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Brèves
Les vaccins réduisent fortement le risque de forme grave de Covid-19 chez les personnes de plus de 75 ans en France.
Source : ANSM Dans le cadre du dispositif renforcé de surveillance des vaccins contre la Covid-19, EPI-PHARE (Groupement d’Intérêt Scientifique ANSM-Cnam) a réalisé une large étude de pharmaco-épidémiologie sur plus de 4 millions de Français âgés de plus de 75 ans, afin de comparer l’incidence des hospitalisations pour Covid-19 chez les personnes vaccinées au cours des deux premiers mois de la campagne vaccinale en France par rapport aux personnes non vaccinées.
Les premiers résultats de cette étude mettent en évidence l’impact majeur de la vaccination en France. Le risque de forme grave de Covid-19 diminue ainsi de 87 % chez les personnes de plus de 75 ans, dès 7 jours après l’injection de la 2e dose. Cela signifie qu’elles ont 9 fois moins de risque d'être hospitalisées pour Covid-19 que les personnes de plus de 75 ans non vaccinées.
La vaccination contre la Covid-19 a débuté en France le
L’ARS organise une semaine de dépistage contre le virus du VIH à partir du lundi 31 mai en Normandie.
Source : Paris Normandie L'ARS et le Corevih mènent conjointement une semaine de dépistage contre le VIH dans toute la Normandie, entre le lundi 31 mai et le samedi 5 juin 2021. Le but : que toute l'attention autour de la Covid-19 ne fasse pas oublier les autres infections.
Le chiffre parle de lui-même : sur l'année 2020, le nombre de dépistage dans les centres de Normandie contre le virus du VIH a chuté de 27 %. La faute à la pandémie de Covid-19 qui s'est abattue depuis plus d'un an. C'est pourquoi, l'Agence régionale de santé (ARS) de Normandie et le Comité de coordination de la lutte contre les infections sexuellement transmissibles et le VIH (Corevih) vont lancer à partir de lundi 31 mai 2021, et ce, jusqu'au samedi 5 juin 2021, la 3e édition de la semaine du dépistage et de prévention partout en Normandie.
« Avec le Covid, on a beaucoup moins parlé de la question du VIH, mais il est t
Le Palais des congrès de Montréal accueillera AIDS 2022 - la 24e Conférence internationale sur le sida - en juillet 2022
Source : Québec Le Palais des congrès de Montréal et Tourisme Montréal sont fiers d'annoncer que l'IAS - International AIDS Society - a choisi de tenir la 24e Conférence internationale sur le sida, AIDS 2022, dans la métropole québécoise. AIDS 2022 suivra un modèle hybride qui combine des éléments en personne et virtuels pour s'assurer de l'accessibilité de tous ceux qui souhaitent y assister. Des scientifiques, des décideurs publics et des activistes du VIH sont attendus à Montréal du 29 juillet au 2 août 2022, avec la tenue de pré-conférences les 27 et 28 juillet. Cela devrait générer 39 000 nuitées et des recettes touristiques estimées à plus de 20,7 M$.
La nouvelle est d'ampleur historique puisque ce congrès international est le cinquième en importance pour le nombre de participants à se tenir au Palais des congrès depuis son inauguration en 1983. Un travail d'équipe récompensé.
Prévention du VIH : efficacité confirmée de la prophylaxie pré-exposition en Afrique de l’Ouest.
Source : Inserm Que ce soit en prise quotidienne ou à la demande, la prophylaxie pré-exposition – ou PrEP – a permis de réduire les nouvelles contaminations par le VIH dans une étude de cohorte menée dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest pendant 2 ans et demi chez près de 600 hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). En outre, l’utilisation de la PrEP ne s’est pas accompagnée d’un « relâchement » des comportements sexuels et d’une augmentation des autres infections sexuellement transmissibles. Les résultats de cette étude, menée par des chercheurs de l’Inserm et de l’IRD et soutenue par l’ANRS et Expertise France (L’Initiative), viennent d’être publiés dans The Lancet HIV, le 25 mai 2021. Ils démontrent l’intérêt de rendre la PrEP plus largement disponible dans les programmes de prévention contre le VIH en Afrique de l’Ouest.
Si la prévalence du VIH est relativement faible dans la population générale en
Le vaccin anti-COVID-19 de Pfizer-BioNTech donne des résultats encourageants chez des personnes séropositives.
Source : CATIE
Le vaccin anti-COVID-19 de Pfizer-BioNTech donne des résultats encourageants chez des personnes séropositives.- Rares sont les études traitant de personnes séropositives vaccinées contre la COVID-19
- Des scientifiques d’Israël ont étudié 143 personnes séropositives qui avaient reçu le vaccin de Pfizer-BioNTech
- L’équipe a constaté la présence de taux élevés d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 après la deuxième vaccination
Même si plusieurs essais cliniques pivots des vaccins anti-COVID-19 de première génération ont été menés, les fabricants n’ont pas publié de rapports détaillés sur l’efficacité des vaccins chez des populations particulières, notamment les personnes vivant avec le VIH. Pour combler cette lacune, des études par observation sont en cours.
