personnes séropositives ont une espérance de vie quasi normale. Le TAR procure ce bienfait par la réduction graduelle de la quantité de VIH dans le sang jusqu’à des niveaux très faibles (qu’on qualifie habituellement d’« indétectables »). Cette baisse soutenue de la quantité de VIH donne au système immunitaire la possibilité de redevenir partiellement fonctionnel. Le TAR procure de nombreux bienfaits, mais il ne peut rectifier tous les dommages infligés par le V
Traitement ARV au Mozambique : un million de personnes ont besoin de traitement ARV
Source: APA News Au moins un million de personnes vivant avec le VIH et le Sida au Mozambique au cours des deux dernières années ont besoin d’un traitement antirétroviral.C’est le chef de cabinet du ministre de la Santé, Zachary Zindoga qui a tiré la sonnette d’alarme lundi à Maputo lors de la réunion d’évaluation programme PEPFAR (Plan d’urgence) mis en place dans le pays par le gouvernement américain pour permettre plus d’accès aux ARV pour les patients.
Zindoga a fait observer par ailleurs que, le nombre de structures sanitaires accueillant des personnes vivant avec le VIH/Sida avait également augmenté au cours de la même période.
« Beaucoup de choses ont changé. Le nombre de personnes sous traitement ARV a été multiplié par trois pour atteindre un million ces deux dernières années et le programme (PEPFAR) a permis d'élargir considérablement l
Le traitement anti-VIH précoce et continu offre une protection contre un grand nombre d’événements liés ou non au SIDA
Source: Univadis Messages principaux- La combinaison de deux études de grande envergure (SMART et START, N total = 10 156) confirme les bénéfices du traitement anti-VIH précoce et continu.
- Les auteurs démontrent des effets protecteurs dans un vaste éventail de résultats, notamment la mortalité toutes causes, les événements graves non liés au SIDA, les événements de maladies cardiovasculaires et l’incidence du cancer (cancers liés ou non au SIDA combinés) dans les sous-groupes d’âge, de sexe et de numération des CD4 au recrutement et parmi les résidents des pays à revenu faible et élevé.
- Bien que des études antérieures aient mis en évidence les bénéfices du traitement antirétroviral (TAR) précoce et persistant, ces données donnent une occasion importante de calculer l’ampleur des bénéfices individuels sur la santé du traitement antirétroviral précoce et à vie.