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Source : Univadis

A compter du 1er juillet, les professionnels de santé pourront proposer le tiers-payant aux patients pris en charge à 100% par l’assurance-maladie, femmes enceintes et patients en affection de longue durée (ALD), en plus des bénéficiaires de la CMU-C et de l’aide à la complémentaire santé (ACS). La dispense d’avance de frais deviendra une obligation au 31 décembre 2016, et au 30 novembre 2017 pour l’ensemble des patients, rappelle Le Quotidien du Médecin, qui interviewe Nicolas Revel, directeur général de l’assurance-maladie.

Une plateforme d’accompagnement sera disponible dès le 4 juillet pour répondre aux questions et réclamations des praticiens, par téléphone au 0811505050 et par mail à l’adresse cesi-medecins@cnamts.fr.

Une pénalité d’1 € sera versée au médecin en cas de retard de règlement de plus de sept jours ouvrés, assortie d’une majoration correspondant à 10% du montant de l’acte au-delà de neuf jours ouvrés, détaille Le Quotidien.

Autres changements intervenant au 1er juillet: la gratuité et l’anonymat de l’ensemble du processus médical pour la contraception des mineures de plus de 15 ans et l’entrée en vigueur des six derniers facteurs de pénibilité (postures pénibles, manutention manuelle de charges, exposition à des agents chimiques, vibrations mécaniques, températures extrêmes et bruit) dans le cadre du compte pénibilité, indique Le Généraliste.

Source : Univadis

À retenir
• L’infection chronique par le virus de l’hépatite C (VHC) est liée à un risque de lymphome non hodgkinien (LNH) 3,5 fois plus élevé. Un lien avec le VHB a aussi été observé, en particulier pour certains sous-types de LNH.

Conception de l’étude
• Une étude cas-témoins italienne menée dans 3 hôpitaux auprès de 571 patients atteints de LNH incident confirmé par examen histologique et 1 004 patients témoins non atteints de cancer appariés selon la fréquence par centre, sexe et âge.

Principaux résultats
• L’ARN du VHC circulant a été décelé chez 11,1 % des patients atteints de LNH, comparativement à 3,5 % des patients témoins, et a été lié à un risque de LNH 3,5 fois plus élevé (RC : 3,51 ; IC à 95 % : 2,25-5,47).
• Les sous-types de LNH associés comprenaient le lymphome malin diffus à grandes cellules B (LMDGCB ; RC : 4,08 ; IC à 95 % : 2,46-6,76), le lymphome de la zone marginale (RC : 8,62 ; IC à 95 % : 3,43-21,69), le lymphome lymphoblastique (RC : 8,43 ; IC à 95 % : 2,26-31,52) et le lymphome lymphocytaire à petites cellules/la leucémie lymphoïde chronique (RC : 7,96 ; IC à 95 % : 2,95-21,48).
• Une infection chronique par le VHB (positive pour l’antigène de surface du VHB) a été décelée chez 3,7 % des patients, comparativement à 1,7 % des patients témoins (RC : 1,95 ; IC à 95 % : 1,00-3,81), avec un risque plus de deux fois plus élevé de LNH à cellules B (RC : 2,11 ; IC à 95 % : 1,07-4,15) et de LMDGCB en particulier (RC : 2,69 ; IC à 95 % : 1,30-5,59).
• Le risque de LNH n’était pas accru chez les patients ayant des signes sérologiques d’infection antérieure par le VHC ou le virus de l’hépatite B (VHB), de vaccination contre le VHB ou des anticorps anti-antigène capsidique du VHB décelables.

Limites de l’étude
• Biais de sélection potentiel ; puissance limitée pour les sous-types de LNH ; la prévalence du VHC pourrait être sous-estimée.

Pourquoi est-ce important ?
• Les résultats de cette importante étude cas-témoins confirment le lien entre l’infection par le VHC et le LNH et soulignent le rôle favorable potentiel du traitement.
• L’infection par le VHB pourrait aussi jouer un rôle dans l’étiologie du LNH.

