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CROI 2021: Traitements VIH : c'est mon choix !
Source : Seronet Mardi 9 mars 2021, troisième jour de la Croi 2021 virtuelle et hyper connectée. Un écran sur le live, un autre sur Twitter pour suivre les réactions en direct. Quelques échanges en messages privés avec une journaliste américaine basée à San Francisco et la frustration de ne pas être sur place. L'occasion de revenir aux fondamentaux de la Croi, l'actualité thérapeutique avec beaucoup d'études en cours sur les traitements VIH et la Prep. Covid-19 et VIH : pas de surrisque ?
Les personnes vivant avec le VIH sont-elles plus à risque de contracter une forme sévère de la Covid-19 et d'en décéder ? Jusqu'à présent, la réponse à cette question était contrastée avec des résultats d'études parfois contradictoires et surtout un manque de données. Par exemple, en décembre dernier, une étude observationnelle britannique à grande échelle (1) fondée sur les chiffres nationaux de mortalité liée à la Covid-19 relevés par
Covid-19 : mort aux brevets ?
Source : Seronet Le décalage flagrant et croissant dans l’accès à la vaccination contre la Covid-19 entre les pays riches et les autres a conduit de nombreux-ses intellectuels-les, scientifiques, responsables associatifs-ves à se mobiliser pour changer la donne. Ce changement que beaucoup jugent indispensable est l’objectif de l’Appel de Paris, lancé le 11 mars.
Les visages sont apparus à l’écran. En gros plan, laissant apercevoir en fond : des murs blancs, des décos neutres ou des étagères encombrées d’ouvrages. Et voilà une nouvelle conférence de presse en visio. Une de plus ? Certes. Une comme les autres ? Pas tout à fait, car celle-ci se déroule le 11 mars 2021. Une date qui marque le premier anniversaire de la déclaration de la pandémie de Covid-19 par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Pas tout à fait non plus… parce qu’on y présente l’Appel de Paris pour « la levée des brevets » et pour « faire des vaccins
Une année de Covid à haut risque pour les pathologies du foie.
Source : Le Quotidien du Médecin La situation des patients atteints de pathologies hépatiques (hépatite C, B ou NASH) a été fortement impactée par la pandémie de Covid-19. C'est le constat tiré par les hépatologues rassemblés virtuellement jusqu'au 10 mars à l'occasion de la 14e Conférence d'hépatologie de Paris.
« L'année qui vient de s'écouler a vu diminuer de moitié le nombre de nouveaux patients mis sous traitement contre l'hépatite C, passant de 10 000 à 5 000 », explique le Dr Pascal Mélin, hépatologue au centre hospitalier Geneviève de Gaulle Anthonioz de Saint-Dizier et président de SOS Hépatites. « Dans l'hépatite B, c'est le dépistage qui est en panne ainsi que le parcours de prise en charge, poursuit-il. Nos patients, qui doivent consulter tous les 6 mois, n'ont pas voulu venir de peur de se faire contaminer. On risque de se retrouver face à des catastrophes. »
Selon une
Une couverture disparate de la thérapie antirétrovirale parmi la population carcérale vivant avec le VIH.
Source : Onusida La population carcérale dans le monde s'élève à quelque 11 millions de personnes, quel que soit le jour de l'année. Dans les prisons du monde entier, des prisonnier-ères consomment des drogues injectables et ont des rapports sexuels. Le risque de violence sexuelle parmi cette population, ainsi que le manque d'accès aux préservatifs, aux lubrifiants, à la prophylaxie pré-exposition et aux services de réduction des risques, augmente le risque de contamination au VIH, à l'hépatite C et à d'autres infections sexuellement transmissibles.
Les consommateurs-rices de drogues injectables qui commencent leur incarcération voient leur risque d'infection au VIH augmenter de 81 % et celui de contamination à l'hépatite C de 62 %.
Les environnements fermés devraient, en théorie, facili
Encore quelques failles dans la prévention de la transmission materno-fœtale du VIH.
Source : JIM La mise en place de mesures de prévention de la transmission périnatale du VIH a conduit à une diminution spectaculaire des contaminations. Ces mesures comprennent le dépistage systématique prénatal, la généralisation du traitement antirétroviral (TAR) des femmes enceintes positives et la prophylaxie chez les nourrissons en fonction de la charge virale de la mère, la césarienne en cas de charge virale ARN VIH-1 élevée et le remplacement de l'alimentation au sein par une formule de lait artificiel.Selon les cas, les nouveau-nés sont classés en nourrissons à faible risque de contamination (mère suivie, traitée et < 50 copies/ml) ou à risque élevé si la mère n'a pas été traitée ou insuffisamment, n'a reçu un traitement antirétroviral qu'au moment de l'accouchement, a un taux détectable d'ARN viral en fin de gestation, a été contaminée pendant la grossesse. Pour les nouveau-nés à faible risque, la recomma
Maladies CardioVasculaires et VIH, la persistance d'un réservoir de virus concourt à la progression de l'athérome.
