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Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, des programmes d’éducation thérapeutique (ETP) et différents outils d’information.

Objectifs :

En relation avec la responsable administrative et financière, le/la stagiaire participe à l’organisation de la vie associative et à sa bonne gestion. Au sein d’une équipe de 3 personnes, le/la stagiaire pourra participer, par ailleurs, à la gestion d’un projet porté par Actions Traitements.

Missions principales :
-Participe à la constitution de dossiers de subventions
-Participe aux opérations administratives et de gestion au quotidien
-Prend en charge la mise à jour des tableaux de reporting
-Suit les processus de dons et d’adhésions
-Organise les réunions d’instance (CA et AG) et en rédige les comptes-rendus (CA, AG, réunions d’équipe hebdomadaires)
-Participe à l’évaluation des projets et leur valorisation dans le rapport d’activités
-Réalise des présentations à destination des partenaires
-Réalise des recherches documentaires
-Prend en charge le courrier, l’accueil physique et téléphonique.

Formations & expériences :
-Formation supérieure en Licence, Master (1 ou 2) de management des associations
-Maîtrise des outils informatiques : Suite office (Excel, word et power point)
-Bon niveau rédactionnel impératif

Qualités :
Rigoureux(se), organisé(e), polyvalent(e), dynamique, autonome et ayant un intérêt pour la lutte contre le VIH/Sida.

Contrat : stage d’au moins 6 mois, éventuelle embauche en CDD de 8 mois (remplacement congé maternité) à partir d’aout 2016 en fonction des compétences acquises.

Indemnités : 554,40 €, tickets restaurant 8,90€ (pris en charge à 60 %), transports (pris en charge à 50 %), 2 jours de congés mensuels.

Disponibilité : à partir de mars/avril 2016.

Lieu : siège de l’association Actions Traitements, 190 Boulevard de Charonne, Paris 20ème.

Documents à envoyer : CV et lettre de motivation personnalisée pour l’offre, à l’attention de Léa Grigaut à l’adresse suivante : recrutement@actions-traitements.org

 

En attendant des thérapies capables d’éliminer définitivement le virus du sida (VIH), un nombre grandissant de malades se pose la question «d’alléger» leur traitement pour diminuer les effets secondaires, tout en maintenant sous contrôle l’infection.

Témoin de l’intérêt pour la question, l’organisation récente d’un colloque sur «l’allégement thérapeutique» par le groupement associatif TRT-5, spécialiste des questions thérapeutiques sur le sida.

«C’est une thématique qui suscite beaucoup de questions et de fantasmes chez des patients qui souffrent d’effets indésirables», explique à l’AFP Jean-Pierre Fournier coordinateur de TRT-5.

Un bon nombre des 150 000 porteurs du VIH en France prennent depuis plus de 20 ans des cocktails de médicaments antirétroviraux et s’interrogent sur leurs effets à long terme.

Mais alléger son traitement «n’est pas une mince affaire», prévient M. Fournier mettant en garde contre des «allègements sauvages» que les malades feraient «seuls dans leur coin».

Les antirétroviraux sont capables de museler efficacement le VIH, jusqu’à le rendre indétectable dans le sang, mais pas de l’éliminer totalement. L’arrêt du traitement se traduit inéluctablement par un «rebond» de l’infection.

Pour consulter l’intégralité de l’article, cliquez ici.

« L’Association française pour l’étude du foie s’engage pour l’éradication de l’hépatite C en France dans les 10 ans, dans ses nouvelles recommandations publiées. « La question, aujourd’hui n’est pas seulement de savoir avec quelle association traiter tel patient en fonction de l’avancée de sa maladie, explique le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général de l’AFEF, mais de savoir comment éradiquer l’hépatite C, puisque les molécules capables de traiter et de guérir l’ensemble des patients sont aujourd’hui disponibles. »

Dans ses recommandations, l’AFEF suggère de traiter tous les patients qui ont une fibrose modérée, sévère ou une cirrhose. En plus des indications adoptées il y a un an dans le rapport du Pr Daniel Dhumeaux, puis reprises par la Haute autorité de santé, la société savante estime également que le traitement doit être administré, quel que soit le degré de sévérité de la fibrose à tous les patients infectés par virus de l’hépatite C (VHC) de génotype 3, à tous les patients coïnfectés par le VIH ou le VHB, aux patients ayant une manifestation extra-hépatique significative ou avec une fatigue invalidante, ainsi qu’à tous les patients en attente de transplantation ou ayant reçu une transplantation. »

Pour lire l’intégralité de l’article, cliquez ici.