Source : Corevih Ile-De-France Nord

Neurotrope, le virus VIH est retrouvé dès la primo-infection au sein du Système Nerveux Central (SNC). Malgré l’obtention d’une charge virale plasmatique indétectable, la diffusion des antirétroviraux (ARV) à travers la barrière hémato-encéphalique est inégale selon les traitements, et peut ainsi expliquer la persistance d’une réplication dans le compartiment cérébral chez certains patients. Cette infection persistante, ainsi que les conséquences cérébrales des comorbidités liées à l’âge, sont les explications des troubles cognitifs chez les personnes vivant avec le VIH (Rapport Morlat 2013, 158-162). Avec la survie prolongée des patients, des études estiment que 30 à 50% des patients de plus de 50 ans présentent des troubles cognitifs (Cohen et al, Alz Res Ther 2015 ; Valcour et al, Top Antivir Med 2013).

Les comorbidités à l’origine de troubles cognitifs chez les patients VIH sont surtout la maladie vasculaire et ses facteurs favorisants: diabète, dyslipidémies, syndrome métabolique, HTA, apnée du sommeil, tabagisme ; les autres facteurs de risque sont une charge VIH non contrôlée (échappement ou mauvaise observance), un antécédent de traumatisme crânien ou d’infection opportuniste cérébrale, un antécédent de lymphocytes CD4 <200/mm3, une co-infection par l’hépatite C, une neurosyphilis, ou bien la prise de produits qui diminuent les performances (benzodiazépines, alcool, drogues,…), une hypothyroïdie ou une carence en vitamine B.

Mais doit-on s’inquiéter des troubles cognitifs lorsqu’ils sont évidents ou bien minimes ? Evidents, le patient n’est peut-être plus capable d’être autonome pour certains actes de vie quotidienne, et il sera bien compliqué d’améliorer ne serait-ce que son observance par exemple. Minimes en apparence, les explorations proposées font parfois découvrir des anomalies plus significatives qu’au prime abord.

Qui dépister ? Les patients qui se plaignent de troubles cognitifs, ceux avec facteurs de risque, les plus de 50 ans, ainsi que les personnes infectées depuis plus de 15 ans. Quels tests utiliser pour dépister ? Les plus simples d’utilisation sont la BREF, le HIV Dementia Scale modifié, et le MOCA. Sous forme d’auto-questionnaires seront renseignés la plainte cognitive, les activités de la vie quotidienne, une dépression. Certains patients expriment une plainte mais répondent correctement aux tests, il ne s’agissait que d’une crainte ; d’autres ont des résultats inverses car non conscients de leurs troubles, ils doivent être explorés. Enfin, plus les scores de dépression sont importants, plus les tests neuropsychologiques seront ininterprétables, il faut les différer : la prise en charge de la dépression est alors la priorité. Lorsqu’un patient a une dépression minime avec des tests de dépistage en anomalie, des explorations spécialisées sont proposées : IRM cérébrale, batterie de tests évaluant au moins 5 domaines cognitifs, exploration du liquide céphalo-rachidien (LCR). L’IRM et l’exploration du LCR permettent d’éliminer d’autres diagnostics que le VIH. L’exploration neuropsychologique va permettre de classifier les troubles du patient selon leur intensité (Antinori et al, Neurology 2007): Déficit Cognitif Asymptomatique, Trouble Cognitif Mineur ou Démence Associée au VIH. Pour contrôler l’évolution d’un patient et éviter un phénomène d’apprentissage, il faut mettre un an de distance entre 2 mêmes batteries.

Quelles prises en charge proposer au patient avec troubles cognitifs ? Il faut avant tout contrôler le VIH dans le sang, et si le virus est présent dans le LCR adapter le traitement; si besoin traiter les autres causes de trouble cognitif : syphilis, hépatite C, hypothyroïdie, carence en B12, éliminer le plus possible les toxiques, dépister et traiter une apnée du sommeil ; diminuer les risques vasculaires : favoriser l’arrêt du tabac, traiter HTA et diabète, recommander une activité physique, limiter le sel le sucre et les graisses ; les thérapies cognitives des orthophonistes ou neuropsychologues peuvent aussi améliorer les performances.

