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Brèves
VIH : les étudiants ont toujours des fausses idées sur le sida
source : pourquoi docteur La Journée mondiale de lutte contre le sida a lieu ce dimanche 1er décembre. Pour cette occasion, Opinion Way délivre un sondage pour le moins inquiétant sur les fausses croyances qui circulent encore chez les étudiants.En 2018, près de 6 200 personnes ont découvert qu’elles étaient séropositives en France. Soit une baisse de 7% par rapport à l’année précédente. Il y a quelques mois, l’Onusida rapportait qu’en 2018, 770 000 personnes ont perdu la vie à cause du VIH dans le monde, soit un tiers de moins qu’en 2010. Malgré ces chiffres encourageants, les fausses idées sur la maladie ont la vie dure. Surtout chez les jeunes. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida ce dimanche 1er décembre, OpinionWay publie un sondage sur les fausses croyances qui persistent chez les étudiants. Des résultats inquiétants. L’inconscience de prendre des risques
Les lycéens et les étudiants ont d’abord tendance à abandonner
VIH : 50% des femmes européennes sont diagnostiquées sur le tard
source: La Dépêche La moitié des femmes en Europe est diagnostiquée tardivement, montre une étude dévoilée à quelques jours du 1er décembre, date de la journée mondiale de lutte contre le sida.Selon cette recherche, les femmes représentent un tiers des 141.000 nouveaux diagnostics de VIH dans la Région européenne de l'Organisation mondiale de la Santé. Les femmes âgées de 40 ans sont trois à quatre fois plus susceptibles d'être diagnostiquées tardivement que les femmes plus jeunes, indiquent le Centre de prévention et de contrôle des maladies européen (EDC) et le Bureau régional de l'OMS pour l'Europe, à l'origine de cette enquête. Les deux tiers (60
Vivre avec le VIH: « La vie s'arrête, puis elle renaît »
source : centrepresse Si la médecine progresse, le VIH est une cage et vivre avec le VIH peut être compliqué. Un tabou levé avec la Journée mondiale contre le sida et la parole de ceux qui l'ont apprivoisé.
Vivre, simplement vivre. Je n'ai que de l'amour à donner. Une soif qu'Aurélien (1) a parfois du mal à étancher avec de grosses baisses de moral. Sa prise de médicament quotidienne lui assure une espérance de vie « quasiment stable ». « Du moins, avec de fortes probabilités d'atteindre une charge virale indétectable, confie-t-il tout bas. C'est le fait de devenir non contaminant. » Pour ce Poitevin, proche de la quarantaine, « la vie s'est arrêtée en 2012 puis elle renaît dans la foulée ». Un bref coup de fil, après un don de sang, lui annonce la nouvelle. Un couperet. Il lui faut « tirer un trait sur sa vie sans VIH, comme un deuil ». En plein mois de décembre, la «
Paris sans sida : « un catalyseur » dans la lutte contre le VIH
source : toutelaculture Dans le cadre de la journée contre le Sida, Toute La Culture a souhaité vous présenter un acteur important de la lutte : Paris sans Sida. Eve Plenel, sa directrice générale, nous en dit plus à son sujet.Paris sans Sida est une « association » qui a fait ses premiers pas en 2016, à la suite d’une initiative d’ONUSIDA, qui désirait sensibiliser les grandes villes du monde dans cette lutte, et la ville de Paris. De cette initiative est née une déclaration. « La déclaration de Paris avait pour ambition d’uniformiser les engagements des maires vers une même direction : mettre fin à l’épidémie et s’intéresser aux personnes les plus touchés » explique Eve Plenel, sa directrice générale. La France est, en effet, un pays particulièrement touché par le VIH. Chaque année plus de 1000 Parisiens découvriraient qu’ils sont séropositifs. Selon la directrice de l’organisme, les populations les plus touchées demeurent les hommes homosexuels et le
VIH : le rôle des médecins généralistes
source : agora.fr
Près de quarante ans après l’apparition des premiers malades du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) aux États-Unis, une enquête réalisée par "egora-Le Panorama du médecin" fait le point, à l’occasion de la Journée mondiale le 1er décembre, sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, en particulier par les médecins généralistes.En 2018, 37,9 millions de personnes vivaient avec le VIH dans le monde, et seules 23,3 millions avaient accès à la thérapie antirétrovirale, révèlent les chiffres de l’Onusida 2019. En France, si le nombre de diagnostics de séropositivité est resté stable depuis 2010, il a baissé, pour la première fois en 2018 (7 % de moins que l’année précédente). Cette année-là, 56 % des personnes qui o
LES DONNÉES DU VIH EN ÎLE-DE-FRANCE
source : crips
