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Brèves
«Pose», «It's a sin»: le travail de mémoire des séries sur le sida.
Source : Slate L'émergence de ces séries permet d'informer et de communiquer autour du VIH, surtout auprès des jeunes générations, qui n'ont pas connu l'essor dramatique de l'épidémie.
L'année 2021 marque les 40 ans de l'épidémie de sida. Une date importante, tant le sujet évoque souffrances, deuils, discriminations mais aussi luttes militantes ou politiques et solidarités. Tant aussi la prise en charge de la maladie a changé, alors qu'une certaine indifférence s'est installée chez les plus jeunes.
Aujourd'hui, deux séries se déroulant dans les années 1980, soit au tout début de l'épidémie, reviennent sur ce pan de l'histoire: Pose, de Ryan Murphy, Brad Falchuk et Steven Canals, et It's a sin, de Russell T Davies. La première se situe dans le New York des années 1980, au cœur de la communauté queer latino et afro-américaine, dans la ba
Dix idées reçues des moins de 24 ans autour du VIH/sida.
Source : La Montagne Chaque année, depuis 2009, l'association de lutte contre le sida, Sidaction fait réaliser un sondage* auprès des jeunes de 15-24 ans sur l'information et la prévention du sida. La désinformation croît sur le sujet. On rétablit la vérité pour dix de leurs croyances.
Pourquoi cet article ? Une étude IFOP réalisée auprès de 1.002 jeunes de 15 à 24 ans montre que les croyances erronées sont encore nombreuses en ce qui concerne le sida. A quelques jours du week-end du Sidaction, pour lever des fonds pour la recherche contre le sida, Antiviral décrypte ce qui est vrai et faux autour de la transmission du virus. 1. "L'épidémie du sida est contenue"
Faux. Selon le sondage Ifop, 54% des jeunes interrogés pensent que l'épidémie est contenue. Pourtant, d'après Santé publique France, en 2019, 6.200 personnes en France ont découvert leur séropositivité. Parmi elles, 26% étaient à u
Comment la recherche contre le Covid-19 fait avancer celle contre le sida.
Source : Ouest France La technologie innovante de l'ARN messager, utilisée pour les vaccins contre la Covid-19, redonne de l'espoir aux scientifiques dans la recherche d'un vaccin contre le VIH. En France, 6 200 nouveaux cas sont recensés chaque année.
La recherche sur le Covid-19 va-t-elle faire avancer celle sur VIH, virus responsable du sida ? Des scientifiques l'espèrent. Les vaccins à ARN messager, technique novatrice utilisée par les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna contre le Covid-19, inspirent les chercheurs dans leur quête d'un vaccin contre le virus du sida. Cette méthode pourrait s'avérer efficace contre le syndrome d'immunodéficience acquise. Quelle différence entre le VIH et le Covid-19 ? Si ces deux maladies sont causées par deux virus à ARN, c'est-à-dire que son matériel génétiqueAZT : le prix des avancées médicales en temps de pandémie.
Source : Infirmiers.com Le 20 mars 1987, une mise à disposition considérable bouleversait le monde de la médecine : un traitement émergent pour les malades du Syndrome de l’Immunodéficience Acquise (Sida), lui-même découvert en France quatre ans plus tôt. L’AZT (pour azidothymidine, ou zidovudine), une molécule antirétrovirale, devient un réel espoir pour les malades. Comment sont apparus les premiers cas de Sida, et comment s’est propagé le virus ? En retraçant l’histoire de la maladie, impossible de ne pas évoquer cette petite révolution qui a bouleversé il y a trente-quatre ans la vie quotidienne des personnes infectées par le VIH et permis de les soigner malgré des effets indésirables considérables.
Revenons quelques décennies plus tôt pour mieux comprendre cette pandémie, toujours d'actualité. Dans les années 1908-1920, les premiers foyers de la maladie seraient apparus à Léopoldville (actuelle Kinshasa), capitale du
VIH : diminuer l’inflammation chronique avec un antidiabétique.
