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Brèves
Loches : une permanence de dépistage du VIH à la Maison de la solidarité
Source: LA NOUVELLE REPUBLIQUE Depuis septembre, une permanence de dépistage VIH se tient le premier mardi du mois à la Maison de la solidarité et propose des traitements.
Des dépistages rapides, gratuits et anonymes, pour détecter un virus à Loches. Non, il ne s’agit pas du Covid-19 mais du Virus de l’immunodéficience humaine (VIH), responsable du Syndrome d’immunodéficience acquise (Sida). Depuis le 1er septembre, chaque premier mardi du mois, de 9 h 30 à 12 h, le centre de vaccination et dépistage des infections sexuellement transmissibles d’Indre-et-Loire propose une permanence à la Maison départementale de la solidarité de Loches. Cette action est conjointe avec le centre de vaccination publique dans le but « d’avoir une offre de soins la plus large possible », selon Guillaume Gras, médecin coordinateur du Cegidd 37 et président du comité de lutte régionale contre le VIH. « Mieux mailler le territoire »
Une personne séropositive sur trois ressent un stress « très lourd » à cause de son statut sérologique VIH
Source : TÊTU Une étude publiée dans The Lancet s'intéresse à ce que ressentent les personnes qui vivent avec le VIH. Une personne sur trois éprouve un stress "très lourd" à cause du virus. Mais les craintes s'estompent avec le temps.
C'est la prestigieuse revue The Lancet qui l'affirme. Pour les gays et les bi, c'est encore difficile de vivre avec le VIH en 2020. L'annonce de son statut sérologique reste compliquée et a des conséquences sur les relations sociales, même si les inquiétudes diminuent avec le temps.
L'étude a été réalisée aux Pays-Bas. Elle montre qu'environ un tiers des 438 participants hollandais considèrent que le VIH les expose à des conséquences négatives et à un haut niveau d'anxiété. Dans The Lancet, seul un répondant sur cinq (23%) affirme qu'être porteur du VIH n'a pas de conséquence psychologique. Près de la moitié disent éprouver un niveau de stress "medium" et 31%
Prep : Le cabotegravir en injection plus efficace que les comprimés pour les femmes
Source : VIH.ORG Les résultats de l’étude HPTN 084 confirment la très grande efficacité de la Prep en version injectable (cabotegravir), chez les femmes africaines cette fois.
En effet, dans l’étude lancée en novembre 2017, le cabotégravir à action prolongée (ViiV Healthcare), injecté toutes les huit semaines, s’est avéré à 89% plus efficace que la Prep quotidienne sous forme de cachets (fumarate de ténofovir disoproxil / emtricitabine) pour prévenir l’infection par le VIH.
Quatre infections par le VIH ont été recensées parmi les femmes ayant reçu l’injection, contre 34 chez celles qui prenaient tous les jours un comprimé. Le risque de contamination était donc neuf fois inférieur avec le cabotegravir.
Les deux formes de Prep ont néanmoins toutes deux confirmé leur très grande efficacité au cours de la phase III de l’essai en double aveugle, qui comprenait 322
Infection à VIH, en route vers l’objectif 90-90-90
Source : JIM
Toutes les personnes infectées par le VIH, avec une virémie détectable, doivent débuter le plus rapidement possible après leur diagnostic, un traitement antirétroviral (ART) et ce, quel que soit leur taux de CD4. Des données récentes ont démontré l'intérêt de la combinaison dolutégravir/lamuvidine en traitement initial, ainsi que celui des nouveaux protocoles avec des ART de longue durée d'action, administrables toutes les 4, voire toutes les 8 semaines. L'efficacité des ART a permis à nombre de patients d'avoir une espérance de vie quasi normale et, de fait, le nombre de sujets séropositifs de plus de 50 ans a considérablement augmenté.Un comité international d'e
VIH : le traitement injectable, ça marche !
Source : SERONET L'Agence européenne des médicaments (EMA) a donné, le 16 octobre dernier, son feu vert à une thérapie anti-VIH par injection de deux antirétroviraux (rilpivirine et cabotégravir) mensuelle ou bimestielle, remplaçant une prise quotidienne de comprimés. Seronet fait le point sur ce nouveau traitement déjà disponible aux États-Unis. Une efficacité sur le long terme
Le site d’info Aidsmap a réalisé une synthèse des dernières données présentées sur le traitement injectable présentées lors de la récente conférence virtuelle IDweek. L’efficacité de l’association par voie orale, cabotégravir (Vocabria, laboratoire ViiV Healthcare) et rilpivirine (Rekambys, laboratoire Janssen) a été démontrée dans l’étude Latte-1. Les données de Latte-2 ont permis de mettre en place l’évaluation du schéma cabotégravir + rilpivirine sous sa forme injectable à libération prolongée (une injection intramusculaire toutes les quatre o
L'association Agir contre le sida lance le "Patchwork des noms" en Polynésie
Source : TAHITI INFOS Karel Luciani, nouveau président de l’association Agir contre le sida, souhaite décliner le mouvement du Patchwork des noms en Polynésie. L’association présentera ses premiers patchworks polynésiens lors de la journée mondiale du sida le 1er décembre. Elle invite toute personne concernée à réaliser son patchwork.
