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Brèves
ArtPositive - Galerie Marie de Holmsky
Source : Actions Traitements
Une exposition internationale d'artistes vivant avec le VIH
Bien que la science ait fait de grands progrès, la discrimination à l'égard des personnes vivant avec le VIH est restée. La peur et les préjugés sont profondément enracinés dans les gens, sans raison valable. Cependant, certaines personnes séropositives se stigmatisent elles-mêmes et beaucoup ne peuvent, à cause de la pression publique, se dire séropositifs.
ArtPositive est un projet artistique, dont le point culminant est une exposition internationale d'artistes visuels vivant avec le VIH. L'objectif de cette initiative est de combattre, à travers l'art, la stigmatisation, la discrimination et l'isolement des personnes vivant avec le virus.
Nous sommes des artistes séropositifs de différents pays et nous voulons dire NON à la stigmatisation liée au VIH ! Nous voulons montrer par notre création artistique exposée dans une galerie d'art haut de gamme, située dans l'épice
Les réseaux comme nouvelle force de frappe pour la campagne de prévention estivale VIH/SIDA
Source : France 3 Corse
Depuis le 5 juillet, l'association de lutte contre le SIDA a commencé sa campagne de prévention estivale. Cette année, Aiutu Corsu l'a réalisé sur internet avec pour objectif : cibler la jeunesse qui méconnaît encore trop la maladie. En France, près de 6 000 contaminations sont détectées chaque année. •
« Quand on s’aime, on se protège ». C’est le slogan de prévention affiché par Aiutu corsu. Comme chaque année, l’association de lutte contre le SIDA, a déployé depuis le mois de juillet sa campagne estivale à travers toute la Corse. Cibler les jeunes
Depuis plusieurs années, les élèves du lycée professionnel de Finosello à Ajaccio participent à un concours de réalisation d’affiche. Pour leurs travaux, les élèves se sont inspirés de l’artiste Arthur Aeschbacher pour créer une affiche avec un visuel simple et percutant.
Grâce à ce concours, l’objectif est double. D’abord enr
La lutte contre le sida a tout changé dans ma vie
Source : SERONETC’est dans son lumineux appartement parisien, situé à quelques minutes à pied de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, que me reçoit la docteure Anne Simon. « Je prépare mon discours pour mon pot de départ qui aura lieu demain alors notre entretien tombe à pic », me confie celle qui a consacré 35 années de sa vie et sa carrière à la lutte contre le VIH/sida. En quelle année avez-vous commencé à suivre des personnes séropositives en tant qu’infectiologue et comment avez-vous vécu la période 1981-1996 ?
Anne Simon : J’ai commencé en 1986 comme cheffe de clinique en médecine interne à la Pitié Salpêtrière où j’ai effectué toute ma carrière. Je venais de cardiologie et je ne connaissais pas grand-chose au VIH. Cette période fut très particulière. J’ai vécu beaucoup de changements à la fois sur le plan de ma vie personnelle, mais aussi d’un point de vue médical et scientifique. Le VIH/sida a tout changé de la relation médec
La greffe solidaire entre personnes qui vivent avec le VIH enfin possible !
Source : TRT-5 CHV
Le 15 juillet dernier, le ministère des Solidarités et de la Santé a annoncé la publication de l’arrêté autorisant le prélèvement et la greffe d’organes entre donneur.e.s et receveur.e.s vivant avec le VIH. La publication intervient après plus de 5 années de plaidoyer de la part des collectifs CHV (Colle ctif Hépatites Virales) et TRT-5, devenus depuis 2019 un seul et même collectif.
En 2018, près de 24 000 personnes étaient en attente d’une greffe d’organe quand moins de 6 000 transplantations étaient réalisées[i]. Chaque année, plus de 500 personnes décèdent en attente d’une greffe. Faut-il le répéter, la principale cause d’échec de la transplantation résulte de l’absence de greffe faute d’organe disponible. Pourtant, un seul donneur permet en moyenne de sauver la vie de trois personnes.
Pour lutter contre la pénurie de greffons, le gouvernement s’est engagé dans son Plan Greffe 2017-2022 à diversifier les prélèvements à partir de don
Actions Traitements recrute : un-e stagiaire communication, web, événementiel
ACTIONS TRAITEMENTS est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose différents outils d’information (brochures, dépliants, affiches, site Internet), une permanence téléphonique, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, un programme d’éducation thérapeutique (ETP) et est présente sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, Youtube).
Objectifs et missions :
Le/la stagiaire participe à la mise en place de différents projets dans le domaine de l’édition, du numérique, de la communication et de l’événementiel. Il ou elle fait partie intégrante de l’équipe et travaille en lien avec les deux chargé.e.s de mission.