Source : Université de Montréal La metformine, un médicament employé pour traiter le diabète de type 2, pourrait permettre de réduire l’inflammation chronique observée chez les personnes vivant avec le VIH et sous trithérapie, selon une équipe de recherche du Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM).
Si la thérapie antirétrovirale a permis d’améliorer la santé des personnes séropositives, elles ont cependant plus de risque de développer des complications associées à la chronicité de l’inflammation, comme les maladies cardiovasculaires. Ces problèmes de santé sont notamment dus aux réservoirs viraux dans lesquels le VIH persiste et à l’activation constante du système immunitaire.
Dans une étude-pilote publiée récemment dans EBioMedicine, la chercheuse Petronela Ancuta, professeure à l’Université de Montréal, et la doctorante Delphine Planas, première aut
Vieillir avec le VIH : le témoignage de Pascale, "survivante" depuis 1984.
Source : LCI Alors que la 28ème édition du Sidaction a débuté jeudi soir, TF1 a recueilli le témoignage de Pascale Lassus, 60 ans, dont 37 à vivre avec le VIH.
Contaminée par son petit-ami au tout début de la pandémie de sida, en 1984, Pascale Lassus ne sera diagnostiquée que dix ans plus tard. Les prédictions des docteurs n'étaient alors guère optimistes. "Quand le médecin m'a annoncé que j'étais séropositive, il m'a dit froidement 'il vous reste deux, trois ans à vivre'", se souvient-elle. "Je suis une survivante parce que parmi les personnes qui ont été contaminées au début des années 1980, il n'y en a plus qu'une sur dix qui est toujours là."
Avant de se savoir infectée au VIH, Pascale avait mis au monde une petite fille. Elle découvrira quelques années plus tard qu'elle lui a transmis le virus. Toutes deux commencent alors à prendre un traitement lourd, jusqu'à vingt-cinq cachets pa
La très grande efficacité de la PrEP confirmée après une étude de trois ans.
Source : Komitid L'étude ANRS Prévenir, menée en partenariat avec AIDES, valide l'efficacité et la bonne tolérance en vie réelle de la PrEP au bout de trois années de suivi.
La Croi 2021, plus importante conférence scientifique sur le VIH, s'est tenue (en visioconférence) du 6 au 10 mars. Parmi les nombreuses communications et résultats d'essai, celle sur Prévenir, une étude de l'ANRS avec AIDES et le soutien de Sidaction, qui analyse l'efficacité de la PrEP (traitement préventif du VIH) au long cours, a été particulièrement commentée.
Prévenir, dont l'investigateur principal est le Pr Jean-Michel Molina, a démarré en mai 2017 dans plusieurs hôpitaux. PrEP en continu ou à la demande
Plus de 3000 personnes en Île-de-France présentant de fortes vulnérabilités au VIH ont été suivies, afin d'évaluer l'efficacité et la tolérance de la PrEP, dont la forme génériqu
VIH : "La vie est facilitée grâce aux nouveaux traitements, mais les mentalités ont peu évolué".
Source : France 3 Paris Ile-de-France Alors que le Sidaction lance son week-end de collecte ce vendredi, l’association Les ActupienNEs, basée à Paris, continue de lutter contre le sida, le manque d’information et la sérophobie.
"Il faut en parler, parfois de façon brutale, pour que la génération actuelle et les générations futures comprennent". Alors que la crise sanitaire actuelle a tendance à faire passer la question du VIH au second plan, Romain Colson, vice-président des ActupienNEs, continue de lutter contre la sérophobie. "C’est la méconnaissance, la peur et l’aversion vis-à-vis des personnes séropositives, explique-t-il. La stigmatisation a commencé dès le début de l’épidémie dans les années 1980, avec l’idée d’un cancer gay, d’une maladie de PD, de noir, de drogué. Une sorte de peste qu’on a peur de choper."
"On parle d’une peur irrationnelle, 95% des personnes séropositives sous tr