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Enquête : Vivre avec le virus de l’hépatite B
Vous vivez avec le virus de l’hépatite B.Le collectif de l’hépatite B* vous sollicite pour répondre à une première enquête destinée à établir un état des lieux des principales répercussions de cette pathologie et de vos principaux besoins et attentes pour améliorer votre quotidien.
Le questionnaire vous interroge sur : — > votre perception de l’hépatite B — > le dépistage de vos proches — > votre prise en charge médicale et thérapeutique — > vos difficultés au quotidien et vos attentes Seulement 15 min vous seront nécessaires pour renseigner ce questionnaire.Je participe à l’enquête
Merci de votre participation ! Cette enquête est proposée par le collectif de l’hépatite B : *SOS Hépatites, AIDES, ASUD (Auto-Support des Usagers de Drogues), CHV (Collectif Hépatites Virales) – TRT5 (Groupe interassociatif traitements & recherche thérapeutique), Transhépate, AFEF (Association Française pour l’ÉtudVIH : nous avons rencontré Elodie, écoutante à Sida Info Service
source : neonmag Le 1er décembre est la journée mondiale de lutte contre le VIH. À cette occasion, nous avons rencontré Elodie, écoutante. Pour Sida Info Service, elle renseigne les uns, conseille les autres, et les écoute tous et toutes. Interview. Selon les chiffres de l'ONUSIDA, 36,9 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde (dont 152 000 en France), en 2019. En France, en 2017, ils étaient 6 424 à découvrir leur séropositivité contre 6003 en 2016 et 30% l'ont appris à un stade avancé de la maladie. Le Sida est la quatrième phase d'évolution du VIH, mais grâce aux traitements, de moins en moins de personnes séropositives la développent. Environ 23,3 millions de personnes seulement ont eu accès aux autres traitements anti-VIH dans le monde. La « nouveauté » ? La PreP, le traitement préventif autorisé en France depuis 2016 qui, grâce à une prise quotidienne, permet de se prémunir du VIH. Malheureusement, ce traitement est encore peu répandu. Et puis, par manque d'VIH : les étudiants ont toujours des fausses idées sur le sida
source : pourquoi docteur La Journée mondiale de lutte contre le sida a lieu ce dimanche 1er décembre. Pour cette occasion, Opinion Way délivre un sondage pour le moins inquiétant sur les fausses croyances qui circulent encore chez les étudiants.En 2018, près de 6 200 personnes ont découvert qu’elles étaient séropositives en France. Soit une baisse de 7% par rapport à l’année précédente. Il y a quelques mois, l’Onusida rapportait qu’en 2018, 770 000 personnes ont perdu la vie à cause du VIH dans le monde, soit un tiers de moins qu’en 2010. Malgré ces chiffres encourageants, les fausses idées sur la maladie ont la vie dure. Surtout chez les jeunes. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida ce dimanche 1er décembre, OpinionWay publie un sondage sur les fausses croyances qui persistent chez les étudiants. Des résultats inquiétants. L’inconscience de prendre des risques
Les lycéens et les étudiants ont d’abord tendance à abandonner
VIH : 50% des femmes européennes sont diagnostiquées sur le tard
source: La Dépêche La moitié des femmes en Europe est diagnostiquée tardivement, montre une étude dévoilée à quelques jours du 1er décembre, date de la journée mondiale de lutte contre le sida.Selon cette recherche, les femmes représentent un tiers des 141.000 nouveaux diagnostics de VIH dans la Région européenne de l'Organisation mondiale de la Santé. Les femmes âgées de 40 ans sont trois à quatre fois plus susceptibles d'être diagnostiquées tardivement que les femmes plus jeunes, indiquent le Centre de prévention et de contrôle des maladies européen (EDC) et le Bureau régional de l'OMS pour l'Europe, à l'origine de cette enquête. Les deux tiers (60Communications Les Actupiennes: Journée mondiale de lutte contre le Sida 2019
source : Les Actupiennes Les acteurs/trices de prévention VIH/sida, associations exerçant dans le champ de la santé doivent d’abord détenir une agrémentation spécifique, lourde à obtenir, permettant de réaliser des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). C’est un frein à faire sauter !
Le Conseil National du Sida vient de pointer la nécessité d’améliorer le dépistage du VIH en France et préconise de renforcer la diffusion des autotests, notamment en permettant aux associations d’en proposer.
Selon les derniers chiffres sortis à l’occasion du 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida, plus de 1700 personnes (sur les 6200 qui ont découvert leur séropositivité en 2018) étaient déjà à un stade avancé de l’infection.
Se faire dépister, plusieurs fois, est crucial, en plus de se protéger.
Pourtant tout est bloqu
VIH : le rôle des médecins généralistes
source : agora.fr
Près de quarante ans après l’apparition des premiers malades du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) aux États-Unis, une enquête réalisée par "egora-Le Panorama du médecin" fait le point, à l’occasion de la Journée mondiale le 1er décembre, sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, en particulier par les médecins généralistes.En 2018, 37,9 millions de personnes vivaient avec le VIH dans le monde, et seules 23,3 millions avaient accès à la thérapie antirétrovirale, révèlent les chiffres de l’Onusida 2019. En France, si le nombre de diagnostics de séropositivité est resté stable depuis 2010, il a baissé, pour la première fois en 2018 (7 % de moins que l’année précédente). Cette année-là, 56 % des personnes qui o
Vivre avec le VIH: « La vie s'arrête, puis elle renaît »
source : centrepresse Si la médecine progresse, le VIH est une cage et vivre avec le VIH peut être compliqué. Un tabou levé avec la Journée mondiale contre le sida et la parole de ceux qui l'ont apprivoisé.
Vivre, simplement vivre. Je n'ai que de l'amour à donner. Une soif qu'Aurélien (1) a parfois du mal à étancher avec de grosses baisses de moral. Sa prise de médicament quotidienne lui assure une espérance de vie « quasiment stable ». « Du moins, avec de fortes probabilités d'atteindre une charge virale indétectable, confie-t-il tout bas. C'est le fait de devenir non contaminant. » Pour ce Poitevin, proche de la quarantaine, « la vie s'est arrêtée en 2012 puis elle renaît dans la foulée ». Un bref coup de fil, après un don de sang, lui annonce la nouvelle. Un couperet. Il lui faut « tirer un trait sur sa vie sans VIH, comme un deuil ». En plein mois de décembre, la «
La Seine-Saint-Denis veut protéger ses habitants du VIH
source : Le magzine de seine saint denis À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre le sida du 1er décembre, le Département se mobilise pour une Seine-Saint-Denis sans sida.Alors qu’il est le 2e département à être le plus touché par l’épidémie de Sida, le Département de la Seine-Saint-Denis a déclaré, ce 26 novembre, via son président Stéphane Troussel, vouloir « devenir le premier département de France pour le nombre de dépistage » mais également « être le premier pour le nombre de Prep (traitement préventif pour le VIH) ». Cette annonce a été faite à l’occasion du premier Comité stratégique d’orientation pour une Seine-Saint-Denis sans Sida qui réunissait une trentaine d’associations et d’institutions impliquées dans la lutte contre le VIH en Seine-Saint-Denis à Bobigny, à l’Hôtel du Département. « LA SEINE-SAINT-DENIS S’AIME SANS SIDA »
Un slogan fort, qui s’affiche depuis le 27 novembre dans les rues du d