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Brèves
VIH et relation parent-enfant.
Source : Seronet L’annonce de sa séropositivité est souvent un moment clé pour les personnes vivant avec le VIH dans leur relation aux autres. Quel est l’impact de cette annonce chez les mères séropositives dans leur relation avec leurs enfants ? C’est ce qu’a voulu savoir une étude américaine publiée sur le site aidsmap. Auto-évaluations
Cette étude menée par la Dre Nada Goodrum et ses collègues de l’Université médicale de Caroline-du-Sud (États-Unis) s’est concentrée sur des mères vivant avec le VIH. Le terme « mère » comprend une majorité de mères biologiques, mais aussi des parents de genre féminin en charge de l’éducation des enfants (comme une grand-mère, par exemple). Les participantes étaient originaires des villes de Los Angeles, San Diego et Atlanta. Les entretiens ont été menés en anglais ou en espagnol. En tout, 148 mères vivant avec le VIH ont été incluses dans l’étude avec 348 enfants (âgés-es entre 6 et 14
Le Secrétaire général des Nations Unies appelle à se concentrer davantage sur la fin des inégalités en vue de mettre fin au sida.
Source : Onusida Quarante ans après le signalement des premiers cas de sida et à quelques semaines de la Réunion de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies sur le VIH, le Secrétaire général des Nations Unies a publié un nouveau rapport contenant des recommandations et des objectifs afin que l'humanité comble son retard pour mettre fin au sida.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a averti que l'épidémie de VIH continue de se développer dans plusieurs contextes malgré les efforts soutenus et les progrès accomplis dans la lutte contre le VIH dans certaines zones et auprès de certaines populations. Il a émis pour cela un ensemble de 10 grandes recommandations.* Si tous les pays les appliquent, la pandémie de sida sera supprimée à l'horizon 2030 de la liste des menaces de santé publique comme indiqué dans les Objectifs de développement durable. Dans un nou
Covid-19 : trois questions sur la pilule testée par Pfizer contre les formes graves.
Source : L'Express Des essais cliniques pour un traitement oral sont en cours sur des "adultes sains" entre 18 et 60 ans, aux États-Unis et en Belgique.
Après le vaccin, le médicament ? L'entreprise américaine Pfizer travaille à l'élaboration d'un traitement contre le Covid-19. Le géant pharmaceutique espère le rendre disponible d'ici fin 2021, a déclaré mardi Albert Bourla, PDG de Pfizer, à la chaîne CNBC. Avant cela, leur médicament devra d'abord passer toutes les étapes de l'essai clinique en cours. Pour l'instant, il se trouve encore en phase 1, qui vise à déterminer s'il est bien toléré par les participants. S'il franchit cette première étape, il pourra passer aux phases 2 et 3, visant à confirmer sa sûreté et à valider son efficacité. Enfin, il devra être autorisé par les autorités sanitaires. Comment fonctionne ce médicamen
Indétectable = Intransmissible : une arme contre la sérophobie.
Source : Seronet Aujourd’hui a lieu la première journée contre la sérophobie. Si on prend le sens littéral de la sérophobie, la peur des personnes vivant avec le VIH, il existe aujourd’hui un outil simple et efficace pour déconstruire cette peur : le Tasp (traitement comme prévention) plus connu dans le monde sous le slogan U = U (I = I : Indétectable = Intransmissible). Explications. I = I : un consensus scientifique
Tout commence le 30 janvier 2008, lorsque le fameux « avis Suisse » lancé dans les médias par une interview du professeur Bernard Hirschel à l’occasion du 1er décembre 2007, est publié dans la revue médicale « Bulletin des médecins suisses ». À l’époque, le message, appuyé par la science, est une révolution dans la vie des personnes vivant avec le VIH, mais aussi pour leurs soignants-es. Tout à coup, les personnes reprennent le contrôle sur le virus et leur traitement devient un outil de prévention, le Tasp.
Lutéran et Lutényl : deux études confirment le risque de méningiome.
Source : Le Quotidien du Pharmacien Le surrisque de méningiome associé à la prise de Lutéran et de Lutényl et de leurs génériques, avait été communiqué dès janvier par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de gr santé (ANSM). La Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) publie deux rapports EPI-PHARE qui confirment les conclusions sur une association forte et dose-dépendante entre ces deux progestatifs et le risque de méningiomes intracrâniens.
L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait dès le début d'année proscrit l'utilisation de l'acétate de nomégestrol et de l'acétate de chlormadinone dans les indications suivantes : troubles de la ménopause, la contraception, traitement d'irrégularités du cycle, dysménorrhées essentielles et mastodynie non sévère. Cette décision reposant sur un surrisque de méningiome est désormais étayée par deux rapports EPI-PHARE (épidémiologie des prod
Prep : « révolution sexuelle ».
Source : Seronet Un changement radical a eu lieu en cinq ans dans la prévention VIH des hommes gays et bisexuels en Australie. C’est ce que révèle une étude récente publiée dans la revue médicale AIDS nous apprend le site aidsmap.
Cette étude, menée par le professeur Martin Holt de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud à Sydney (Australie) visait à connaître les modes de prévention des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) en Australie. Des questionnaires étaient disponibles en ligne et dans des lieux et événements communautaires identifiés gays. Au total, 32 048 personnes ont répondu à ces questionnaires sur une période de cinq ans (2014-2019). La moitié des répondants avaient entre 27 et 45 ans. La plupart des répondants s’identifiaient comme gays (90 %) ou bisexuels (7 %) et étaient nés en Australie (70 %). Ils étaient 82 % à se déclarer séronégatifs au VIH, 10 % séropositifs et 9 % ignoraient leur
Communiqué de Presse de la Haute Autorité de Santé - La prescription de la PrEP en ville pendant l’urgence sanitaire.
Source : Haute Autorité de Santé
La première prescription de la prophylaxie pré-exposition au VIH (PrEP) était jusqu’à présent effectuée uniquement par un médecin expérimenté au sein des hôpitaux, ou des Centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD). La crise sanitaire et ses conséquences constituant un frein aux consultations dans ces lieux, la HAS recommande aujourd’hui la possibilité de primo-prescription et de suivi des patients ayant recours à la PrEP par tout médecin, notamment en ville. Elle publie des Réponses rapides afin d’accompagner les médecins de ville dans cette démarche .La crise sanitaire que nous traversons, avec les confinements, la fermeture des CeGIDD et la surcharge des services hospitaliers qu’elle a occasionnée, a entrainé des retards de dépistage, une diminution des instaurations de la PrEP et fragi
Plus de 500 000 personnes vivent avec le VIH/SIDA en République Démocratique du Congo.
Source : Zoom-Eco Plus de 500 000 personnes vivent avec le VIH/SIDA en République Démocratique du Congo. La Directrice pays de l’ONUSIDA, Susan Kasedde Muwanse, l’a déclaré à l’issue de la rencontre ce lundi 19 avril 2021 avec le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, Charly Nzanzu Kasivita.
Elle conduisait une délégation conjointe composée de l’ONUSIDA, du Programme National Multisectoriel de Lutte contre le Sida (PNMLS) et du Programme National de Lutte contre le VIH/SIDA (PNLS).
Leur mission s’inscrit dans le cadre du renforcement de la stratégie de riposte au VIH/SIDA dans la province du Nord-Kivu.
A cet effet, Madame Susan Kasedde Muwanse a rassuré ses interlocuteurs que l’ONUSIDA sera toujours aux côtés d’autres partenaires dans la lutte contre le VIH/SIDA.
« Vous pouvez absolument compter sur l’ONUSIDA pour continuer de