Notre actualité
Brèves
Les gobelets : un sida très politique !
Source : SERONET Dans la galerie 3, du premier étage du nouveau musée Bourse de commerce Pinault Collection, à Paris, les visteurs-ses sont nombreux-ses. Une belle affluence pour le dernier en date des musées privés parisiens, ouvert en mai dernier. Nous sommes fin juillet. Le musée est magnifique par l’aménagement qu’il propose, associant l’histoire d’un bâtiment créé au 19e siècle à la modernité apportée par un des plus grands architectes du moment, Tadao Ando. L’association détonne et séduit. Elle sert d’écrin à une collection qui mêle figures emblématiques de l’art contemporain (Maurizio Cattelan, David Hammons, Michel Journiac, Cindy Sherman, Martial Raysse, etc.) à des artistes qui gagnent à être découverts-es d’un large public (Miriam Cahn, Kerry James Marshall, Philippe Parreno, Marlène Dumas, Peter Doig, etc.).
Dans la galerie 3
Un couple déambule. L’homme s’approche de l’espace où sont présentées les photographies de Louise Lawler. On en dénombre 94. Elles re
"Le monde n'a pas retenu les leçons du sida", regrette la directrice d'ONUSIDA
Source : Radio Télévision Suisse Le monde n'a pas retenu les leçons du sida et répète les mêmes erreurs face aux pays pauvres avec le Covid, déplore la directrice du programme ONUSIDA dans une interview accordée vendredi à la RTS. Winnie Byanyima dénonce "la cupidité" des pharmas et lance un appel à plus de solidarité. Dès le début de la pandémie de coronavirus, la lutte contre le Covid s'est faite au détriment des efforts contre le VIH et au détriment des pays en développement, dont les pays africains. La directrice du programme des Nations Unies pour la lutte contre le sida avait tiré la sonnette d'alarme dès le début de la crise sanitaire l'an dernier et l'actualité lui donne raison aujourd'hui. Selon les dernières données de l'OMS publiées cette semaine, seules 1,5% des doses de vaccins contre le Covid produites mondialement parviennent sur le continent africain, où moins de 2,5% de la population est vaccinée. Et cette mise à l'écart a aussi des conséquences sur d'autres maladi
Actions Traitements propose un stage : Assistant de Gestion d’association (Administration, Mécénat)
Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le ministère de la Santé pour représenter les usagers du système de santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, des programmes d’accompagnement (ligne d’écoute, ETP) et différents outils d’information (brochures, dépliants, site Internet).
Mission
En relation avec la coordinatrice, le/la stagiaire participe à l'organisation de la vie associative et à sa bonne gestion.- Participe aux opérations administratives et de gestion au quotidien
- Prend en charge la mise à jour des tableaux de reporting
- Participe à la constitution de dossiers de subventions
- Organise les réunions d'instance (CA et AG) et en rédige les comptes-rendus (CA, AG, réunions d'équipe hebdomadaires)
- Réalise des présentations à destination des partenaires
- Réalis
Actions Traitements RECRUTE un.e assistant.e social.e à temps partiel
Dans le cadre du développement de son activité sociale, Actions Traitements recrute un.e assistant.e sociale à temps partiel (4 h par semaine). Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le ministère de la Santé pour représenter les usagers du système de santé. Elle informe, soutient, accompagne et défend les droits des personnes vivant avec le VIH et/ou une hépatite virale et ceux qui les accompagnent depuis plus de 30 ans.
Pour ce faire, l'association propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un programme d’éducation thérapeutique (ETP) et développe différents outils d’information thérapeutique (brochures, dépliants, site Internet, applications pour smartphones).
Au sein d’un petite structure associative, vous aurez pour mission de :- Assurer la tenue de la permanence sociale une fois tous les 15 jours.
- Réaliser le suivi individuel des personnes accueillies, recueillir et évaluer leurs bes
Ralenti à cause de la pandémie, le programme VIH (en Suisse) est prolongé jusqu'en 2023
Source : ma RTS
L'actuel Programme national VIH et autres infections sexuellement transmissibles (PNVI) est prolongé jusqu'en 2023, a décidé mercredi le Conseil fédéral. Un nouveau programme qui vise à réduire le nombre de nouvelles infections pourrait entrer en vigueur en 2024.
Le développement de ce programme de lutte contre le VIH et autres infections sexuellement transmissibles (IST) qui devait lui succéder avait été suspendu au printemps 2020 en raison du coronavirus.
La division Maladies transmissibles de l’Office fédéral de la santé publique, en charge des travaux, ainsi que plusieurs parties prenantes, dont les médecins cantonaux, avaient en effet été amenés à réallouer tout ou partie de leurs ressources dans la lutte contre le Covid-19.
>> Relire: La lutte contre le VIH malmenée par le Covid-19
La prolongation de deux ans du programme VIH permettra de reprendre les travaux de développement du prochain programme. Le Conseil fédéral
RCA: des stratégies pour réduire la vulnérabilité des femmes face au VIH Sida
Source : Journal de Bangui L’un des défis majeurs du siècle présent est la réelle participation des femmes et leurs apports dans le processus du développement sociopolitique, économique et culture. Toutefois, plusieurs études montrent que les femmes sont de plus en plus marginalisées, violées et stigmatisées. Ce sombre tableau a un impact négatif et constitue un véritable obstacle à leur émancipation.
