Notre actualité
Brèves
autotest VIH® sera disponible fin juin
Pour aller plus loin et améliorer encore l’accès au dépistage, la Ministre de la Santé a autorisé l’utilisation des autotests ; ceux-ci pourront être commercialisés en pharmacie et vendus sans prescription médicale. Ces autotests constituent un outil complémentaire de dépistage pour les personnes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas recourir aux autres offres de dépistage existantes. autotest VIH® sera disponible en France dans les pharmacies sur Internet à la fin du mois de juin.
La société française AAZ a conçu et validé autotest VIH® avec l’aide d’un groupe d’experts français en matière de lutte contre le VIH/SIDA. Il a fait l'objet d’études préalables grâce au concours des associations nationales AIDES et HF Prévention. autotest VIH® bénéficiera, en outre, du s
TROD VHC, victimes d'un blocage administratif (Seronet)
"Annoncés respectivement en mai ou juillet 2015, les Trod pour le VHC sont repoussés suite à un problème administratif. Une décision du Conseil d’Etat (avril 2015) bloque tout.
Le 1er décembre 2014, Marisol Touraine, ministre de la Santé, annonçait dans un communiqué de presse que "les tests rapides d’orientation diagnostique (Trod) de l’hépatite C, disponibles aujourd’hui en laboratoire et chez le médecin, [pourraient] être réalisés par les associations à partir de mai 2015". Ces "tests favorisent le dépistage des personnes les plus éloignées du système de santé, notamment avec des actions hors les murs pour aller vers les personnes à dépister. Ainsi, les dépistages ciblant des personnes co-infectées par le VIH et le VHC pourront être réalisés" (...)
On en était resté à ce calendrier et à ces annonces très attendues par les militants de la lutte contre le sida et des hépatites… et à la sort
Outils : l'Infocarte Truvada®, le retour ; les Infocartes génériques, la naissance
Actions Traitements a le plaisir de vous annoncer la sortie de 4 nouvelles Infocartes. Consacrés aux molécules ARV génériquées (efavirenz, lamivudine, lamivudine-zidovudine, névirapine), ces outils sont téléchargeables, pour le moment, au format PDF.
Faute à la PReP, l’Infocarte Truvada®, qui n’était plus présente sur la plateforme de commande, est par ailleurs de nouveau consultable en ligne. S’il s’agit de l’ancienne édition de 2011, l’équipe d’Actions Traitements travaille actuellement à sa mise à jour, tant sur le fond que sur la forme. Bientôt éditées au format papier, ces Infocartes sont, en attendant, libremen
"La perception du risque iatrogénique chez les personnes polymédiquées"
Actions Traitements a confié à Plein Sens, dans le cadre d’un projet de recherche-action financé par la Direction Générale de la Santé (DGS), la réalisation d’une étude qualitative sur l’expérience vécue de la prise de médicaments chez des personnes polymédiquées, traitées pour le VIH ou d’autres pathologies.Prendre des médicaments chaque jour, pendant un grand nombre années, n’est pas anodin et expose de fait ceux qui les prennent à un risque, que l’on appelle en terme savant « risque iatrogénique médicamenteux ». Or, on peut distinguer plusieurs types de risques derrière ce terme générique : celui induit par le pharmakon (le médicament est à la fois remède et poison), le risque idiosyncratique et allergique qui « ne s’explique pas », le risque lié à la non observance du traitement, enfin le risque lié à aux interactions entre différents médicaments lorsqu’ils sont pris de façon concomitante. La très grande majorité des études sur ce sujet ont été fait
SIDA : une molécule d’un laboratoire montpelliérain réduirait la charge virale même après l'arrêt de la trithérapie (Toutmontpellier)
L’équipe de Jamal Tazi de l'Institut de génétique moléculaire de Montpellier dévoile le mécanisme d’action révolutionnaire de la molécule ABX464, premier candidat médicament pour les patients atteints du VIH dont l’effet persiste même après l’arrêt du traitement. Ces travaux viennent d’être publiés dans la revue Retrovirology.
À l’heure actuelle, les différents traitements visant à réduire la charge virale chez les patients infectés par le VIH font intervenir des molécules destinées à inhiber soit l’activité enzymatique de la transcriptase inverse virale, soit la protéase impliquée dans la maturation des protéines du virus, soit l’intégrase pour bloquer l’intégration du génome virale dans le génome des cellules infectées ou soit l’entrée des virus dans la cellule. Le plus souvent ces traitements sont donnés aux patients sous la forme d’une combinaison de trois molécules afin de réduire la charge virale. Cette trithérapie r
A télécharger : les nouvelles affiches récapitulatives 2015 (VIH / VHC)
Elle sont arrivées ! Retrouvez, enfin mises à jour, notre grande affiche et notre petite affiche récapitulative des antirétroviraux. Disponibles, pour l'instant, au téléchargement, elles ont été totalement revues : les nouvelles versions recensent ainsi les dernières molécules disponibles (Stribild®, Tivicay®) ou bientôt disponibles (Triumeq®) mais, également, les dernières molécules génériquées (efavirenz, névirapine, lamivudine, lamivudine/zidovudine). En cours d'impression, ces nouvelles éditions seront bientôt disponibles dans leur version papier sur notre plateforme de commande.
