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Vieillir avec le VIH : le témoignage de Pascale, "survivante" depuis 1984.
Source : LCI Alors que la 28ème édition du Sidaction a débuté jeudi soir, TF1 a recueilli le témoignage de Pascale Lassus, 60 ans, dont 37 à vivre avec le VIH.
Contaminée par son petit-ami au tout début de la pandémie de sida, en 1984, Pascale Lassus ne sera diagnostiquée que dix ans plus tard. Les prédictions des docteurs n'étaient alors guère optimistes. "Quand le médecin m'a annoncé que j'étais séropositive, il m'a dit froidement 'il vous reste deux, trois ans à vivre'", se souvient-elle. "Je suis une survivante parce que parmi les personnes qui ont été contaminées au début des années 1980, il n'y en a plus qu'une sur dix qui est toujours là."
Avant de se savoir infectée au VIH, Pascale avait mis au monde une petite fille. Elle découvrira quelques années plus tard qu'elle lui a transmis le virus. Toutes deux commencent alors à prendre un traitement lourd, jusqu'à vingt-cinq cachets pa
Sidaction 2021 : Faire plus avec moins.
Source : Dossier de Presse -SIDACTION-2021 Il y a un an, le nombre de nouveaux diagnostics du VIH en France, un chiffre qui stagnait depuis de longues années, enregistrait enfin une baisse de 7 %. C’était peu, certes, mais le travail des différents acteurs de la lutte contre le sida et leurs efforts conjugués en matière de dépistage, de prévention, d’accompagnement et de traitement portaient leurs fruits.
Nous vivions alors un moment charnière : il s’agissait de poursuivre cette dynamique pour infléchir durablement les courbes de l’épidémie. Malheureusement, en 2020, la Covid-19 est venue mettre à mal cet espoir balbutiant. Le recours au dépistage a baissé de 60 % entre février et avril. Un recul préoccupant, qui n’a pas été rattrapé les mois suivants. En parallèle, le nombre de découvertes de séropositivité chez des personnes qui n’avaient jamais été dépistées a, lui, augmenté, tout comme les diagno
Sidaction 2021 : La lutte contre le Sida ne peut pas attendre.
Source : Dossier de Presse -SIDACTION-2021 La crise sanitaire a causé une chute du dépistage du VIH et un risque de reprise de l’épidémie. En 2019, nous refusions de crier victoire.
Malgré les indéniables batailles remportées par la lutte contre le sida ces dernières décennies, il restait en effet de trop nombreux efforts à fournir pour atteindre les objectifs fixés par l’Onusida en 2020. Tant sur le front politique, afin de garantir à tous un accès équitable au dépistage et aux traitements, que sur celui de la recherche ou de la prévention. Un tiers des personnes vivant avec le VIH dans le monde n’avait toujours pas accès aux traitements et le sida demeurait la première cause de mortalité chez les femmes âgées de 15 à 49 ans ; 1,7 million de personnes avaient encore été contaminées au cours de l’année, rendant inatteignable l’objectif fixé pour 2020 de moins de 500 000 personnes infectées.
Sidaction 2021 : La recherche sur le VIH affectée par la Covid-19.
Source : Dossier de Presse -SIDACTION-2021 En raison de la pandémie causée par le Sars-CoV-2, la communauté scientifique s’est plongée dans une course aux vaccins et aux traitements, quitte à délaisser momentanément les projets en cours.
Qu’en est-il des chercheurs impliqués dans la lutte contre le sida ? L’apparition du Sars-CoV-2 rappelle étrangement le début des années 1980, époque de la découverte du VIH. Une infection dont on ne savait d’abord pas vraiment expliquer la cause et qui a créé un sentiment de peur au sein de la population. Sauf que le Sars-CoV-2 est bien différent du VIH, que ce soit par son mode d’action ou par son mode de transmission. En effet, bien qu’il s’agisse d’un virus à ARN, comme le VIH, il n’a pas la capacité de s’intégrer dans le génome humain et ne forme donc pas de réservoirs qui sont, rappelons-le, l’obstacle majeur à la guérison du VIH. Les récepteurs ciblés à la sur
Anticorps monoclonaux : l’ANSM permet l’utilisation en accès précoce de deux bithérapies contre la COVID-19
Source : ANSM L’ANSM permet l’utilisation en accès précoce de deux bithérapies d’anticorps monoclonaux dans un cadre sécurisé pour traiter les patients adultes à risque de forme grave de la COVID-19 dès l'apparition des symptômes. Il s’agit des bithérapies casirivimab/imdevimab du laboratoire Roche et bamlanivimab/etesevimab du laboratoire Lilly France.
