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Brèves
En Centrafrique, une loi plus protectrice pour les personnes séropositives
Source : RFI
La République centrafricaine vient de se doter d'une nouvelle loi sur les droits des personnes vivant avec le VIH/SIDA. Elle a été adoptée le 6 octobre à l'unanimité par les députés de l'Assemblée nationale. Les associations demandaient de longue date une révision de la loi de 2006. Elles ont donc salué ce texte comme une avancée, car il élargit les moyens de prévention et pénalise les discriminations contre les personnes séropositives.
Parmi les avancées permises par la loi, l'âge de dépistage est abaissé de 18 à 12 ans, ce qui permettra à des jeunes encore mineurs de faire des tests, et si nécessaire, d'entrer dans un parcours de soins.
Autre progrès salué par les associations : les pratiques discriminatoires pourront faire l'objet de poursuites pénales. Bienvenu Gazalima, coordonnateur national du réseau des personnes vivant avec le Vih/Sida, s'en félicite, car les stigmatisations sont fréquentes, en premier lieu de la part du personnel s
Vaccination contre la grippe, un enjeu important
Source : SERONET
Alors que l’épidémie de Covid-19 continue son chemin avec son lot d’incertitudes sur une éventuelle huitième vague, une autre épidémie saisonnière fait doucement son arrivée. L’épidémie de grippe en France métropolitaine survient chaque année au cours de l’automne et de l’hiver et touche entre deux et six millions de personnes. Tous les ans, une grande campagne de vaccination est réalisée. Celle de 2022 a démarré le 18 octobre en France métropolitaine. Elle se poursuivra jusqu’au 31 janvier 2023. Pendant les quatre premières semaines de la campagne, jusqu’au 15 novembre 2022, les vaccins sont réservés aux personnes prioritaires, dont les personnes vivant acec le VIH. Grippe et Covid-19, deux épidémies
Nous le savons, les modes de transmission et les symptômes de la grippe et du Sars-CoV-2, virus responsable de la Covid-19, sont très similaires et peuvent rendre difficiles les diagnostics et suivis des deux épidémies en même temps. La grippe est une ma
Actions Traitements propose un stage ou contrat d’alternance : Assistant·e Communication + web + événementiel
ACTIONS TRAITEMENTS est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose différents outils d’information (brochures, dépliants, affiches, site Internet), une permanence téléphonique, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, un programme d’éducation thérapeutique (ETP) et est présente sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, Youtube et TikTok).
Objectifs et missions :
Le/la stagiaire ou l’alternant·e participe à la mise en place de différents projets dans le domaine de l’édition, du numérique, de la communication et de l’événementiel. Il ou elle fait partie intégrante de l’équipe et travaille en lien avec l’équipe salariée.
Les principales missions principales sont les suivantes :- Déploiement de la stratégie de communication, essentiellement digitale, avec le responsable du projet : gestion des c
"Danger": les progrès dans la lutte contre le sida freinés par les crises mondiales
Source : Sciences & Avenir Les crises mondiales actuelles, parmi lesquelles la crise du Covid-19, la guerre en Ukraine et la crise économique, freinent les progrès dans la lutte contre le Sida, alerte Onusida.
La pandémie de Covid-19 et les autres crises mondiales actuelles ont eu pour conséquence de freiner les progrès faits dans la lutte contre le sida, a alerté mercredi l'Onusida dans son rapport annuel, intitulé "danger". Si les nouvelles infections au VIH dans le monde ont continué de baisser l'année dernière (de 3,6% comparé à 2020), il s'agissait de la plus petite réduction depuis 2016. "Ces deux dernières années, les crises multiples et simultanées ayant secoué le monde ont eu un impact dévastateur sur les personnes infectées par le VIH, et ont fait reculer la réponse du monde face à la pandémie de sida", alerte ce rapport, publié à l'occasion de l'ouverture de la Conférence internationale sur le sida, se tenant à Montréal, au Canada.
Le Covid-19 a notammen
Conférence Aids 2022 : quels enjeux ?
Source : SERONET Chaque été, tous les deux ans, a lieu la conférence mondiale sur le VIH, organisée par l’IAS. Aids 2022 se déroule, cette année, à Montréal (Canada) du 29 juillet au 2 août. Une 24e édition qui revient au format présentiel, après deux années en virtuel. Seronet sera sur place avec une couverture des moments forts. Mais avant le grand départ, petit tour d’horizon des enjeux de cette conférence. Quelle place pour la lutte contre le VIH ?