En complément, pour coller au plus près à l'actualité thérapeutique, Actions Traitements vient de mettre au point une nouvelle affiche récapitulative des traitements antiviraux (VHC) disponibles. Sur le même modèle que les deux précédentes, cette affiche présente tous les nouveaux médicaments dispensés - uniquement à l'hôpital - pour traiter
"Bayrou, c'est comme le sida. Quiconque le touche meurt !"
Dans un article publié hier, Le Parisien rapporte des mots qu’aurait prononcés Nicolas Sarkozy sur le sida : « Bayrou, c’est comme le sida. Quiconque le touche meurt ! »
Bien que l’ancien président de la République a démenti catégoriquement ces propos sur son compte Twitter, nous déplorons néanmoins que ce type de déclaration ait pu paraître dans un journal à grand tirage, une déclaration qui porte atteinte à la dignité et au respect dû aux personnes vivant avec le VIH.
Vrai ou faux, ces propos doivent nous rappeler que beaucoup de personnes vivant avec le VIH taisent leur séropositivité, restent isolées et stigmatisées, notamment à cause de préjugés similaires à ceux qui s’expriment dans les propos prêtés à Nicolas Sarkozy.
Finalement, face à la bêtise, il nous semble plus important de préciser que vous avez jusqu’au 17 avril pour donner au Sidaction, en appe
PrEP sauvage : AIDES recherche des témoignages
PrEPage est une enquête qualitative (c’est-à-dire réalisée à partir d’interviews) menée par AIDES (en partenariat avec l’Inserm et Hôtel Dieu) concernant les usagers de PrEP sauvage. Elle vise à identifier le vécu et les besoins des utilisateurs de PrEP hors essais cliniques.
L’enquête démarrera mi-avril. Ils recherchent d’ores et déjà à recruter des personnes (HSH, migrant-e-s, travailleur-se-s du sexe, etc.) souhaitant témoigner de leurs expériences de PrEP sauvage.
Les personnes souhaitant participer peuvent les contacter à l’adresse suivante : prepsauvage@gmail.com
Pour toute question, vous pouvez également contacter Daniela Rojas Castro drojas@aides.org et Guillemette Quatremère gquatremere@aide.org
Merci d’avance pour votre mobilisation
Etude Sidaction - IFOP : les 15-24 ans et le VIH
Quelques jours après la récolte de dons du Sidaction, l’association publie les résultats d’une étude réalisée sur les 15-24 ans et le VIH, réalisée par l’IFOP. Pour aboutir à ces résultats, 993 personnes ont été interrogées par questionnaires auto-déclaratifs sur Internet.
L’étude conclut que, malgré « un niveau d’information relativement élevé chez les jeunes, des idées fausses persistent ». En effet, 94% d’entre eux connaissent l’existence de traitements permettant de mieux vivre après avoir contracté le virus. De plus, les 15-24 ans interrogés déclarent à la quasi-unanimité connaître les principales pratiques à risque, et 98% d’entre eux savent notamment que le virus peut être transmis lors d’un rapport sexuel sans préservatif et pour 96% d’entre eux « en entrant en contact avec le sang d’une autre personne ».
Pourtant, malgré une large reconnaissance du préservatif comme étant un moyen e
Sidaction : il est "encore possible de faire un don"
« Le sida pour en finir, il faut continuer ».
Alors que s’achèvent les trois journées de récolte de dons du Sidaction, l’heure est au bilan. Cette opération de levée de fonds pour la recherche et la prévention du sida a permis la collecte de 4,25 millions d’euros de promesses de dons contre cinq millions d’euros en 2014.
Les fonds collectés sont redistribués à 50% pour la recherche, encore aujourd’hui essentielle, et à 50% pour la prévention et l’aide aux malades en France et à l’international.
En 2014, ce sont 88 projets en recherche fondamentale, clinique et sociale, qui ont été soutenus, et 116 projets d’aide aux malades et de prévention ont été menés par 87 associations françaises aidées par Sidaction.
Il est encore temps de donner. Sidaction souligne qu’il est « encore possible de faire un don » jusqu’au 17 avril, en compos