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Blog : Vieillir avec le VIH
ACTIONS TRAITEMENTS organisait vendredi 22 novembre dernier un colloque sur « Vivre avec le VIH après 60 ans »
Plusieurs intervenants ont présenté l’état des études sur les facteurs de risques et les autres pathologies fréquentes (comorbidités) qui touchent les personnes âgées séropositives.
Lorsqu’on a vécu 20, 30 ans avec le VIH, que l’on a vu mourir nombre de ses amis, en arrivant à l’âge de la retraite, on souffle, en se disant : «Je n’y croyais pas et pourtant je suis toujours là ! Maintenant foutez-moi la paix avec le SIDA, je suis un survivant ! »
On comprend que, suite à l’exposé des résultats des études médicales qui montrait des résultats assez inquiétants, les réactions furent marquées p
VIH : nous avons rencontré Elodie, écoutante à Sida Info Service
source : neonmag Le 1er décembre est la journée mondiale de lutte contre le VIH. À cette occasion, nous avons rencontré Elodie, écoutante. Pour Sida Info Service, elle renseigne les uns, conseille les autres, et les écoute tous et toutes. Interview. Selon les chiffres de l'ONUSIDA, 36,9 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde (dont 152 000 en France), en 2019. En France, en 2017, ils étaient 6 424 à découvrir leur séropositivité contre 6003 en 2016 et 30% l'ont appris à un stade avancé de la maladie. Le Sida est la quatrième phase d'évolution du VIH, mais grâce aux traitements, de moins en moins de personnes séropositives la développent. Environ 23,3 millions de personnes seulement ont eu accès aux autres traitements anti-VIH dans le monde. La « nouveauté » ? La PreP, le traitement préventif autorisé en France depuis 2016 qui, grâce à une prise quotidienne, permet de se prémunir du VIH. Malheureusement, ce traitement est encore peu répandu. Et puis, par manque d'
VIH : les étudiants ont toujours des fausses idées sur le sida
source : pourquoi docteur La Journée mondiale de lutte contre le sida a lieu ce dimanche 1er décembre. Pour cette occasion, Opinion Way délivre un sondage pour le moins inquiétant sur les fausses croyances qui circulent encore chez les étudiants.En 2018, près de 6 200 personnes ont découvert qu’elles étaient séropositives en France. Soit une baisse de 7% par rapport à l’année précédente. Il y a quelques mois, l’Onusida rapportait qu’en 2018, 770 000 personnes ont perdu la vie à cause du VIH dans le monde, soit un tiers de moins qu’en 2010. Malgré ces chiffres encourageants, les fausses idées sur la maladie ont la vie dure. Surtout chez les jeunes. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida ce dimanche 1er décembre, OpinionWay publie un sondage sur les fausses croyances qui persistent chez les étudiants. Des résultats inquiétants. L’inconscience de prendre des risques
Les lycéens et les étudiants ont d’abord tendance à abandonner
Paris sans sida : « un catalyseur » dans la lutte contre le VIH
source : toutelaculture Dans le cadre de la journée contre le Sida, Toute La Culture a souhaité vous présenter un acteur important de la lutte : Paris sans Sida. Eve Plenel, sa directrice générale, nous en dit plus à son sujet.Paris sans Sida est une « association » qui a fait ses premiers pas en 2016, à la suite d’une initiative d’ONUSIDA, qui désirait sensibiliser les grandes villes du monde dans cette lutte, et la ville de Paris. De cette initiative est née une déclaration. « La déclaration de Paris avait pour ambition d’uniformiser les engagements des maires vers une même direction : mettre fin à l’épidémie et s’intéresser aux personnes les plus touchés » explique Eve Plenel, sa directrice générale. La France est, en effet, un pays particulièrement touché par le VIH. Chaque année plus de 1000 Parisiens découvriraient qu’ils sont séropositifs. Selon la directrice de l’organisme, les populations les plus touchées demeurent les hommes homosexuels et le
Vivre avec le VIH: « La vie s'arrête, puis elle renaît »
source : centrepresse Si la médecine progresse, le VIH est une cage et vivre avec le VIH peut être compliqué. Un tabou levé avec la Journée mondiale contre le sida et la parole de ceux qui l'ont apprivoisé.