Quels traitements antirétroviraux privilégier en présence de troubles cognitifs? Les recommandations européennes privilégient les ARV dont la diffusion vers le LCR est meilleure, mais peu de molécules ont prouvé une efficacité clinique. J’ai présenté une étude d’intensification au congrès CROI à Boston en Février 2016 chez 31 patients sous traitement ARV efficace avec troubles cognitifs confirmés: un changement des traitements pour une combinaison diffusant mieux vers le LCR a entraîné une amélioration significative des troubles cognitifs. De même, l’étude INMIND aux USA tente de valider qu’un renfort thérapeutique pourrait améliorer les troubles cognitifs. Ainsi, la tendance est aujourd’hui de traiter avec les ARV diffusant le mieux vers le LCR.

Quels liens entre troubles cognitifs et marqueurs biologiques ? Le VIH reste présent au niveau du SNC au sein de macrophages, avec élévation de marqueurs associés non dosés en routine. Le marqueur le plus étudié aujourd’hui est NFL (Neurofilament Light Chain), un marqueur de destruction des neurones, il est corrélé aux troubles cognitifs (Gisslen et al, eBiomedicine 2016). D’autres marqueurs plus courants sont associés au déclin cognitif, l’élévation du cholestérol et de sa fraction LDL, la diminution du HDL-cholestérol, attestant que la maladie vasculaire fait partie du tableau de l’encéphalopathie associée au VIH.

Ainsi en 2016, les patients infectés par le VIH ont une survie très prolongée avec des traitements toujours mieux tolérés et plus faciles à suivre, mais il ne faudrait pas que cette qualité de vie soit grevée par des troubles cognitifs passés inaperçus ou négligés. Les dépister aujourd’hui, c’est améliorer nos connaissances sur la physiopathologie de cette encéphalopathie, c’est donner la possibilité à nos patients de continuer à vivre toujours plus longtemps avec le minimum de gêne cognitive. Ces démarches cliniques sont d’autant plus importantes que des progrès significatifs sont effectués en neurobiologie.

Docteur Gilles FORCE, Médecine Interne
IHFB, 4 rue Kléber, 92300 LEVALLOIS-PERRET

À Bordeaux, la proportion de patients infectés par le VIH bénéficiant d’une bithérapie antirétrovirale d’allègement (de maintenance) est à l’heure actuelle de l’ordre de 10%. Ce pourcentage est amené à évoluer rapidement et dépend de plusieurs paramètres, notamment de l’âge du malade et de l’historique de la maladie…

Quelles bithérapies antirétrovirales sont aujourd’hui préconisées ?

Cette vidéo a pour objectif de fournir des informations sur l’état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités de santé françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Le contenu est sous la seule responsabilité des experts et du directeur des programmes, qui sont garants de son objectivité.

Paris, le 16 juin 2016 – Le 9 juin dernier se tenait le Candle Light Day*. À cette occasion, les voix de nombreuses associations de lutte contre le VIH se sont élevées contre l’interdiction des soins de conservation post-mortem faites aux personnes vivant avec le VIH (PVVIH).

Actions Traitements a déjà eu, à de nombreuses reprises, l’occasion de s’exprimer publiquement contre cette discrimination patente, comme sur bien d’autres (cf. notre dossier de presse), que rien ne justifie.

Dès janvier dernier, à l’occasion des 20 ans des trithérapies, nous avons saisi, par courrier, une centaine de personnalités politiques sur ce sujet, parmi lesquelles plusieurs ministres et de nombreux députés. Les résultats sont encourageants : une question écrite a ainsi été déposée par le vice-président du groupe d’étude sur le Sida à l’Assemblée et d’autres rencontres avec des députés sont, d’ores et déjà, en perspective.

Aujourd’hui, Actions Traitements souhaite aller plus loin et envoyer un message fort à destination des pouvoirs publics. Nous lançons ainsi, ce jour, une pétition contre les discriminations faites au personnes vivant avec le VIH (PVVIH).

Force est, en effet, de constater que les PVVIH subissent encore, faute à la législation française en vigueur, de trop nombreuses discriminations :
L’interdiction, déjà citée, des soins funéraires pour les PVVIH malgré les avis favorables du Haut Conseil à la santé publique, du Conseil national du Sida (CNS) et du Défenseur des droits. Ces derniers ont pour but de préserver l’aspect du défunt et de retarder la dégradation du corps.
• Mais également, le refus du droit à l’oubli, qui permet à certains malades en rémission (atteints par des cancers ou l’hépatite C notamment) d’avoir accès aux assurances et prêts sans surprime.