Une équipe de r
Générations positives : José et Jean-Louis (Témoignages).
Source : Seronet José a 56 ans, quatre enfants et six petits-enfants. Il vit avec le VIH depuis 1992. Jean-Louis a 66 ans, quatre enfants et six petits-enfants. Il vit avec le VIH depuis 2005. Ils ne se connaissent pas et ne se sont jamais parlé. Aujourd’hui, ils participent à un entretien croisé. Dans quelles circonstances avez-vous découvert votre séropositivité ?
Jean-Louis : Il faut savoir que j’ai eu une première vie hétérosexuelle avec femme et enfants. En parallèle, j’ai dû gérer un problème d’alcoolisme et une homosexualité refoulée. En 1999, avec l’arrêt de l’alcool, j’ai ressenti le besoin d’assumer mon homosexualité. J’en ai d’abord parlé dans un groupe de parole sur le lieu de sevrage. À l’époque, je me considérais comme un « monstre », mais j’ai intégré un groupe de pères de famille gays au sein de l’association LGBT David et Jonathan (1). Cela m’a donné la force d’en parler à mes enfants qui ont accueilli c
VIH et Covid : Une équation dangereuse.
Source : What's Up Doc ?
Selon une méta-analyse, les personnes vivant avec le VIH infectées par la Covid-19 présenteraient un risque de mortalité de près de 80 % plus élevé que les personnes ne vivant pas avec la maladie.VIH et Covid, un cocktail explosif ? C'est en tout cas ce que semble démontrer les données rassemblées par une méta-analyse parue dans la revue Scientific Reports le 18 mars dernier. « Les personnes séropositives avaient un risque significativement plus élevé d'infection par le SRAS-CoV-2
VIH : l'efficacité de l'islatravir ouvre des pistes pour la simplification du traitement.
Source : Le Quotidien du Médecin L'islatravir, un inhibiteur de la translocation de la transcriptase inverse des nucléosides indiqué dans le traitement de l'infection à VIH, vient de donner de bons résultats dans une étude clinique de phase 2b publiée dans le « Lancet ».
Qualifiée de « molécule très prometteuse », par le Pr Jean-Michel Molina, premier auteur de l'étude et chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saint Louis et Lariboisière (Université de Paris et AP-HP), l'islatravir est un nouvel inhibiteur de la transcriptase du VIH ayant de multiples mécanismes d'action dont une inhibition de la translocation, et qui dispose d'une barrière génétique très élevée à la résistance. « Sa particularité est aussi que cette molécule reste efficace à des concentrations très faibles et qu'elle dispose d'une très longue demi-vie intracellulaire », complète le Pr Molina. Vers une bithérapie
Billy Porter, star de la série "Pose", révèle être séropositif.
Source : Huffpost L'acteur américain sait qu'il est porteur du VIH depuis 14 ans. Il veut aujourd'hui envoyer un message positif et assure n'avoir jamais été en "aussi bonne santé".
C’est une déclaration importante. Dans une interview au Hollywood Reporter, la star de la série à succès “Pose” Billy Porter révèle qu’il a été diagnostiqué positif au VIH il y a 14 ans, en 2007.
“La honte de cette époque et la honte que j’avais accumulée dans ma vie m’ont contraint au silence et j’ai vécu dans le silence pendant 14 ans, a-t-il confié. Être séropositif d’où je viens, dans l’église pentecôtiste avec une famille très religieuse, c’est une punition divine”.
L’acteur de 51 ans explique en avoir parlé à “tous ceux qui avaient besoin de le savoir”, sauf à sa mère. “J’essayais d’avoir une vie et une carrière et je n’étais pas certain que c’était possible si les mauvaises
Quelles stratégies pour diminuer encore davantage la transmission du VIH de la mère à l’enfant après la naissance ?
Source : Inserm Les mesures de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant ont permis d’éviter 1,4 million de contaminations entre 2000 et 2015. Malgré tout, 160 000 cas de VIH pédiatriques ont été dénombrés en 2018. Pour stopper la transmission maternelle du VIH, des efforts restent à faire, en particulier pour réduire encore plus drastiquement les contaminations par l’allaitement. Un groupe de chercheurs internationaux, menés par les Pr Philippe Van de Perre (Inserm, université de Montpellier, EFS et université des Antilles) et Ameena Goga (South Africain Medical Research Council – SA-MRC et université de Pretoria) ont exploré les stratégies biomédicales complémentaires à mener dans les zones à forte prévalence et incidence du VIH pour éviter la transmission postnatale du virus, dans un article publié le 3 avril dans The Lancet.
D’importants progrès ces vingt dernières années on