Notre actualité
Brèves
« Mon test IST » : un dépistage gratuit pour les moins de 26 ans à partir du 1er septembre
Source : Ouest-France
À compter du dimanche 1er septembre 2024, les moins de 26 ans pourront se faire dépister gratuitement sans ordonnance pour quatre infections sexuellement transmissibles, en plus du VIH qui était déjà remboursé, a indiqué ce vendredi 30 août le ministère de la Santé.
C’est sur fond de hausse des infections sexuellement transmissibles (IST) entre 2021 et 2023 que le ministère de la Santé a décidé d’étendre le dépistage gratuit pour quatre infections en plus du VIH. Annoncée en septembre 2022, cette mesure avait été inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023. Dans un rapport de l’OMS publié jeudi 29 août 2024, l’Organisation mondiale de la santé alerte d’ailleurs sur le manque d’utilisation des préservatifs par les adolescents. Quatre nouvelles infections prises en charge
À compter du 1er septembre, un dépistage des IST, à la demande du patient et sans ordonnance, sera pris en charge par l’assurance maladie
VACCINATION MPOX : POUR QUI ? OÙ ? COMBIEN DE DOSES ?
Source : AIDES Remaides
Depuis que l’OMS a déclenché son niveau d’alerte le plus élevé à la suite d’une résurgence du Mpox (lire notre article), de nombreuses personnes se posent des questions sur la vaccination. Suis-je éligible ? Où me faire vacciner ? Combien de doses ? La rédaction de Remaides fait le point.
Ne cédons pas à la panique générale !
Tous-tes les experts-es le disent. La situation n’est, aujourd’hui, pas inquiétante en France. Le risque d’infection par un virus Mpox de clade I pour la population européenne est considéré, à ce jour, comme faible par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Néanmoins, une vigilance et des stratégies de réponse se mettent en place. Des réunions se multiplient depuis plusieurs jours entre les autorités de santé (Direction générale de la Santé) et les associations communautaires de santé (Médecins du Monde, Actions Traitements, AIDES, etc.) afin de mettre en place une str
MPOX : ALERTE MONDIALE SUR UNE NOUVELLE SOUCHE
Source : AIDES Remaides
L’OMS a déclenché mercredi 14 août son niveau d’alerte le plus élevé à la suite d’une résurgence du Mpox (anciennement Monkeypox ou variole du singe). L’alerte est venue du continent africain ; de la République démocratique du Congo (RDC) plus particulièrement. Il faut dire que l’épidémie de Mpox qui y sévit actuellement en raison d’une nouvelle souche (clade 1b) est meurtrière. La rédaction de Remaides fait le point sur la situation dans le monde et en France.
RDC : 548 morts des suites du Mpox depuis le début de l’année.
L’épidémie actuelle de Mpox en RDC a fait 548 morts depuis le début de l’année et touche désormais toutes les provinces de ce pays d’environ 100 millions d’habitants-es. Un rapport épidémiologique, publié mi-août et commenté par le ministre de la Santé Samuel-Roger Kamba, expliquait : « Notre pays a enregistré 15 664 cas potentiels et 548 décès depuis le début de l’année ». Au 3 août, l’agence de santé
L'Actu vue par Remaides : Maladies chroniques et travail : l’égalité en jeu !
Source : AIDES Remaides Maladies chroniques et travail : l'égalité en jeu !
En décembre 2023, la Défenseure des droits (DDD) et l’Organisation internationale du travail (OIT) publiaient leur 16e baromètre sur la perception des discriminations dans l’emploi. Cette enquête dressait un panorama des discriminations dans l’emploi, secteurs privé et public, concernant notamment les personnes vivant avec une maladie chronique. Remaides N°127 (printemps 2024) en a rendu compte. Qualification des faits, recours possibles, obligations légales des employeurs-ses et rôle de la médecine du travail. Remaides fait le point dans cette seconde partie.
Pourquoi s’intéresser aux maladies chroniques et à leurs impact et prise en compte dans le domaine de l’emploi ? Sans doute parce qu’elles prennent aujourd’hui une plus grande place. De fait, elles sont en constante augmentation. La part de la population active atteinte d’une maladie chronique était estimée en 2019 à 1
L'actu vue par Remaides Prisons : la réduction des risques à la peine !
Source : Actu Remaides
En 2016, le Parlement inscrivait, dans la loi Santé, l’extension à la réduction des risques (RdR) du principe d’équivalence des soins entre le milieu ouvert et le milieu fermé. Huit ans plus tard, le décret d’application n’est toujours pas publié et la loi n’est toujours pas respectée. Deux sénatrices, Anne Souyris et Annick Jacquemet, se sont emparées du sujet et ont décidé de constater d’elles-mêmes la situation de la RdR en prison : l’une à Montpellier, l’autre à Besançon. La rédaction de Remaides les a rencontrées et accompagnées à l’occasion de ces visites. Première partie d’un dossier dont la suite sera à lire cet automne.