Nous avons mis en place deux autorisations temporaires d’utilisation de cohorte (ATUc) pour les bithérapies casirivimab/imdevimab du laboratoire Roche et bamlanivimab/etesevimab) du laboratoire Lilly France. Ces bithérapies pourront être utilisées chez les personnes à risque élevé de développer une forme grave de la COVID-19, en raison d’une immunodépression liée à une pathologie ou des traitements, d’un âge avancé ou de la présence de comorbidités.
Ces anticorps monoclonaux sont conçus pour cibler spécifiquement la protéine S située à la
Des disparités raciales marquées persistent aux Etats-Unis dans le domaine du VIH.
Source : Aidsmap Lors d'une session plénière du congrès virtuel sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2021), le professeur James Hildreth a fortement recommandé de s’attaquer aux déterminants sociaux de la santé afin de réduire les disparités raciales marquées des pandémies du VIH et de la COVID-19 aux États-Unis.
Un accès insuffisant aux informations sur la santé, des soins médicaux tardifs, des maladies chroniques mal gérées, l'incarcération massive et l'instabilité économique font partie des facteurs qui agissent comme déterminants sociaux de la santé, a-t-il déclaré.
De nouvelles données présentées lors du congrès par le Dr Jun Li, des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), indiquent que si les différences raciales ont diminué entre 2012 et 2018, les personnes noires séropositives sont toujours moins susceptibles que leurs homologues blancs de recevo
Une année de Covid à haut risque pour les pathologies du foie.
Source : Le Quotidien du Médecin La situation des patients atteints de pathologies hépatiques (hépatite C, B ou NASH) a été fortement impactée par la pandémie de Covid-19. C'est le constat tiré par les hépatologues rassemblés virtuellement jusqu'au 10 mars à l'occasion de la 14e Conférence d'hépatologie de Paris.
« L'année qui vient de s'écouler a vu diminuer de moitié le nombre de nouveaux patients mis sous traitement contre l'hépatite C, passant de 10 000 à 5 000 », explique le Dr Pascal Mélin, hépatologue au centre hospitalier Geneviève de Gaulle Anthonioz de Saint-Dizier et président de SOS Hépatites. « Dans l'hépatite B, c'est le dépistage qui est en panne ainsi que le parcours de prise en charge, poursuit-il. Nos patients, qui doivent consulter tous les 6 mois, n'ont pas voulu venir de peur de se faire contaminer. On risque de se retrouver face à des catastrophes. »
Selon une
CROI 2021: Traitements VIH : c'est mon choix !
Source : Seronet Mardi 9 mars 2021, troisième jour de la Croi 2021 virtuelle et hyper connectée. Un écran sur le live, un autre sur Twitter pour suivre les réactions en direct. Quelques échanges en messages privés avec une journaliste américaine basée à San Francisco et la frustration de ne pas être sur place. L'occasion de revenir aux fondamentaux de la Croi, l'actualité thérapeutique avec beaucoup d'études en cours sur les traitements VIH et la Prep. Covid-19 et VIH : pas de surrisque ?
Les personnes vivant avec le VIH sont-elles plus à risque de contracter une forme sévère de la Covid-19 et d'en décéder ? Jusqu'à présent, la réponse à cette question était contrastée avec des résultats d'études parfois contradictoires et surtout un manque de données. Par exemple, en décembre dernier, une étude observationnelle britannique à grande échelle (1) fondée sur les chiffres nationaux de mortalité liée à la Covid-19 relevés par