« Une étude confirme l’intérêt de démarrer le plus tôt possible une multithérapie après une contamination par le VIH. Plus ce délai est court, plus le réservoir viral est faible à court, à moyen et à long terme, ce qui engage un « meilleur pronostic pour le patient ». C’est ce qu’explique l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) dans un communiqué publié fin mars 2015.

Les médecins le disent et le répètent, plus un traitement antirétroviral contre l’infection par le VIH est précoce, plus il est bénéfique, rappelle l’Inserm (…) Les auteurs viennent de confirmer que plus la mise en œuvre du traitement est rapide après l’infection, y compris dans la fenêtre de trois mois suivant la primo-infection, plus le réservoir viral mesuré dans les CD4 est faible, à court, moyen et long terme.

« La multithérapie antirétrovirale empêche efficacement la réplication du virus, mais elle ne permet pas de déloger le virus des cellules hôtes du système immunitaire. En effet, le VIH persiste dans l’organisme, intégré dans l’ADN de certaines cellules. Il peut se maintenir ainsi sous forme latente pendant des années, notamment dans les lymphocytes T CD4, puis se remettre à proliférer, par exemple lors d’une interruption de traitement », rappelle le docteur Laurence Meyer, co-auteure de ces travaux, dans le communiqué de l’Inserm. Et la chercheuse de préciser : ‘La taille de ce réservoir viral est corrélée au risque de complications et au pronostic de la maladie : il est donc important de la réduire au minimum’. »

L’intégralité de l’article est disponible sur Seronet.

Depuis mai 2014 Actions Traitements vous propose des vidéos chapitrées de ses dernières Réunions Qualité de Vie.

Chacune de ces captations, à destination de toutes les personnes qui ne peuvent se rendre à nos réunions, constituent autant de supports d’information, pédagogiques et interactifs. Accessibles aisément et à tout moment, ces vidéos condensent, en les séquençant, tous les contenus pratiques développés lors de nos réunions par nos intervenants experts (professionnels de santé et associatifs, principalement).

Notre dernière vidéo chapitrée publiée a pour thème « Les bilans biologiques, un allié pour sa santé ». Issue de notre réunion organisée le 19 mai 2015 avec le Dr Nesrine Day, biologiste et directrice générale des laboratoires du Chemin Vert, et le Dr Laurent Roudière, médecin spécialiste du VIH, cette vidéo vous permettra de mieux comprendre l’intérêt des bilans biologiques, souvent sources d’angoisse pour les personnes vivant avec le VIH, et de vous donner quelques repères pour ouvrir le dialogue avec votre médecin. Pour la visualiser, cliquez ici.

Pour information, 4 autres vidéos chapitrées sont accessibles sur notre site Actions Traitements, à partir du lien suivant : www.actions-traitements.org/videos

Prendre des antirétroviraux dès le diagnostic d’une infection par le virus du sida (VIH) réduit fortement le risque de mortalité et d’autres complications, ont démontré mercredi les résultats d’un vaste essai clinique international.

Cette étude appelée START (Strategic Timing of Antiretroviral Treatment) a été arrêtée un an plus tôt que prévu parce que les données préliminaires montraient que ceux traités sans attendre avaient 53% moins de risques de décéder ou de développer des maladies liées à l’infection, comparativement à un groupe témoin qui avait commencé le traitement plus tard, quand le système immunitaire s’affaiblissait.

Ces données combinées à celles d’études précédentes montrant que les antirétroviraux réduisent nettement le risque de transmission du VIH à des partenaires sexuels sains, plaident pour offrir ce traitement à tous ceux qui sont infectés, selon les chercheurs.

L’étude START est la première aussi étendue à démontrer qu’un traitement antirétroviral dès le début de l’infection est bon pour toutes les personnes séropositives, soulignent-ils.

«Nous avons désormais la preuve irréfutable d’un gain beaucoup plus grand pour la santé d’une personne infectée par le VIH de commencer une thérapie antirétrovirale plus tôt que plus tard», a déclaré le directeur de l’Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci.

La suite de l’article est disponible ici.

Le Kiosque Infos Sida et Toxicomanie souhaitent lancer une application mobile pour la santé gay et pour vous accompagner dans vos démarches de dépistages et vaccinations.

