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«On garde notre raison d’être des folles radicales» - Sœurs de la perpétuelle indulgence
Source : libération.fr Le mouvement des Sœurs de la perpétuelle indulgence fête ses 40 ans. «Libération» a rencontré la fondatrice de la branche française, sœur Rita du Calvaire-de-Marie-Madeleine-Car-Elle-Aussi-A-Beaucoup-Souffert.Une cornette à pointes, un teint de porcelaine rehaussé de faux cils vertigineux et d’improbables noms de baptême : quand elles arrivent en ville, les Sœurs de la perpétuelle indulgence passent rarement inaperçues. Tant mieux, puisque «faire le trottoir», s’inviter dans les bars et les boîtes de nuit, dans les manifs aux côtés des gays, des trans, des prostituées, et récemment des banlieusards (pour la Pride de banlieue, en Seine-Saint-Denis), c’est le sacerdoce de ces nonnes déjantées. Depuis sa naissance à San Francisco en 1979, ce mouvement militant radical revendique sa «follie», lutte contre les injustices à l’encontre des personnes LGBT+ et contribu
Le Cancer, Le VIH, Le diabète : la Sécurité sociale fait ses comptes de dépenses santé !
Source : libération.fr L'assurance maladie a présenté, ce mercredi, une cartographie médicalisée des dépenses de santé. Avec en filigrane la question des prix qui explosent pour certains médicaments.La Sécu, dit volontiers le cliché, manque parfois de cœur. En tout cas, elle ne manque pas de chiffres, surtout lorsqu’elle se sert de sa gigantesque base de données. Ce mercredi, elle les a présentés une cartographie des dépenses de santé, avec un focus sur trois pathologies.
D’abord, un rappel : le poids massif des maladies chroniques. En 2017, ce sont en effet près de 20 millions d’assurés qui ont recours «à des soins liés à la prise en charge d’une pathologie spécifique, très souvent chronique, ou en raison de la prise d’un traitement médicamenteux spécifique au long cours».
Les maladies mentales engendrent les dépenses les plus élevées avec plus de 20 milliards d’euros, suivies par les canc
Des épisodes du virus du Sida : cinq podcasts sur la “maladie de l’amour”
Source : telerama.frEn 2017, ils étaient près de 37 millions dans le monde à vivre avec le VIH, dont 172 700 en France. Si, dans les pays occidentaux, on ne meurt plus du sida, le virus continue à se répandre malgré les moyens de prévention. Focus sur ce virus en cinq podcast.En 2016 en France, 6003 personnes découvraient leur séropositivité, selon l’ONU. Un chiffre qui, l’année suivante, augmentait de 7 %. Les principales victimes du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), responsable du sida ? De nombreuses minorités, parmi lesquelles les travailleurs du sexe, les migrants, les homosexuels, les femmes… Par défaut d’information ou par manque d’accès à des moyens préventifs, par habitude de céder à la pression masculine ou par insouciance, les rapports à risques se multiplient. Entre fausses croyances, préjugés tenaces et banalisation des risques, retour en sons e
USA : VIH - de nouvelles recommandations prônent la PrEP et le dépistage des femmes enceintes
Source: laquotidiendumedecin.fr La PrEP (prophylaxie pré-exposition) et le dépistage du VIH font l'objet de nouvelles recommandations américaines dans un même numéro du « JAMA ».Dans un premier article, l'US Preventive Services Task Force (USPSTF, un panel d'experts indépendants) recommande aux médecins de proposer la PreP aux personnes à risque élevé d'être infectées par le VIH.
Dans un second article, elle préconise le dépistage de toutes les personnes âgées de 15 à 65 ans et des personnes plus jeunes ou plus âgées à risque élevé. L'USPSTF recommande également le dépistage des femmes enceintes.
Ces trois recommandations sont de niveau A, c'est-à-dire que l'USPSTF estime qu'il est hautement probable que ces recommandations apportent un « bénéfice net substantiel ». Un bénéfice chez les personnes à risque
En analysant les avantages et les risques de la PrEP,
L’inobservance favorise le vieillissement des capacités immunitaires liées au VIH chez l’enfant
Source : univadis.fr L’inobservance au traitement antirétroviral des jeunes adultes infectés par le VIH à la naissance ou durant l’enfance favoriserait le vieillissement prématuré de l’immunité selon une étude française parue dans le journal AIDS .Celle-ci s’est en effet intéressée à différents marqueurs et effecteurs immunitaires mesurés chez de jeunes adultes de 18-25 ans infectés par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance regroupés dans la cohorte multicentrique ANRS COVERTE CO19. Ces données ont été comparées à celles issues de sujets infectés à l’âge adulte (25-55 ans) ou à une population plus âgée mais non infectée (65-70 ans). Une réserve immunitaire diminuée
Ce travail montre ainsi que les adultes infectés durant l’enfance présentent un nombre réduit de progéniteurs hématopoïétiques CD34+ et de lymphocytes matures. Ils présentent aussi un rapport CD4/CD8 et un nombre de lymphocytes B (
La Tuberculose et le VIH : une baisse insuffisante de cette co-infection
Source : seronet.info La tuberculose est une maladie qui peut être évitée et guérie. Et pourtant elle tue encore… et beaucoup.Elle occupe ainsi la première place des maladies infectieuses mortelles dans le monde et provoque près de 4 400 décès chaque jour ! Principale cause de mortalité
Elle reste la principale cause de mortalité chez les personnes vivant avec le VIH dans le monde : elle est responsable d’un tiers des décès dus au sida. Bien sûr, des progrès en matière de prévention et de traitement ont été réalisés ces dernières années.