En 2018, en Île-de-France, près de 2.500 personnes ont découvert leur séropositivité, soit 40% de l’ensemble des découvertes de séropositivité en France.Une diminution du taux de découvertes de séropositivité au VIH en Île de France Nouvelle encourageante : le taux de découvertes de séropositivité au VIH a diminué de 15% entre 2013 à 2018. La baisse est constatée chez les hétérosexuels nés en France ou à l’étranger, et chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes nés en France. En revanche, ce taux augmente chez les HSH nés à l’étranger. Au niveau départemental, on note une forte baisse à Paris, en Essonne, dans le Val de Marne et une forte augmentation en Seine-et-Marne. Que ce soit en région francilienne ou en France, le retard au dépistage demeure un problème majeur : 28% de l’ensemble des découvertes de séropositiv
La Seine-Saint-Denis veut protéger ses habitants du VIH
source : Le magzine de seine saint denis À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre le sida du 1er décembre, le Département se mobilise pour une Seine-Saint-Denis sans sida.Alors qu’il est le 2e département à être le plus touché par l’épidémie de Sida, le Département de la Seine-Saint-Denis a déclaré, ce 26 novembre, via son président Stéphane Troussel, vouloir « devenir le premier département de France pour le nombre de dépistage » mais également « être le premier pour le nombre de Prep (traitement préventif pour le VIH) ». Cette annonce a été faite à l’occasion du premier Comité stratégique d’orientation pour une Seine-Saint-Denis sans Sida qui réunissait une trentaine d’associations et d’institutions impliquées dans la lutte contre le VIH en Seine-Saint-Denis à Bobigny, à l’Hôtel du Département. « LA SEINE-SAINT-DENIS S’AIME SANS SIDA »
Un slogan fort, qui s’affiche depuis le 27 novembre dans les rues du d
Communications Les Actupiennes: Journée mondiale de lutte contre le Sida 2019
source : Les Actupiennes Les acteurs/trices de prévention VIH/sida, associations exerçant dans le champ de la santé doivent d’abord détenir une agrémentation spécifique, lourde à obtenir, permettant de réaliser des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). C’est un frein à faire sauter !
Le Conseil National du Sida vient de pointer la nécessité d’améliorer le dépistage du VIH en France et préconise de renforcer la diffusion des autotests, notamment en permettant aux associations d’en proposer.
Selon les derniers chiffres sortis à l’occasion du 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida, plus de 1700 personnes (sur les 6200 qui ont découvert leur séropositivité en 2018) étaient déjà à un stade avancé de l’infection.
Se faire dépister, plusieurs fois, est crucial, en plus de se protéger.
Pourtant tout est bloqu
L'Assemblée Nationale adopte un amendement historique sur la transparence
source : mediapart Dans le cadre des débats sur le projet de loi de financements de la sécurité sociale pour 2020, l’Assemblée nationale a adopté lundi soir, un amendement historique sur la transparence sur les prix des médicaments et contributions publiques en recherche et en développement (R&D). Lire le communiqué de l'ONG santé diabète et l'Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament.Un amendement historique a été adopté ce soir à l'Assemblée nationale, dans le cadre des débats en deuxième lecture sur le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS2020). Cet amendement qui a été déposé trois fois (une fois par le rapporteur général Olivier Véran, par la France Insoumise, et par le groupe La République en Marche) contraint les industriels à dévoiler, au moment de la fixation du prix du médicament, les investissements publics en R&D dont ils ont bénéficié.
Nous nous réjouiss
Nouvelle-Zélande : une banque de sperme pour donneurs séropositifs
source : le point Sperm Positive souhaite faire comprendre à l'opinion publique que la réduction de la charge virale permet d'éviter toute contagion du VIH, explique « The Telegraph ».
C'est une première mondiale. La Nouvelle-Zélande vient d'inaugurer une banque de sperme uniquement constituée de donneurs séropositifs, relate le journal britannique The Telegraph. Le but ? Casser les clichés entourant les individus porteurs du VIH. L'établissement, baptisé Sperm Positive, s'est lancé en récoltant la semence de trois donneurs dont la charge virale est indétectable. La présence du VIH dans leur sang est en effet tellement faible qu'elle ne peut être décelée par les méthodes classiques de dépistage. Cela ne signifie pas que les trois hommes sont guéris pour autant, mais qu'ils répondent très bien aux traitements et que le virus ne peut être transmis lors d'une relation sexuelle non protégée.
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