Pour donner plus de force à nos revendications lors de nos futurs rendez-vous avec les élus, nous invitons toutes les personnes qui le souhaitent à venir signer notre pétition à l’adresse suivante : www.change.org

À propos d’Actions Traitements

Actions Traitements est une association de patients créée en 1991 à l’initiative de personnes vivant avec le VIH. Rassemblant aujourd’hui des patients et des personnes concernées par le VIH et les hépatites, elle vulgarise l’information médicale sur le VIH/sida et les hépatites, soutient et accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. Actions Traitements est membre du TRT-5, groupe interassociatif rassemblant 9 associations de lutte contre le sida, du Collectif hépatites virales (CHV) et de l’Alliance.

Contact presse : Nicolas Gateau, ngateau@actions-traitements.org, 01.43.67.20.60

Pour télécharger le communiqué de presse en pdf, cliquez sur le lien : communiqué de presse

*Créé en 1983 le Candle Light Day est la journée du mémorial international contre le sida. A cette occasion, toutes les associations de lutte contre le sida, les malades et leur famille, ainsi que les chercheurs, sont invités à se réunir en mémoire des personnes vivant avec le VIH et celles disparues.

 

Source : Sciences et avenir 

La prescription du Truvada, traitement préventif contre le VIH, a été étendue aux centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic par la ministre de la Santé Marisol Touraine.

PRÉVENTION. Le Truvada, traitement permettant de prévenir l’infection par le VIH, pourra désormais être prescrit en dehors des centres hospitaliers. Dans un arrêté paru le vendredi 10 juin 2016 au Journal Officiel, la ministre de la Santé Marisol Touraine a autorisé la prescription de Truvada dans les centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD) par les médecins expérimentés dans la prise en charge du sida. Bénéficiant d’une recommandation temporaire d’utilisation en France depuis décembre 2015, le Truvada est destiné aux personnes non infectées par le Sida, mais présentant des comportements « à haut risque ». Cette combinaison d’antirétroviraux a prouvé son efficacité comme stratégie  préventive appelée « prophylaxie pré-exposition » (PrEP). Plusieurs essais cliniques ont été conduits, dont un en France, l’essai Ipergay, qui a montré que le Truvada réduisait de 86 % les risques de contamination lors d’une exposition au VIH.

Paris, le 14 juin 2016 – Suite à l’annonce faite par la ministre de la Santé, le 25 mai dernier à l’occasion de la Journée nationale de lutte contre les hépatites virales, un arrêté paru le 11 juin au Journal officiel vient confirmer les espoirs des patients atteints par l’hépatite C (VHC) : l’accès aux nouveaux traitements antiviraux à action directe (AAD) sera bien étendu.

Alors que ces traitements étaient jusqu’ici réservés au cas les plus graves, co-infectés et/ou présentant un stade avancé de fibrose (F3-F4 notamment), ces derniers seront donc désormais disponibles aux patients moins gravement touchés.

Sont ainsi concerné plusieurs nouveaux « profils » :

• Les patients de stade moins avancé (F2),
• Les patients en attente de transplantation hépatique
• Les patients en hémodialyse,
• Les patients à risque élevé de transmission du virus – comme les usagers de drogue injectable.

Après trois longues semaines d’attente – contre les quelques jours annoncés par la ministre -, la publication de cet arrêté est une bonne nouvelle pour les hépatants concernés et pour Actions Traitements qui s’est positionnée, à de nombreuses reprises, pour que les AAD soient dispensés à tous les patients.

Si Actions Traitements se réjouit aujourd’hui, nous tenons néanmoins à rappeler à la ministre qu’il ne s’agit que d’une première étape. Comme elle s’y est engagé dans son discours du 25 mai dernier, il s’agit d’aller plus loin et d’assurer finalement un « accès universel », après avis obligatoire de la Haute autorité de Santé (HAS) en septembre, à tous les patients atteints, quel que soit leur état de fibrose.

Rendez-vous est donc pris en septembre.