Il a pris la présidence d’Agir contre le sida en janvier 2020. Karel Luciani, depuis, dynamise cette association endormie ces dernières années. À quelques semaines de la journée mondiale de lutte contre le sida qui a lieu le 1er décembre, il annonce le lancement du Patchwork des noms en Polynésie. Il espère, par ce biais, "rendre hommage aux victimes du sida en Polynésie", mais également "sensibiliser" le plus grand nombre. Il aimerait pouvoir lever les tabous liés à la maladie en général,
Toulouse : un chercheur du CNRS primé pour ses travaux sur la tuberculose
Source : FRANCE 3 OCCITTANIE Le chercheur toulousain Olivier Neyrolles a reçu ce lundi 2 novembre l'un des prix scientifiques de la Fondation pour la recherche médicale. Avec son équipe, il a percé les secrets de la virulence du bacille de la tuberculose.
C'est la maladie infectieuse la plus meurtrière au monde. Chaque année, la tuberculose tue 1,5 millions de personnes. Certaines de ses formes sont de plus en plus résistantes aux traitements, pour d'autres, il n'existe pas encore de vaccin. Percer les mystères de cette maladie, c'est l'objet des recherches d'Olivier Neyrolles. Ce directeur de recherches du CNRS y travaille depuis plus de 20 ans et avec son équipe de l'institut de pharmacologie et de biologie structurale, à Toulouse, il a fait des découvertes majeures dans les mécanismes d'infection et de virulences du bacille de la tuberculose. Ce qui lui vaut de recevoir ce lundi 2 novembre, l'un des 13 prix scientifiqu
Vietnam: Près de 13.000 personnes utilisent la prophylaxie pré-exposition au VIH
Source : LE COURRIER DU VIETNAM Après deux ans de mise en œuvre, le programme de prophylaxie pré-exposition au VIH (PrEP) compte près de 13.000 clients, contribuant à contrôler la prévalence du VIH dans la communauté.
C’est ce qui ressort de la conférence "Traitement et prévention de pré-exposition au VIH (PrEP) 2018-2020 et Plan pour 2021", tenue à Hô Chi Minh-Ville le 3 novembre. Un événement organisé par le Département de prévention et de lutte contre le VIH/Sida - ministère de la Santé, en collaboration avec l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le projet USAID PATH Healthy Markets. Le professeur agrégé-Dr. Nguyên Hoàng Long, directeur du Département de prévention et de contrôle du VIH/Sida, a déclaré que le Vietnam a obtenu de nombreuses réalisations remarquables dans la prévention et le contrôle du VIH/Sida. Le virus est en partie sous contrôle avec un taux d'infection dans la comm
Santé mentale et VIH : l’épreuve de l’épidémie de Covid
Source : TRANSVERSAL MAG Durant le confinement, psychologues et psychiatres ont suivi par téléconsultation leurs patients vivant avec le VIH. Si ce moment de « pause » a été globalement bien vécu, le déconfinement a souvent été plus compliqué à gérer pour ces patients, encore confrontés aujourd’hui à une situation sanitaire très incertaine.
« Il y a certaines personnes qui veulent vraiment revenir nous voir. Et d’autres qui ont pris l’habitude de consulter, par téléphone, depuis leur canapé. Et qui, finalement, n’ont plus très envie de bouger de leur canapé… » C’est sur le ton de la boutade que cette psychologue, spécialisée dans le VIH, décrit la situation actuelle. « On est dans un entre-deux un peu compliqué à gérer pour nos patients qui, comme tout le monde, font face à une situation sanitaire encore pleine d’incertitudes. Car la vie n’est pas redevenue comme avant », ajoute Serge Hefez, ps
Les hommes à risque aussi pour les papillomavirus
Source : LE QUOTIDIEN DU MEDECIN Les hommes ne sont pas épargnés par les tumeurs liées aux papillomavirus, notamment de l'oropharynx, de l'anus et du pénis. La Haute Autorité de santé (HAS) recommande d'étendre la vaccination des garçons de 11 à 14 ans révolus.
Parmi la centaine de souches de la famille des papillomavirus (HPV), certaines sont impliquées chez les hommes dans la survenue des cancers de l'oropharynx, de l'anus et du pénis.
La Haute Autorité de santé (HAS) a élargi la vaccination aux garçons depuis décembre 2019. Le vaccin, très efficace et bien toléré, est ainsi recommandé chez tous les adolescents, garçons et filles, entre 11 et 14 ans, avant les premiers rapports, avec un rattrapage pour les 15-19 ans et jusqu'à l'âge de 26 ans pour les homosexuels garçons et/ou les immunodéprimés. Quelque 50 sociétés savantes recommandent le vaccin HPV, ce qui est suffisamment rare pour êt
Estimation du nombre de personnes qui s’injectent des drogues et de la couverture des programmes de réduction des risques au Canada
Source : CATIE On estime que 171 900 personnes s’injectaient des drogues au Canada en 2016, soit une augmentation par rapport à 2011. Les deux tiers des personnes qui s’injectaient des drogues au Canada ont reçu un traitement par agonistes opioïdes en 2016, ce qui représente également une augmentation par rapport à 2011. Près de 50 millions de seringues et d’aiguilles ont été distribuées en 2016, ce qui est inférieur aux cibles canadiennes recommandées.
Les personnes qui s’injectent des drogues ont un risque accru de contracter le virus de l’hépatite C (VHC) et le VIH en partageant ou en réutilisant du matériel de consommation de drogues. Le traitement par agonistes opioïdes (TAO) et la distribution de seringues et d’aiguilles sont tous deux associés à un risque réduit de VHC, de VIH et d’autres méfaits connexes. De plus