Notre actualité
Brèves
Sida : en finir avec les inégalités.
Source : Jeune Afrique Il y a quarante ans cette année, les premiers cas de sida étaient identifiés. Depuis, les traitements ont fait de grands progrès et l’objectif est d’en finir avec cette maladie à l’horizon 2030. Mais la pandémie de Covid-19 remet en cause cette ambition.
À mesure que les vaccinations contre le Covid-19 s’intensifient à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, de nombreuses personnes enlacent à nouveau leurs proches, les restaurants et les plages rouvrent et nous retrouvons un sentiment de normalité dans de nombreux pays. Dans la plupart des pays riches, la perspective de mettre un terme au Covid-19 en tant que menace de santé publique se profile. Pourtant, la pandémie continue d’avoir des effets dévastateurs dans de nombreux pays et communautés parmi les plus pauvres au monde. Dans le combat qui vise à mettre un terme aux maladies, les inégalités sont souvent le principal obstacle.
Grossesse et VIH : “Oui, une femme séropositive peut mener une grossesse normale”
Source : Parole de mamans
Depuis 1984, l'association AIDES soutient les personnes atteintes du VIH et d'hépatites. Pour les femmes enceintes contaminées par la maladie, les bénévoles tentent, à travers un travail quotidien, de mettre fin aux idées reçues sur la grossesse et le VIH.Oui, une femme séropositive peut mener une grossesse normale. Grâce au traitement TasP (Treatment as Prevention) qui rend la charge virale indétectable, une femme séropositive peut mettre au monde un enfant sans lui transmettre le virus. Le risque étant inférieur à plus ou moins 2%.
Contrairement à d'autres maladies, l'épidémie du SIDA a été rendue publique il y a seulement quarante ans. Aussi, si la plupart des gens en connaissent les grandes lignes, la maladie fait m
Découverte du sida : «Arrive alors un patient, un steward»
Source : Libération C'est le 5 juin 1981, dans la revue «Morbidity and Mortality Weekly Report», qu'apparaît la première trace scientifique de ce qui va devenir le VIH, comme le raconte le professeur Willy Rozenbaum, futur co-découvreur de la maladie, alors médecin à Paris. Et qu'en est-il de la naissance officielle du Covid-19 ?
Nous sommes le 5 juin 1981, jour de la parution aux Etats-Unis de la dernière livraison de la revue du CDC (Centers for Disease Control), appelée Morbidity and Mortality Weekly Report. C'est la bible de l'épidémiologie mondiale. «En France, on devait être tout au plus cinq personnes qui recevaient la revue du CDC», nous avait raconté le professeur Willy Rozenbaum. Alors jeune médecin à l'hôpital Claude-Bernard, dans le nord de Paris, il travaille sur
ONUSIDA : Les progrès du Maroc contre le VIH-Sida "sont éloquents".
Source : L'économiste Les progrès du Maroc en matière de lutte contre le VIH-Sida sont "éloquents" et ses réalisations dans ce sens dépassent les moyennes mondiale et régionale, a affirmé le directeur du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) au Maroc, Kamal Alami.
Il a souligné que le Royaume a réalisé une moyenne de couverture par le traitement antirétroviral de 76% dépassant même la moyenne mondiale qui est de 73% et la moyenne régionale Afrique du Nord/Moyen Orient qui est de 41%. Selon un dernier rapport du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) intitulé "Engagements mondiaux, action locale. Après 40 ans de Sida, la voie à suivre pour mettre fin à la pandémie", la région de l’Afrique du Nord et du Monde arabe est très en retard dans ce domaine avec une couverture par le traitement antirétroviral qui ne dépasse pas les 40%.
COVID-19 : Nelfinavir et cépharanthine, la « dream-team » ?
Source : Santé Log
Ils l'appellent la « dream team », il s'agit plus sérieusement d'une combinaison de 2 médicaments, le nelfinavir, un médicament antirétroviral utilisé pour le traitement de l'infection par le VIH et la cépharanthine, un composé anti-inflammatoire et anticancéreux, isolé d'une plante orientale. Ce duo de médicaments pourrait présenter une efficacité très élevée contre le COVID-19, démontrent ces expériences précliniques publiées dans la revue iScience.Les scientifiques de l'Université de Tokyo ont, là encore, « criblé » toute une base de médicaments, à la recherche de repositionnements d'agents existants dans le traitement de COVID-19. Car si nous disposons aujourd'hui de toute une série de vaccins efficaces co
VIH / sida : les contributions de Coalition PLUS en réponse à la Déclaration Politique de la Réunion de Haut Niveau de l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Source : Coalition Plus En 2020, 690 000 personnes sont mortes de maladies liées au VIH / sida. Partout dans le monde, l'épidémie reste une menace pour la santé publique. Du 8 au 10 juin 2021, l'Assemblée générale des Nations Unies se réunira pour évaluer les progrès réalisés dans la lutte contre le VIH / sida. A cette occasion, les Etats membres adopteront une déclaration politique, afin de définir les grandes orientations et objectifs de la riposte à l'épidémie pour les 5 prochaines années. Coalition PLUS, ses membres et partenaires, ont souhaité apporter leurs contributions. Moins d'inégalités, plus d'inclusion, moins de VIH
En tant que réseau international d'ONG communautaires de lutte contre le sida et les hépatites virales agissant dans 52 pays auprès d'une centaine d'organisations de la société civile, nous reconnaissons les efforts importants qui ont été déployés par les États qui ont participé au processus de
VIH : Quand il s’attaque à la substance blanche.
