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Brèves
La nourriture salée « étoufferait » les cellules immunitaires.
Source : Futura Sciences Le sel amoindrit la respiration et la production énergétique cellulaire. Avec des conséquences non seulement sur la maturation des monocytes, précurseurs des macrophages, mais aussi probablement sur l'ensemble des cellules de notre corps.
L'excès de sel est connu pour favoriser l'hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires, les calculs rénaux ou l'ostéoporose. De précédentes études (lire ci-dessous) ont également montré que le sel affaiblit les défenses immunitaires, en inhibant l'action des granulocytes neutrophiles, les globules blancs qui « mangent » les cellules infectées. Des chercheurs de Max Delbrück Center, à Berlin, ont aujourd'hui découvert un nouveau mécanisme à l'œuvre : le sel « étoufferait » littéralement nos cellules en empêchant la respiration mitochondriale. Les cellules produisent moins d’ATP et consomment moins d’oxygène
Dans la lutte contre le sida, la Prep encore trop peu accessible.
Source : Libération Un avis du Conseil national du sida s’alarme de la faible diffusion de ce dispositif médicamenteux qui permet d’éviter d’être contaminé par le VIH et demande à en faciliter l’accès, notamment pour les femmes, les migrants, les personnes trans et les prostituées.
C'est un constat sévère qu'a dressé, le 7 mai, le Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS), sur la lenteur de l'usage de la Prep en France, alors que c'est un outil formidable pour casser l'épidémie de VIH. La Prep (pour prophylaxie pré-exposition), c'est donc prendre un médicament antirétroviral avant une relation sexuelle à risque et les deux jours suivants le rapport, ou le prendre ensuite en continu. Si la personne suit bien ces instructions, elle est protégée à 100 %. En France, cette prescription est autorisée depuis le 1er janvier 2016. Dans un rapport de l'Igas (inspection générale des affaire
Le Traitement Post-Exposition (TPE), parent pauvre de la prévention ?
Source : Transversal Mag
Eclipsé par la PrEP, le traitement post-exposition (TPE) est un outil prophylactique efficace. S'il a toute sa place dans les stratégies de prévention, aucune étude globale ne vient en mesurer l'utilisation en France. Focus sur un moyen de prévention qui mériterait d'être mieux connu.On pourrait comparer le TPE (traitement post exposition) à la pilule du lendemain. On le prend après un rapport sexuel à risque pour bloquer la diffusion du VIH dans le corps. Selon une étude observationnelle canadienne, c’est efficace à au moins 80 % et probablement bien plus si le suivi et l’observance sont scrupuleux durant les 28 jours que nécessite le traitement.
Selon les recommandations du rapport Morlat, le TPE doit être dispensé suite à un rapport sexuel sans préservatif ou suite à un accident d
Avis sur la place de la PrEP dans la prévention du VIH en France : changer de paradigme, changer d’échelle.
Source : Conseil National du Sida et des Hépatites virales
Le Conseil national du sida et des hépatites virales publie un Avis suivi de recommandations sur la place de la PrEP dans la prévention du VIH en France.La prophylaxie pré-exposition (PrEP), disponible et prise en charge en France depuis 2016, est un moyen de protection individuelle très efficace des personnes séronégatives. C'est également un levier essentiel sur le plan de la santé publique pour réduire l'incidence du VIH, en l'absence de vaccin.Pourtant, les indicateurs épidémiologiques de l'infection par le VIH ne montrent pas un niveau de réduction de l'épidémie en France à hauteur de ce qui a été obtenu depuis plusieurs années à l'étranger, dans des villes et des pays comparables aux nôtres.Au travers de onHépatites B et C : données épidémiologiques 2019.
Source : Santé Publique France Santé publique France publie les données actualisées de surveillance des hépatites B et C qui montrent une stabilisation du nombre de personnes en affection longue durée pour une hépatite C en 2019 et une augmentation constante concernant l’hépatite B.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fixé un objectif mondial d’élimination des virus de l’hépatite B (VHB) et de l’hépatite C (VHC) d’ici à 2030. La France s’est engagée à atteindre l’élimination de l’hépatite C d’ici 2025, en intensifiant les actions de prévention et de dépistage à destination des publics les plus exposés et en renforçant l’accès aux soins et au traitement de l’hépatite C. Afin de fournir des éléments contribuant à l’évaluation des actions mises en place, Santé publique France publPatrick O’Connell, créateur du ruban rouge et militant de la lutte contre le VIH/sida, est mort.
Source : Têtu Le militant aura participé à sensibiliser le monde avec son fameux ruban rouge, devenu le symbole de la lutte contre l'épidémie de VIH/sida, à une époque où la société ne voulait pas voir les malades.
On l'a tous épinglé sans savoir forcément qui l'avait créé. Le ruban rouge, symbole mondial de la lutte contre le VIH, a perdu son créateur, Patrick O'Connell, mort à l'âge de 67 ans. Il était l'un des fondateurs de Visual AIDS, un groupe militant de soutien aux artistes vivant avec le virus. Pendant les années 1990, il a conçu des campagnes de mobilisation pour alerter sur le VIH et les discriminations qui entourent le virus.
Son frère, Barry, a indiqué au New York Times la mort du militant, survenue le 23 mars dans un hôpital de Manhattan. "Alors que tu es parti, ton militantisme autour du VIH/sida continuera à nous habiter grâce à ton infatigable travail. Merci Patrick. Act U
Afrique : Covid-19 : l’Association de Lutte Contre le Sida alerte sur le dépistage du VIH.
Source : Eco Actu Maroc Une enquête réalisée dans 24 pays en Afrique et 7 pays en Asie a révélé que la crise sanitaire liée à la COVID-19 a fortement perturbé la prestation des services de santé. Dans le cas de la lutte contre le VIH, les données sont particulièrement alarmantes. L'ALCS estime qu'il est indispensable d'investir dans les systèmes de santé communautaires pour atteindre les objectifs que s'est fixés la communauté internationale dans la lutte contre les grandes épidémies.
Un récent rapport du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme fait le constat que plusieurs pays à revenu faible et intermédiaire ont dû s'appuyer sur les agents de santé et notamment les agents de santé communautaire dans le contexte de la COVID-19 pour assurer la continuité des soins.L'Association de lutte contr