Les principales missions principales sont les suivantes :- Déploiement de la stratégie de communication, essentiellement digitale, avec le responsable du projet : gestion des contenus et mis
En Afrique de l’Ouest, l’autotest VIH entre en scène
Source : Libération Alors qu’un tiers des séropositifs ignorent leur statut, la distribution de tests oraux rapides s’accélère au Mali, au Sénégal et en Côte-d’Ivoire. Avec des premiers résultats encourageants.
Ils sont une dizaine de jeunes hommes, assis dans le salon d’une maison isolée de Kati, en banlieue de Bamako, au Mali. Mohamed (le prénom a été changé) est venu présenter les nouveaux autotests VIH. Il ouvre une trousse, sort une spatule et montre comment la passer sur ses gencives avant de la plonger dans le tube de réactif. «En vingt minutes, vous pouvez savoir si vous êtes séropositif ou non», conclut-il. Approbations silencieuses dans l’assemblée attentive.
Mohamed est un animateur de la clinique Soutoura, un centre de soins bamakois qui assure le dépistage et le suivi des personnes séropositives. Aujourd’hui, comme chaque semaine, il rencontre discrètement des membres de la
Camille Spire, nouvelle présidente d’Aides : «Avec le Covid, ce fut une rencontre loupée»
Source : Libération Première femme élue à la présidence de la plus importante association de lutte contre le sida d’Europe, la militante insiste sur la nécessité d’impliquer les malades dans la lutte contre les épidémies.
«Un rendez-vous raté». La formule est malheureusement juste. Camille Spire, tout juste élue à la tête d’Aides, la plus importante association de lutte contre le sida en Europe (près de 500 salariés et un budget qui tourne autour de 50 millions d’euros), le constate avec inquiétude. Alors que l’expérience de la lutte contre le sida aurait pu apporter une contribution essentielle dans la lutte contre le covid – avec la mobilisation des premiers intéressés, fruit de l’histoire du VIH –, ce ne fut pas le cas. «Au contraire, on a assisté à une marginalisation des malades, laissés de côté comme s’ils étaient le problème. On a décidé sans eux, alors que la lutte contre le sida a montré l’inverse», analyse
Journée Mondiale contre l'hépatite - CP - Hépatite B, une épidémie silencieuse.
Source : TRT-5 CHV Le virus de l’hépatite B touche plus de 250 millions de personnes dans le monde et provoque près de 900 000 décès par an. En France, on estime que plus de 130 000 personnes vivent avec une hépatite B chronique[i]. Celle-ci est responsable de 1300 décès chaque année. Une situation d’autant plus regrettable que s’il n’existe toujours pas actuellement de traitement qui permette de guérir de la maladie, un vaccin préventif efficace est disponible depuis maintenant 30 ans !
Pourtant, maladie souvent asymptomatique, méconnue du grand public, sous-dépistée et mal documentée d’un point de vue épidémiologique, l’hépatite B continue de se propager silencieusement. En 2016, on estimait que 82,5% des personnes porteuses d’une hépatite B chronique ignoraient leur statut[ii]. C’est également une maladie marquée par les inégalités, qui touche particulièrement les plus vulnérables en France, notamment les personnes mig
Ikambéré, la maison des femmes migrantes atteintes du VIH
Source : RFI
Ikambéré est un lieu situé à Saint-Denis, en région parisienne, où des femmes migrantes atteintes du VIH trouvent refuge. Créée il y a plus de 20 ans par la Rwandaise Bernadette Rwegera, l’association Ikambéré aide ces femmes à se redresser. Un livre éponyme intitulé : « Ikambéré, la maison qui relève les femmes » présente cet endroit fascinant. Les explications de l’auteure Annabel Desgrées du Loû, chercheure à l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement.
=> Pour écouter la suite du podcast, se rendre sur RFI
COVID-19 & VIH, QUELLES INTERACTIONS ?
Source : JDS Dès l’identification en janvier 2020 d’un nouveau coronavirus nommé « SARS-CoV-2 » comme responsable d’une maladie respiratoire épidémique en Chine, les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), la communauté associative et les infectiologues se sont posé la question : est-on plus à risque d’avoir cette maladie, la COVID-19, et d’en faire une forme grave quand on vit avec le VIH ? On sait en effet que le déficit immunitaire causé par le VIH augmente déjà le risque de complications graves résultant d'une infection par des virus respiratoires tels que la grippe ou les pneumocoques.
Le coronavirus SARS-CoV-2 s'est propagé à grande vitesse. Le 11 mars 2020 l’OMS a déclaré que l’épidémie était désormais une pandémie. Pour freiner la formation de nouveaux foyers de contagion et préserver les capacités d'accueil de leurs hôpitaux, de nombreux pays dont la France ont décidé des mesures de confineme