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Brèves
ViiV Healthcare lance la campagne «Moins de VIH, plus de VIE» dans l'objectif d'améliorer la prise en charge globale des personnes vivant avec le VIH et donner priorité à leur qualité de vie.
Source : VIH.ORG
Le programme de cette campagne s’adresse aux patients, aux professionnels de santé et aux associations de patients et poursuit l’engagement de ViiV Healthcare au-delà du médicament pour accompagner et aider les PVVIH dans leur quotidien.Rueil-Malmaison, France, 22 septembre 2020 – ViiV Healthcare, l’entreprise internationale spécialisée dans le VIH, détenue majoritairement par GSK et dont les actionnaires sont Pfizer Inc. Et Shionogi Limited, annonce le lancement de sa campagne «Moins de VIH, plus de VIE». Un programme résolument engagé pour la qualité de vie des personnes vivant avec le VIH (PVVIH).
Aujourd’hui, les traitements du VIH permettent, pour la majorité des PVVIH, de retrouver ou conserver un bon état de santé (1,2,3). Ainsi, la qualité de vie des patients devient un enjeu majeur de la prise en charge. D’ailleurs, aux objectifs ONUSID
Tuberculose, l’OMS alerte sur le manque de moyens
Source : RSE MAGAZINE
Alors que le seul obstacle pour le traitement de la tuberculose concerne les moyens déployés, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) alerte sur la situation actuelle. L’organisation internationale explique que les objectifs pour la prévention et de traitement risquent de ne pas être atteints.Focalisés sur le Covid-19, on oublie les maladies graves qui continuent à tuer. Une situation d’autant plus inquiétante lorsqu’il s’agit de pathologies contre lesquelles des traitements existent comme la tuberculose. L’OMS tire le signal d’alarme concernant cette maladie contre laquelle il faut continuer à se mobiliser. Car c’est grâce à des moyens importants et une mobilisation mondiale que les cas ont diminué de 9% et les mo
VIH, des chercheurs découvrent comment le virus crée sa propre « armure »
Source : MLACTU Elle est définie comme une « étude révolutionnaire » celle publiée sur Progrès de la science concernant la manière dont le VIH-1 construit sa propre capside. Cette dernière est une couche de protéine qui agit comme une véritable « armure » et protège le virus et lui permet de se propager plus facilement.
Dans le cas du VIH, ce dernier utilise une petite molécule appelée IP6. Afin de comprendre précisément comment le virus VIH utilise cette molécule pour construire sa propre armure, les chercheurs ont mené de nombreuses expériences en laboratoire au cours des dernières années, notamment en essayant de recréer des têtes stables. Toutefois, il n’y a pas eu beaucoup de succès à cet égard.
Comme l’explique Alvin Yu, l’un des principaux auteurs de l’étude, le VIH construit une capside particulière qui a une forme conique fermée d’un côté pour contenir le matériel génétique viral.
Observatoire - Recherche de témoignages : rupture de vaccin contre la grippe saisonnière en officine
Source : TRT-5.org Le collectif TRT-5 est régulièrement alerté par des personnes vivant avec le VIH ou par des médecins sur la survenue régulière de ruptures d'approvisionnement de pharmacies en antirétroviraux, vaccins. Pour avoir une meilleure vision globale de ces pénuries et difficultés d'accès et afin d'en comprendre le processus, cet observatoire vous permet de nous signaler ces incidents.
Vous avez eu connaissance ou vous avez été directement concerné(e) par une difficulté d'accès ou à une rupture dans une pharmacie de ville / hospitalière.
Vous avez été confronté(e) à une des situations suivantes : vous n'avez pas pu obtenir dans un délai habituel votre traitement, vous avez dû aller dans une autre pharmacie etc.
Témoignez-en, en remplissant le questionnaire ci-dessous
Covid-19 et confinement : l’impact psychologique chez les personnes vivant avec le VIH et les prépeurs
Source : VIH.org La crise du Covid-19 a frappé l’hôpital public tel un tsunami. Patients vivant avec une maladie chronique et «prépeurs» pris en charge dans les services d’infectiologie, toutes et tous se sont retrouvés dans le même bateau. Une situation inédite qui a eu des conséquences non négligeables sur la santé mentale de tous les acteurs et actrices, chahutés entre risque de contamination et confinement.
Quand le pire du Covid-19 a déferlé, il a réveillé de douloureux souvenirs dans les services d’infectiologie des hôpitaux français : c’était comme se prendre «deux tsunamis à plus de 30 ans de distance», explique Nadine Trocmé (SFLS), en ouverture de la session consacrée aux impacts psychologiques du Covid 19 chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), les prépeurs et les soignants, lors de l’e-congrès 2020 de la Société française de lutte contre le sida (SFLS).
Une impression de
Tous les patients vulnérables ont à nouveau droit au chômage partiel
Source : LE QUOTIDIEN DU PHARMACIEN Hier, le Conseil d'État a suspendu les dispositions d'un décret qui restreignait la liste des travailleurs vulnérables face au Covid-19 ayant droit au chômage partiel. Le gouvernement va devoir réviser sa copie.