Cela a permis des progrès : le nombre de décès dus à la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, qui s'élevait en 2005 à 600 000 décès, a chuté de moitié pour tomber à 300 000 décès en 2017. Un engagement dans la fin du sida
Rappelons que les pays signataires de la Déclaration politique des Nations Unies pour mett
La demande d’approbation d'une bithérapie mensuelle pour traiter l’infection VIH-1
Source : seronet.info Fin avril, le laboratoire pharmaceutique ViiV Healthcare a indiqué avoir déposé un dossier d’approbation pour deux nouveaux médicaments (dont une bithérapie injectable) anti-VIH auprès de la Food and Drug Administration (FDA, l’agence américaine du médicament).Pour le premier, il s’agit d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché de la bithérapie injectable en une injection par mois à base de cabotégravir (anti-intégrase, produit par ViiV Healthcare) et de rilpivirine (un non-nucléoside, produit par Janssen) pour traiter l’infection VIH-1 chez les adultes ayant une charge virale indétectable et ne présentant pas de résistance au cabotégravir ou à la rilpivirine.
Cette demande se fonde sur les résultats d’études de phase III : Atlas (Antiretroviral therapy as long-acting suppression) et Flair (First long-acting injectable regimen), conduites chez plus de 1 100 personnes dans seize pays et dont les
ANRS : Activer les réservoirs du VIH pour mieux les cibler
Source: anrs.fr Tout récemment, l’Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) est revenue sur la stratégie du shock and kill : une stratégie thérapeutique qui vise à activer les réservoirs du VIH, pour mieux les éliminer.Comme le rappelle l’agence scientifique, si le « VIH persiste dans l’organisme malgré les traitements, c'est que le virus reste présent mais inactif dans une très faible fraction des cellules immunitaires qu'il infecte, en particulier les lymphocytes T CD4 ».
Il échappe ainsi à la surveillance du système immunitaire et aux traitements antirétroviraux qui n’agissent que sur un virus qui se multiplie.
C'est à ce problème que s'intéressent les chercheurs-ses Georges Bismuth et Marianne Mangeney de l’Institut Cochin (Inserm UMR U1016, CNRS UMR8104, université Paris Descartes). Ils ont récemment publié (1er mai 2019, dans la revue Plos Pathogens un
ACT UP a 30 ans : alerter, choquer, briser le silence autour du sida
Source : francebleu.fr Un préservatif géant recouvrant l'obélisque de la place de la Concorde ou bien encore l'attaque au colorant rouge contre l'un des protagonistes du scandale du sang contaminé. Voici quelques exemples de l'activisme coup de poing de l'association ACT UP pour briser le silence autour du sida.À la fin des années 1980, la France comme le reste du monde est touchée par l'épidémie du sida. Dans ce contexte, le modèle français d' ACT UP voit le jour le 9 juin 1989. Un seul mot d'ordre : briser le silence qui entoure cette maladie et ses malades. Leur arme pour alerter : choquer le grand public par des actions coup de poing. La prévention avant tout
La prévention est le cheval de bataille d'ACT UP pour lutter contre la propagation de l'épidémie de sida qui touche la France.
"Encapoter" l'obélisque de la Concorde :
"La prévention est tellement m
Vaccins contre le VIH : Des recherches seront menées au Gabon
Source : gabonreview.com Une équipe d’enseignants et de chercheurs français séjourne actuellement au Gabon, dans le cadre du développement d’un vaccin thérapeutique contre le virus du Sida et de la mise en place d’un projet de dépistage néonatal de la drépanocytose. Chef du service de génétique médicale au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bordeaux, Didier Lacombe s’est confié à Gabonreview, le 6 juin, sur les contours de ces ambitieux projets. Quel est l’objet de la visite de votre délégation au Gabon ?Didier Lacombe : La visite de notre délégation s’inscrit dans une démarche initiée depuis deux à trois ans pour mettre en place un projet de dépistage néonatal de drépanocytose au Gabon, notamment à Libreville. Ce dépistage de tous les nouveau-nés sur une simple goutte de sang permettrait de diagnostiquer non seulement les enfants, mais de les prendre en charge très tôt. Et avec nos médicaments, d’assurer une meilleure qualité de vie et augment