Source : Santé Log
Comment l'infection par le VIH rétrécit la substance blanche du cerveau, c'est ce que nous explique cette équipe de l'Université de Pennsylvanie. Un mécanisme par lequel l'infection bloque le processus de maturation des cellules cérébrales qui produisent la myéline, une substance grasse qui isole et protège les neurones. Ces travaux, publiés dans la revue Glia, identifient notamment le rôle clé du glutamate, un neurotransmetteur, produit en excès par les macrophages infectés par le VIH et déjà connu pour ses effets neurotoxiques à niveaux élevés.On sait depuis longtemps que les personnes vivant avec le VIH accusent une perte de substance blanche dans le cerveau. Contrairement à la « matière grise », composée d
Pharmaciens prescripteurs : leurs prérogatives précisées.
Source : Medscape Les pharmaciens, à l'instar des infirmiers, bénéficient depuis l'adoption de la loi du 24 juillet 2019 sur la transformation et l'organisation du système de santé, de nouvelles prérogatives en matière de prescriptions. Et ce malgré l'opposition farouche des syndicats de médecins libéraux, qui avaient bataillé contre l'amendement du député et médecin urgentiste Thomas Mesnier, lequel avait introduit cette possibilité de prescription pharmaceutique, très encadrée néanmoins.
Des nouveaux textes de loi apportent des précisions.
Un décret du 28 mai 2021 rend désormais possible la désignation, par le patient, d'un pharmacien correspondant. Dans le cadre d'une structure d'exercice coordonné, celui-ci aura la capacité de renouveler un traitement et, le cas échéant, d'en ajuster la posologie, toujours en accord avec le prescripteur.
Aussi, un arrê
Comment la saison 8 de Skam aborde avec justesse le sujet du VIH.
Source : Konbini Biiinge L’épisode 4 de la saison 8 de Skam a révélé qu’un des personnages était porteur du VIH.
Dans la grande tradition de Skam, la version française diffusée avec succès depuis 2018 propose pour chacune de ses saisons de se centrer sur un personnage, et d’aborder à travers lui une thématique sociétale importante. Lancée le 3 mai dernier sur France.tv Slash, la saison 8 ne semblait pas déroger à la règle. Parmi la nouvelle génération d’adolescent·e·s – introduite dans une saison 7 centrée sur le personnage de Tiffany Prigent (Lucie Fagedet) et son déni de grossesse –, on allait cette fois s’intéresser au quotidien compliqué de Bilal Cherif (Khalil Ben Gharbia) et aborder la question de la précarité des jeunes.En effet, dans les premiers épisodes, le jeune homme se retrouve sans domicile fixe avec so
AAH : plaidoyer pour une véritable mesure de justice sociale.
Source : Act-Up Paris Nous, personnes vivant avec le VIH, activistes de la lutte contre le VIH-sida, personnes handicapé·e·s et militant·e·s d’Act Up-Paris appelons les député·e·s à voter le 17 juin prochain en faveur de la loi 3970 portant sur diverses mesures de justice sociale qui prévoit notamment de déconjugaliser le calcul de l’Allocation Adulte Handicapé.
Nous, personnes vivant avec le VIH, activistes de la lutte contre le VIH-sida, personnes handicapé·e·s et militant·e·s d’Act Up-Paris appelons les député·e·s à voter le 17 juin prochain en faveur de la loi 3970 portant sur diverses mesures de justice sociale qui prévoit notamment de déconjugaliser le calcul de l’Allocation Adulte Handicapé. Nous portons également d’autres revendications pour une véritable justice sociale pour tou·te·s L’AAH, UN ENGAGEMENT HISTORIQUE D’ACT UP-PARIS
L’Allocation Adulte Handicapé a tou
Pourquoi n’existe-t-il pas de vaccin contre le sida alors qu’un an a suffi pour en développer plusieurs contre le Covid-19 ?
Source : Le Monde En moins d'un an, plusieurs vaccins contre le Covid-19 ont été créés. A l'inverse, quarante ans après la première alerte sur le sida, il n'en existe aucun contre cette maladie. La virologue Christine Rouzioux explique les raisons de ce décalage. Quarante ans après la première alerte sur le sida, le 5 juin 1981, il n'existe toujours aucun vaccin contre le sida. On ne guérit pas du sida : les personnes séropositives sont contraintes de suivre un traitement à vie. A l'inverse, les chercheurs ont réussi une course contre la montre exceptionnelle face au coronavirus. En moins d'un an, plusieurs vaccins contre le Covid-19 ont été autorisés. Comment expliquer un tel décalage ?
Le VIH et le coronavirus sont en fait deux virus très différents, explique Christine Rouzioux, professeure ém