C'est un soulagement pour les personnes de plus de 65 ans, celles ayant des antécédents cardiovasculaires, un diabète non équilibré, une pathologie chronique respiratoire ou encore une obésité, qui pourront à nouveau solliciter un chômage partiel en raison d'un risque de développer une forme grave de Covid-19. Ce droit leur avait été accordé (ainsi qu'à d'autres pathologies) dans un décret du 5 mai, avant de leur être retiré le 1er septembre, comme le stipulait un décret du 29 août.
Ce nouveau décret prévoyait de maintenir le système de chômage partiel pour les plus fragiles de la liste : c'est-à-dire « les malades atteints d'un cancer évolutif, d
Tuberculose : 400 000 cas supplémentaires à cause du coronavirus ?
Source : TOPSANTE Le rapport annuel de l'OMS souligne le risque de voir les efforts de lutte contre la tuberculose anéantis par la crise du coronavirus (Covid-19). En 2019, 1,4 millions de personnes sont mortes de la tuberculose dans la monde. Cette année 2020 pourrait être marquée par une hausse de 200 000 à 400 000 morts dus à la maladie infectieuse, du fait de la pandémie de Covid-19 qui a notamment freiné la détection, et donc le soin, de nombreux cas. C'est du moins ce qui inquiète l'OMS, dans un communiqué diffusé par l'AFP. Entre fin mars et fin avril, les notifications par semaine de malades de la tuberculose on baissé de 50% en Inde, pays le plus touché par la pathologie pulmonaire. Il s'agit de la période où le pays a imposé un confinement à ses citoyens, expliquant cette chute par une plus grande difficulté à se rendre chez le médecin. Un autre pays très marqué, l'Afrique du sud, enregistre aussi une baisse record du dépistage, entre les mois de mars et de juin. Les pays l
VIH : qui veut un traitement injectable ?
Source : SERONET Lundi 5 octobre, une conférence scientifique sur le VIH débutait à Glasgow en Écosse. Parmi les premières présentations, une étude montrait que deux-tiers des personnes vivant avec le VIH aimeraient passer en traitement longue durée injectable.
Cette étude, publiée par aidsmap, s’est faite sous forme de questionnaires en ligne proposés dans quatre pays d’Europe (France, Allemagne, Italie et Royaume-Uni).
L’efficacité de la bithérapie associant les antirétroviraux cabotégravir + rilpivirine sous sa forme injectable et à libération prolongée (une injection tous les deux mois) a été démontrée dans les essais Flair (personnes n’ayant jamais pris de traitements anti-VIH) et ATLAS (personnes ayant déjà pris des traitements anti-VIH).
Le questionnaire était mené sous l’égide du laboratoire pharmaceutique ViiV Healthcare, qui fabrique la bithérapie
Covid-19 : quel impact sur le VIH ? (2/2)
Source : SERONET Le congrès national de la Société française de lutte contre le sida (SFLS) a débuté mercredi 7 octobre de façon virtuelle avec un mélange d’interventions pré-enregistrées et de séquences en direct. Au cœur des discussions, la crise sanitaire liée à la Covid-19 bien sûr et son impact multiple et durable sur la lutte contre le VIH/sida. Seronet a suivi les différentes présentations et revient sur les moments forts des deux premiers jours. Seconde partie. Dépistages VIH et prescriptions Prep en chute libre
Les chiffres ont été dévoilés mardi 6 octobre, lors de la conférence de presse de lancement du congrès et ils ont été présentés jeudi 8 octobre en détail par la Dre Rosemary Dray-Spira, directrice adjointe du groupe d’intérêt scientifique Epiphare (Agence nationale de sécurité du médicament et Caisse nationale d’assurance maladie) (1) : « Depuis le début du confinement, on observe une diminution massive du
Vers une reprise de l'épidémie de VIH ?
Source : SERONET Cette année, crise sanitaire oblige, le congrès national de la Société française de lutte contre le sida (SFLS) est une édition virtuelle qui se tiendra aux dates prévues du 7 et 9 octobre 2020. Seronet a suivi la conférence de presse de lancement du mardi 6 octobre et revient sur l’information principale : l’inquiétude des experts-es sur une possible remontée de l’épidémie de VIH, du fait de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19. Une diminution « massive » du nombre de tests VIH
Covid-19 oblige la conférence de presse de lancement de cette édition virtuelle de SFLS a eu lieu en visio sur Zoom en présence du Pr Gilles Pialoux (chef du service des maladies infectieuses, Hôpital Tenon, AP-HPP), du Dr Pascal Pugliese (président de la SFLS et infectiologue à Nice) et de la Dre Rosemary Dray-Spira, médecin épidémiologiste, directrice adjointe du groupement d’intérêt spécifique Epiphare (Agence natio