Si ce problème est d’ordre mondial, il est pire en Centrafrique qui traverse depuis plusieurs années des multiples crises militaro-politiques. Et, lors de ces crises, les groupes armés ne cessent d’utiliser les viols ou les agressions sexuelles contre les femmes. Des faits qui engendrent l’intensité de crise humanitaire pour toucher à la sensibilité du pouvoir en place. Mais, le comble est que cela a augmenté de manière considérable le taux de la contamination des maladies sexuellement transmissibles et le VIH SIDA.
Devant cette situation, le ministère de la promotion du
Sans le VIH, je ne sais pas si je serais devenu militant
Source : SERONET
Militant de longue date de la lutte contre le sida, d’abord à Act Up-Paris, puis à AIDES, Vincent Coquelin a travaillé sur la prévention, la recherche et la réduction des risques sexuels. Son parcours de vie avec le VIH et son engagement militant nous ont conduit à lui proposer de revenir sur ces 40 ans de lutte contre le VIH/sida. Quand on évoque les 40 ans d’histoire du VIH, quels sont les premières images et souvenirs qui te viennent ?
Vincent Coquelin : Mon premier souvenir, c’est le début de ma sexualité. Un journal qui, je crois, s’appelait Photos avait publié un reportage sur des malades du sida aux États-Unis. Je vivais dans la campagne pas très loin de Paris, mais dans la campagne tout de même, et pas du tout dans le milieu homo. Du coup, je découvrais ces images de malades du sida en phase terminale, alors qu’il n’y avait pas vraiment de prévention chez nous. C’était en 1984. Je me suis dit en voyant ces images :
Lutte contre le VIH à l'île Maurice: la PrEP fait toujours face à la réticence
Source : L'Express MU
Paradoxe. D’un côté, le nombre de nouveaux séropositifs au VIH est en hausse. De l’autre, le traitement préventif PrEP est peu demandé. On fait le point.
Prophylaxie pré-exposition (PrEP). Ne vous arrêtez pas au nom barbare de ce médicament. Il s’agit d’un traitement préventif contre le VIH. Ce traitement est disponible à Maurice depuis 2018. Or, à ce jour, il y a très peu de demandeurs quoique les chiffres de nouveaux séropositifs soient en hausse. Pourquoi cette hésitation ?
Le ministre de la Santé avait été questionné au Parlement le 11 mai dernier et avait fait savoir que depuis le lancement, seulement 73 personnes se sont rendues dans les hôpitaux pour ces traitements. Deux hommes en 2018, 37 hommes et une femme en 2019, 27 hommes et trois personnes transgenres en 2020 ainsi que trois hommes jusqu’en février 2021. Depuis, cinq autres personnes transgenres se sont inscrites et le nombre total est passé à 78. En ce qui concerne les chiffres
Cameroun : quand l’homophobie entrave la lutte contre le VIH/sida
Source : Jeune Afrique
Quarante ans après l’identification des premiers cas de VIH/sida, au Cameroun, la persécution des minorités sexuelles empêche de progresser significativement dans le combat contre ce fléau.
Je me bats depuis plusieurs années pour les droits des minorités sexuelles et de genre, et pour un monde sans sida. Dans mon pays, le Cameroun, des forces dites « de sécurité » peuvent arrêter et tabasser les personnes issues des minorités sexuelles et de genre en toute impunité, et des juges supposés sages et vertueux n’ont aucun problème à condamner deux femmes transgenres à cinq ans de prison pour « tentative d’homosexualité ». Mon combat n’est pas celui d’un Camerounais ou d’un Africain, il est celui d’un jeune citoyen du monde atterré par la violence inouïe que subissent chaque jour, sur chaque continent, des millions de personnes dont le seul crime est d’exister ou de ne pas se reconnaître dans le système binaire homme/femme. Litanie
Migrations : L’Onusida s’inquiète
Source : SERONET
Du fait des évolutions climatiques, de conflits armés et désormais de la crise de la Covid-19, de plus en plus de personnes sont contraintes de quitter leurs pays. Les déplacements « forcés » sont de plus en plus importants et le nombre de personnes concernées ne cesse d’augmenter. Ces personnes et groupes, notamment lorsqu’ils-elles vivent avec le VIH, sont un sujet d’inquiétude pour l’Onusida.
Dans un communiqué (fin juin), l’institution onusienne et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ont ainsi demandé à ce que « les personnes séropositives en situation de déplacement [puissent, ndlr] avoir accès aux vaccins contre la Covid-19 ». « Les personnes en situation de déplacement sont souvent plus vulnérables aux maladies, notamment à la Covid-19 et au VIH. En outre, les personnes vivant avec le VIH et/ou touchées par le virus et les populations migrantes sont souvent victimes d’inégalités importantes. Ces populations sont régulièrement co