Source : JIM Parmi les patients infectés par le VIH a été notée, au cours de ces deux dernières décennies, un triplement de la prévalence des maladies cardio-vasculaires (MCV). Le risque d'infarctus du myocarde est ainsi multiplié par 2 dans cette population. L'inflammation liée au virus est un des facteurs majeurs de cette augmentation, les marqueurs inflammatoires et de la coagulation étant étroitement associés à la survenue des évènements pathologiques CV dans ce contexte. Pas la même athérosclérose que dans la population générale
Plusieurs éléments suggèrent que l'athérosclérose liée au VIH est distincte de celle rencontrée dans la population générale. L'inflammation locale artérielle est plus prononcée et on dénombre davantage de plaques non calcifiées. En pratique clinique, la mesure de l'épaississement intima-média (EIM) au niveau de la paroi carotidienne est un moyen direct d'apprécier les modifications pariétal
Coup d'envoi d'un nouvel essai vaccinal contre le VIH en France.
Source : Le Quotidien du Médecin L'Institut de recherche sur les vaccins (VRI) est à la recherche de 72 volontaires adultes sains pour mener une étude de phase 1 sur une stratégie de vaccination préventive de l'infection à VIH. La stratégie repose sur l'association de deux vaccins : l'un antigénique le CD-40.HIVRI.Env, et l'autre à ADN, le ADN-HIV-PT123.
Le composant CD-40.HIVRI.Env est la véritable nouveauté de cet essai. Il consiste en la fusion d'un antigène (la séquence GP140 de la protéine d'enveloppe C 96ZM651 Env) et d'un anticorps monoclonal humanisé IgC4 anti CD40. Les lots utilisés dans le cadre de l'essai ont été produits par les entreprises GTP Technology en France et Novasep en Belgique, mais la mise au point de ce vaccin d'un nouveau genre a été faite dans les laboratoires du VIR. « On cible le CD-40 car nous cherchons à présenter la protéine d'enveloppe du VIH spécifiquement aux cellules dendritiques »,
8 mars : girl power ! (Journée internationale des droits des femmes)
Source : SERONET Des citations, quelques données et infos, des femmes qui écrivent, qui s’expriment, qui s’affichent, qui bousculent les conventions, qui montent au front de la santé, contre les discriminations, pour le féminisme, pour que la société change. Petite sélection à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Bonnes découvertes ! 5 femmes contre la sérophobie
La parole des femmes vivant avec le VIH est (trop) rare. Saluons donc l’initiative du podcast Yesss, qui, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le VIH le 1er décembre dernier, a donné la parole à cinq femmes séropositives. Ces témoignages sont à découvrir dans l’épisode 29 intitulé Warriors contre la sérophobie. Ce podcast dédié aux « victoires de femmes ordinaires contre les injonctions et violences sexistes », consacre cet épisode spécial à la sérophobie, c’est-à-dire la peur à l’égard et/ou le rejet des personnes vivant
Les données médicales de près de 500.000 personnes en France ont fuité.
Source : 20 minutes Les données médicales de près de 500.000 personnes en France ont fuité sur Internet, ont révélé Libération et le blog spécialisé en cybersécurité, Zataz, ce mardi.
Le fichier comporte les données de 491.840 personnes (noms, adresse postale, téléphone, e-mail) et un numéro de Sécurité sociale. Ils sont parfois accompagnés d'indications sur le groupe sanguin, le médecin traitant ou la mutuelle, ou encore de commentaires sur l'état de santé (dont une éventuelle grossesse), des traitements médicamenteux, ou des pathologies (notamment le VIH). Des données provenant de laboratoires de biologie médicale.
Selon la rubrique de vérification Checknews du quotidien Libération qui a enquêté sur le sujet, les données proviendraient d'une trentaine de laboratoires de biologie médicale, situés pour l'essentiel dans le quart nord-ouest de la France, utilisant un même logiciel de saisie
Échec du candidat vaccin anti-VHC
Source : Univadis Le vaccin expérimental anti-VHC développé par GlaxoSmithKline et combinant un adénovirus défectif du chimpanzé pour la première dose puis un virus de la vaccine modifié pour la seconde a fait l’objet d’une étude de phase 1-2 publiée par le New England Journal of Medicine. Si ce schéma vaccinal est bien toléré et offre une réponse lymphocytaire T supérieure à celle observée sous placebo, il ne permet pas de prévenir l’infection à 6 mois par le VHC chez des sujets à haut risque d’infection.
Après de premières données cliniques encourageantes, la sécurité et l'efficacité d'un vaccin expérimental anti-VHC combinant deux vecteurs viraux ont été évaluées dans le cadre d'une étude de phase 1-2. Celle-ci a été menée aux États-Unis auprès de patient