À propos d’Actions Traitements
Actions Traitements est une association de patients créée en 1991 à l’initiative de personnes vivant avec le VIH. Rassemblant aujourd’hui des patients et des personnes concernées par le VIH et les hépatites, elle vulgarise l’information médicale sur le VIH/sida et les hépatites, soutient et accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. Actions Traitements est membre du TRT-5, groupe interassociatif rassemblant 9 associations de lutte contre le sida, du Collectif hépatites virales (CHV) et de l’Alliance.

Contact presse : Nicolas Gateau, ngateau@actions-traitements.org, 01.43.67.20.60

Pour télécharger le communiqué de presse en pdf, cliquez sur le lien : Communiqué de presse

 

OFFRE D’EMPLOI – REMPLACEMENT CONGÉ
Responsable administratif(ve) et financier(e)

Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, des programmes d’éducation thérapeutique (ETP) et différents outils d’information.

Objectifs :
En remplacement de la Responsable institutionnelle et financière pour 8 mois, le salarié assure la gestion administrative et financière de l’association et participe à l’organisation de la vie associative.

Missions budgétaires / comptables / RH :

Suivi et mise à jour du budget et de la trésorerie de l’association,
Contrôle des contrats et des factures en vue des paiements,
Organise et contrôle les opérations de paie et de comptabilité avec le prestataire,
Rédige le rapport financier
Prépare la clôture des comptes et l’intervention du commissaire aux comptes,
Réalise les recrutements de stagiaires et des volontaires en Service Civique.

Missions financements et subvention :

Rencontre des financeurs privés et publics en binôme avec le responsable du développement,
Rédige les demandes de subvention, les appels d’offres ainsi que les comptes-rendus d’activité et financiers sous la supervision du responsable du développement.

Missions institutionnelles :

Organise les réunions d’équipe, avec le bureau et les conseils d’administration,
Assure la rédaction des comptes-rendus et des procès verbaux en cas d’absence de stagiaire administratif,
Prépare les éléments de reporting,
Est plus généralement l’interlocuteur privilégié des membres du conseil d’administration.

Profil :

Vous avez une formation de niveau Bac + 3 à 5,
Vous avez obligatoirement exercé les fonctions de Responsable Administratif et Financier dans une petite association,
Vous êtes familier avec les obligations de reporting des bailleurs de fonds,
Vous avez une approche opérationnelle de votre activité,
Vous êtes reconnu(e) pour votre rigueur et votre sens de l’organisation ainsi que votre autonomie,
Votre expression (écrite et orale) est irréprochable et vous maitrisez parfaitement Excel.

Contrat : CDD de 8 mois à partir du 11 juillet 2016.

Salaire et avantages : 25k € à 28k € /an en fonction de l’expérience, tickets restaurant 8,90 € (pris en charge à 60 %), transports (pris en charge à 50 %), mutuelle (pris en charge à 75 %), 4 RTT/an, chèques cadeaux en fin d’année.

Lieu : siège de l’association Actions Traitements, 23 rue Duris, Paris 20ème.

Documents à envoyer : CV et lettre de motivation personnalisée pour l’offre, à l’attention de Léa Grigaut à l’adresse suivante : recrutement@actions-traitements.org

Les Films de Pierre et Robin Campillo recherchent des figurants pour le long métrage «  120 battements par minutes ».

Le film raconte le combat d’Act Up au début des années 90, alors que l’épidémie fait rage. Un groupe de personnage à la fois joyeux et désespérés est suivi lors des réunions, des actions « zap », des rencontres avec les laboratoires pharmaceutiques ou les pouvoirs publics, ainsi que dans leur intimité, leurs amours, leur santé…

De nombreux figurants, hommes, entre 18 et 35 ans, de préférence concernés par le sujet, sont recherchés. Ils interpréteront des militants d’Act Up, des homosexuels séropositifs ou non, ou encore des malades…

Pour postuler, envoyez 2 photos (portrait et photo en pied) et coordonnés à l’adresse mail:  casting120bpm@gmail.com .

La production contactera la plupart des candidats pour une journée de casting sera organisée autour du 21/22 juin, afin de mieux présenter le projet, d’expliquer le travail du figurant et de répondre aux éventuelles questions.