Située à 12 km de Montpellier, dans l’Hérault, la maison d’arrêt de Villeneuve-Lès-Maguelone a été inaugurée en 1990, en remplacement de l’ancienne maison d’arrêt, vétuste, située en centre-ville. L’établissement en impose par sa taille, ses bâtiments en étoile ou en épis (selon le point de vue), ses infrastructur
Virus mpox : risque-t-on une propagation mondiale du nouveau variant ?
Source : Le Monde
Deux cas de mpox ont été identifiés en dehors d’Afrique depuis que l’OMS a déclaré que la maladie était une urgence de santé publique de portée internationale.
Dans le centre de traitement pour la mpox de l’hôpital de Nyiragongo, à Goma, en République démocratique du Congo, le 16 août 2024. GUERCHOM NDEBO / AFP
Quels sont les risques que la mpox se diffuse à nouveau dans le monde, deux ans après l’épidémie qui avait causé la mort de 140 personnes et provoqué quelque 90 000 cas dans plus de 75 pays ? La question commence à s’imposer parmi les experts, alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété, mercredi 14 août, que l’épidémie de mpox en cours en République démocratique du Congo (RDC) et dans plus d’une dizaine d’autres pays africains constituait une urgence de santé publique de portée internationale (Usppi), le plus haut niveau d’alerte de l’organisation on
L'OMS déclare que le mpox est une urgence de santé publique de portée internationale
Source : Nature africa
La propagation du virus Mpox reflète la propagation historique du VIH en Afrique via les couloirs de transport et les réseaux sexuels.
Alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique de portée internationale, les experts qui se sont exprimés lors de la conférence de presse ont averti que les statistiques actuelles pour l'Afrique ne reflètent probablement que la partie émergée de l'iceberg, en raison des faiblesses des systèmes de santé et des disparités en matière de dépistage et de surveillance.
La déclaration de l'OMS fait suite à la toute première déclaration d'urgence de santé publique de sécurité continentale faite par les Centres africains de contrôle des maladies le 13 août.
Les inquiétudes sont d'autant plus vives que l'on observe de plus en plus de cas de co-infection mpox-VIH, ce qui reflète la propagation historique du VIH sur le continent via les couloir
VIH : bientôt la fin ?
Source : France culture
Le Lénacapavir : aujourd'hui, un tournant historique dans la lutte contre le VIH, mais avec cet enjeu : l'accessibilité.
Plus de 40 ans après la découverte du VIH par des scientifiques français, le sida est passé d’une maladie mortelle à une maladie chronique grâce aux trithérapies.
Un nouvel espoir vient de naître.
C’était le 24 juillet à Munich lors de la 25e conférence internationale sur le sida, l’annonce d’une avancée majeure : un nouveau médicament préventif efficace à 100 % ! Pour les personnes séropositives, l’espoir est immense, à la hauteur de l’enjeu : rendre désormais ce traitement accessible à tous, en particulier aux plus vulnérables. Le Lénacapavir, un médicament révolutionnaire, pas un vaccin
"Comme c'est un médicament qui est injectable et que c'est deux fois par an, c'est une facilité d'administration. C'est en sous-cutanée. La personne peut se le faire elle-même. Il n'y a plus besoin d'avoi
L'influence russe aggrave l'épidémie de VIH en Europe de l'Est et en Asie centrale
Source : Slate
Quel peut bien être le lien entre la Russie et une hausse des décès liés au sida? En Europe de l'Est et en Asie centrale, depuis 2010, ils ont progressé de 34%, tandis que les nouveaux diagnostics de VIH ont augmenté de 20%. Il s'agit des taux les plus élevés au monde.
D'après des responsables de santé, l'influence croissante de la Russie sur ces régions serait à l'origine de l'aggravation de l'épidémie. Ainsi, les efforts visant à améliorer les traitements et à prévenir les infections sont entravés par la propagande russe, souligne le quotidien britannique The Guardian.
La plupart des nouvelles infections touchent les consommateurs de drogues injectables (CDI), les travailleurs du sexe ainsi que les homosexuels –et, évidemment, leurs partenaires. La propagande de la Russie cible particulièrement les services de thérapie de remplacement des opioïdes (médicaments contre la douleur), qui réduisent le risque d'infection par le VIH chez le
Traitement préventif post-exposition au VIH
Source : HAS
À la demande du ministère chargé de la santé, le Conseil National du Sida et des hépatites virales (CNS) et l'Agence nationale de recherches sur le sida | Maladies infectieuses émergentes (ANRS | MIE) ont sollicité la Haute Autorité de santé (HAS) pour l’élaboration d’une actualisation des recommandations françaises de prise en charge des personnes vivant avec le VIH (PVVIH).
L’accompagnement de la HAS s’est inscrit dans le cadre de la labellisation par la HAS d’une recommandation élaborée par un organisme professionnel. Quels sont les objectifs de cette recommandation ?- Permettre aux professionnels de santé concernés d’accompagner les personnes exposées au VIH et de leur prescrire un traitement post exposition, ou de leur délivrer un kit de démarrage dans l’attente de l’avis d’un service de référence.
- Mettre les professionnels de santé en capacité d’informer la population sur les avantages et les limites du traitement post exposition, de po