Vivre, simplement vivre. Je n'ai que de l'amour à donner. Une soif qu'Aurélien (1) a parfois du mal à étancher avec de grosses baisses de moral. Sa prise de médicament quotidienne lui assure une espérance de vie « quasiment stable ». « Du moins, avec de fortes probabilités d'atteindre une charge virale indétectable, confie-t-il tout bas. C'est le fait de devenir non contaminant. » Pour ce Poitevin, proche de la quarantaine, « la vie s'est arrêtée en 2012 puis elle renaît dans la foulée ». Un bref coup de fil, après un don de sang, lui annonce la nouvelle. Un couperet. Il lui faut « tirer un trait sur sa vie sans VIH, comme un deuil ». En plein mois de décembre, la «
VIH : le rôle des médecins généralistes
source : agora.fr
Près de quarante ans après l’apparition des premiers malades du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) aux États-Unis, une enquête réalisée par "egora-Le Panorama du médecin" fait le point, à l’occasion de la Journée mondiale le 1er décembre, sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, en particulier par les médecins généralistes.En 2018, 37,9 millions de personnes vivaient avec le VIH dans le monde, et seules 23,3 millions avaient accès à la thérapie antirétrovirale, révèlent les chiffres de l’Onusida 2019. En France, si le nombre de diagnostics de séropositivité est resté stable depuis 2010, il a baissé, pour la première fois en 2018 (7 % de moins que l’année précédente). Cette année-là, 56 % des personnes qui o
Communications Les Actupiennes: Journée mondiale de lutte contre le Sida 2019
source : Les Actupiennes Les acteurs/trices de prévention VIH/sida, associations exerçant dans le champ de la santé doivent d’abord détenir une agrémentation spécifique, lourde à obtenir, permettant de réaliser des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). C’est un frein à faire sauter !
Le Conseil National du Sida vient de pointer la nécessité d’améliorer le dépistage du VIH en France et préconise de renforcer la diffusion des autotests, notamment en permettant aux associations d’en proposer.
Selon les derniers chiffres sortis à l’occasion du 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida, plus de 1700 personnes (sur les 6200 qui ont découvert leur séropositivité en 2018) étaient déjà à un stade avancé de l’infection.
Se faire dépister, plusieurs fois, est crucial, en plus de se protéger.
Pourtant tout est bloqu
LES DONNÉES DU VIH EN ÎLE-DE-FRANCE
source : crips
En 2018, en Île-de-France, près de 2.500 personnes ont découvert leur séropositivité, soit 40% de l’ensemble des découvertes de séropositivité en France.Une diminution du taux de découvertes de séropositivité au VIH en Île de France Nouvelle encourageante : le taux de découvertes de séropositivité au VIH a diminué de 15% entre 2013 à 2018. La baisse est constatée chez les hétérosexuels nés en France ou à l’étranger, et chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes nés en France. En revanche, ce taux augmente chez les HSH nés à l’étranger. Au niveau départemental, on note une forte baisse à Paris, en Essonne, dans le Val de Marne et une forte augmentation en Seine-et-Marne. Que ce soit en région francilienne ou en France, le retard au dépistage demeure un problème majeur : 28% de l’ensemble des découvertes de séropositiv
La Seine-Saint-Denis veut protéger ses habitants du VIH
source : Le magzine de seine saint denis À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre le sida du 1er décembre, le Département se mobilise pour une Seine-Saint-Denis sans sida.Alors qu’il est le 2e département à être le plus touché par l’épidémie de Sida, le Département de la Seine-Saint-Denis a déclaré, ce 26 novembre, via son président Stéphane Troussel, vouloir « devenir le premier département de France pour le nombre de dépistage » mais également « être le premier pour le nombre de Prep (traitement préventif pour le VIH) ». Cette annonce a été faite à l’occasion du premier Comité stratégique d’orientation pour une Seine-Saint-Denis sans Sida qui réunissait une trentaine d’associations et d’institutions impliquées dans la lutte contre le VIH en Seine-Saint-Denis à Bobigny, à l’Hôtel du Département. « LA SEINE-SAINT-DENIS S’AIME SANS SIDA »
Un slogan fort, qui s’affiche depuis le 27 novembre dans les rues du d
VIH : 50% des femmes européennes sont diagnostiquées sur le tard
source: La Dépêche La moitié des femmes en Europe est diagnostiquée tardivement, montre une étude dévoilée à quelques jours du 1er décembre, date de la journée mondiale de lutte contre le sida.Selon cette recherche, les femmes représentent un tiers des 141.000 nouveaux diagnostics de VIH dans la Région européenne de l'Organisation mondiale de la Santé. Les femmes âgées de 40 ans sont trois à quatre fois plus susceptibles d'être diagnostiquées tardivement que les femmes plus jeunes, indiquent le Centre de prévention et de contrôle des maladies européen (EDC) et le Bureau régional de l'OMS pour l'Europe, à l'origine de cette enquête. Les deux tiers (60
Contaminations au VIH : «Il faut banaliser le test, et cela n’est toujours pas le cas»
source : Libération Des données publiées ce mardi confirment un recul de l’épidémie et l’efficacité de la Prep chez les gays. Mais le dépistage dans la population globale reste encore très insuffisant.Et voilà que cela marche. Et même très bien. A l’approche du 1er décembre, journée mondial de lutte contre le sida, l’agence Santé publique France publie une série de données sur les chiffres du sida en France, nationaux comme régionaux, et sur le dépistage, un volet devenu décisif si l’on veut éradiquer le virus.
Commençons donc par les bonnes nouvelles. Comme la situation à Nice et dans sa région, où les nouvelles contaminations chutent fortement avec le développement des nouveaux outils de prévention à l’image de la Prep (1) ou de la mise sous traitement le plus tôt possible du patient séropositif. «Entre 2015 et 2018, le nombre de nouvelles découvertes de séropositivité au VIH a chuté de