Pour les aider dans son élaboration, prenez deux minutes pour remplir ce rapide questionnaire, ils ont besoin de votre avis.

Le document est à remplir ici.

La Société française de pharmacie clinique vient de mettre à jour sa liste nationale sur les médicaments per os concernant l’écrasement des comprimés et l’ouverture des gélules.

Cette liste est issue d’une collaboration entre l’Observatoire du Médicament, des Dispositifs médicaux et de l’Innovation Thérapeutique (OMéDIT) de Haute-Normandie et la Société française de pharmacie clinique (Groupe Gériatrie). Elle regroupe les données des résumés des caractéristiques du produit (RCP) et des documents transmis par les laboratoires. Elle est mise à jour annuellement.

Les risques peuvent être une toxicité locale pour le manipulateur, une modification de l’absorption pouvant entrainer un sous ou un sur dosage, ou encore une perte d’effet du médicament.

Par exemple, « il est possible d’ouvrir les gélules de Mopral et de mélanger les microgranules dans un verre d’eau (rincer et boire l’eau de rinçage) ou avec un aliment acide (jus de fruit, compote de pomme). En revanche, les microgranules ne doivent pas être croqués, ni écrasés » cite Anne Drouadaine sur le moniteurdespharmacies.fr.

ABX 464 est une nouvelle molécule anti-VIH à action spécifique et unique sur la protéine Rev (p19) mise au point par l’équipe du Dr Jamal Tazi (CNRS, Université de Montpellier, Société Abivax). Contrairement aux thérapies actuelles qui interfèrent avec les premières étapes de l’infection, ce traitement agit après que les cellules de l’hôte aient intégré l’ADN viral et bloque sa multiplication. Les détails des études préliminaires sont rapportés dans Retrovirology [1]. Medscape France a interrogé le Dr Tazi sur le traitement en développement dans la lutte contre le VIH.

Dr Jamal Tazi – L’infection par le VIH suit quatre étapes bien définies :

– Le virus s’attache d’abord à la cellule du système immunitaire puis délivre son matériel génétique (ARN) à l’intérieur de ces cellules.

– Le matériel génétique du virus ARN est transformé en ADN.

– L’ADN viral pénètre dans le noyau puis s’intègre à l’ADN de la cellule

– L’ADN viral fabrique de l’ARN viral. Pour cela, la protéine Rev est nécessaire car c’est elle qui permet à l’ARN de sortir du noyau et ainsi de fabriquer de nouveaux virus.

Les thérapies actuelles interfèrent toutes, à des moments différents selon les molécules, avec les trois première étapes de l’infection. En d’autres termes, les thérapies actuelles empêchent la ré-infection de nouvelles cellules du système immunitaire mais ne bloquent pas la production de virus à partir des cellules qui ont déjà intégrées l’ADN viral.

Pourtant, ces cellules qui ont le virus intégré représentent des réservoirs pour la production de nouveaux virus. C’est pour cette raison que nous avons choisi de travailler sur l’étape centrale et non périphérique de l’infection.

La totalité de l’interview du Dr Jamal Tazi est disponible ici.

2 minutes de votre temps pour une information capitale !

Aujourd’hui, le cancer du foie est l’un des cancers ayant la mortalité la plus élevée. La lutte contre le cancer associé aux hépatites virales est l’un des objectifs du nouveau plan cancer 2014-2019.

Le Collectif Hépatites Virales (groupe inter associatif de lutte contre les hépatites virales, existant depuis décembre 2000 et rassemblant à ce jour dix associations) a souhaité investir ses connaissances et promouvoir de bonnes pratiques quant au dépistage du Carcinome Hépatocellulaire (CHC) en se faisant le relais du rapport de recommandations 2014 sur la Prise en charge des personnes infectées par les virus de l’hépatites B ou de l’hépatite C.

Ce projet a pour but de vous informer de l’utilité de ce dépistage souvent trop espacé par rapport aux recommandations officielles, ce qui aboutit à des découvertes de CHC tardive, et complique considérablement la prise en charge (traitements moins efficaces, greffes, décès).

Un CHC dépisté très tôt peut être guéri dans une majorité de cas.

Afin de connaître votre prise en charge pour se positionner en relais auprès des professionnels de santé mais aussi pour vous permettre de savoir si vous êtes bien suivi, le CHV vous propose de répondre à ce petit questionnaire ici.

Merci de votre participation.