Quatre ans. Cela fait quatre ans que la plus grande conférence mondiale sur le VIH n’avait pas eu lieu en présentiel. La dernière édition s’était déroulée à Amsterdam en juillet 2018. En quatre ans, le monde et par écho la lutte contre le sida ont subi de grands bouleversements et de nombreuses crises : une crise sanitaire avec une pandémie mondiale (toujours en cours n’en déplaise aux « rassuristes ») ; une crise écologique avec de nombreuses catastrophes causées par le réchauffement clim
Monkeypox : la colère monte
Source : SERONET Depuis la découverte du premier cas du Monkeypox en France, le 19 mai 2022, l’épidémie progresse de façon alarmante. Dix jours après l’ouverture de la vaccination préventive aux groupes les plus exposés, force est de constater que le compte n’y est pas. Les témoignages se multiplient sur un accès très difficile à la vaccination et la colère monte parmi les personnes concernées et les associations. 16 000 cas dans le monde, 1500 en France
Au 22 juillet 2022, le site Monkeypoxtally, qui fait un décompte quotidien des cas de Monkeypox dans le monde, annonçait un nombre total de 16 075 cas. Dans le « top 5 » des pays les plus touchés arrivent en tête l’Espagne (3 383 cas), les États-Unis (2 425), l’Allemagne (2 191), le Royaume-Uni (2 137) et la France (1 453).
Dans son dernier bulletin épidémiologique publié le 20 juillet, Santé Publique France (SPF) rapporte en effet une nette hausse des cas de variole du singe en une sem
Variole du singe : pourquoi les hommes gays et bisexuels sont-ils davantage touchés ?
Source : Le Monde - Les décodeurs Santé publique France a recensé 1 567 malades dans le pays depuis mai, et 3 % d’entre eux ont dû être hospitalisés. Aucune mort n’a été enregistrée en Europe, mais la maladie progresse.
La variole du singe (monkeypox en anglais) n’a provoqué aucun décès en Europe, mais la maladie gagne du terrain. Avec près de 17 000 cas dans le monde, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclenché le plus haut niveau d’alerte pour la variole du singe, le 23 juillet.
Santé publique France (SPF) a recensé 1 567 malades dans le pays depuis mai ; 3 % d’entre eux ont dû être hospitalisés. Cette épidémie se différencie des vagues observées jusque-là dans une dizaine de pays africains, notamment par le profil des patients : les cas sont quasi exclusivement des hommes et la plupart d’entre eux ont eu des relations sexuelles avec d’autres hommes –
Fonds Mondial : « Il est urgent d’agir contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme ». L’appel de près de 200 personnalités
Source : Le JDD
TRIBUNE – En amont de la 7e conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, près de 200 personnalités internationales, dont l’ancien sportif Yannick Noah, la présidente du Sidaction Françoise Barré-Sinoussi ou encore l’ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem, directrice pour la France de l'ONG ONE, appellent les États « à augmenter considérablement leurs contributions » pour éradiquer ces maladies.
La tribune : « Il y a 20 ans, les menaces et la létalité du VIH/sida, la tuberculose et le paludisme semblaient inéluctables. L’épidémie de VIH/sida venait de connaître son pic historique d’incidence avec 3,3 millions de nouveaux cas en 1997 et s’apprêtait à vivre son année la plus meurtrière en 2004 avec 3,1 millions de morts. Sans les efforts internationaux, depuis 2000, la tuberculose aurait fait 66 millions de victimes et 1,7 milliard de cas de paludisme n’auraient pas pu êtr
En France, trop peu de femmes connaissent la PrEP, ce traitement préventif contre le VIH
Source : Mademoizelle
Sur 10 personnes séropositives en France, 3 sont des femmes. Plusieurs associations déplorent leur manque d’informations, notamment en ce qui concerne les traitements ou la PrEP, médicament antirétroviral permettant d’éviter la transmission du VIH.
La doctoresse Radia Djebbar, coordinatrice scientifique au sein de l’association Sida Info Service (SIS) annonce tout de suite la couleur à l’occasion de la nouvelle édition des Petits Déjeuners de l’Écoute, le 20 juin 2022. Au menu du jour : la promotion de l’usage de la PrEP pour les femmes, un traitement préventif pour éviter la transmission du VIH. Les femmes représentent 30% des nouvelles personnes contaminées par le VIH en France, d’après le rapport Epi-Phare de juin 2021 en collaboration avec le Système National des Données de Santé (SDNS). Premier constat : elles sont peu renseignées sur les traitements disponibles pour se protéger contre le VIH : seulement 3% de femmes seraient sous PrEP. La Pr
Monkeypox : quels risques pour les personnes séropositives au VIH ?
Source : Têtu• magazine D’après les chiffres de Santé Publique France, 26% des cas de monkeypox confirmés sont des hommes gays ou bi séropositifs. Présentent-ils des risques particuliers? On fait le point.
Aujourd’hui en France, 173.000 personnes vivent avec le VIH. La plupart connaissent leur statut sérologique et sont traitées en conséquence par antirétroviraux. En revanche, 25.000 d’entre elles ne connaissent pas leur séropositivité et la découvrent à l’occasion d’une infection opportuniste. Pour toutes ces personnes, le monkeypox présente t-il un risque particulier ? Pas de risque supplémentaire
« Sur l’ensemble de nos patients qui consultent pour un monkeypox, environ 20% sont séropositifs et la majorité est suivie et sous traitements donc non immunodéprimée » constate le Dr Alexandre Bleibtreu, médecin infectiologue à l’hôpital Pitié-Salpétrière à Paris. « Mais cela ne veut pas dire qu’ils sont plus à risque d’être infecté par l