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Santé discrimination

Source : ONUSIDA

Déclaration à la presse

À l’occasion du 10e anniversaire de la Journée zéro discrimination, l’ONUSIDA lance un appel en faveur de la protection de nos droits humains en tant que moyen de protéger notre santé

GENÈVE, 27 février 2024 — La Journée zéro discrimination a été instituée par l’ONUSIDA il y a dix ans pour faire progresser l’égalité et la justice pour tout le monde, indépendamment du sexe, de l’âge, de la sexualité, de l’appartenance ethnique ou du statut sérologique. Cependant, les progrès sont en péril.

Les attaques contre les droits des femmes et des filles, des personnes LGBTQ+ et d’autres communautés marginalisées sont en augmentation. Et lorsque les lois, les politiques, les pratiques ou les normes consacrent la punition, la discrimination ou la stigmatisation des personnes parce qu’elles sont des femmes, des personnes LGBTQ+, des migrants, des travailleur/ses du sexe ou des consommateurs/trices de drogues, les résultats se traduisent par une santé publique défaillante, car ces communautés sont écartées des services sociaux et de santé vitaux.

« Les atteintes aux droits constituent une menace pour la liberté et la démocratie et sont préjudiciables à la santé. La stigmatisation et la discrimination font obstacle à la prévention, au dépistage, au traitement et à la prise en charge du VIH, et freinent les progrès vers l’éradication du sida d’ici à 2030 », a déclaré Winnie Byanyima, directrice exécutive de l’ONUSIDA. « Ce n’est qu’en protégeant les droits de chacun que nous pourrons protéger la santé de tous. »

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IST Jeux Olympiques

Source : BFMTV.

Des spécialistes craignent une explosion des infections sexuellement transmissibles durant les Jeux olympiques et paralympiques organisés à Paris entre juillet et septembre 2024. – BFMTV

Durant les Jeux olympiques et paralympiques, programmés respectivement du 26 juillet au 11 août et du 28 août au 8 septembre 2024, 16 millions de touristes sont attendus dans les rues de la capitale. Le risque d’une diffusion importante d’infections sexuellement transmissibles pèse sur la fête.

Chlamydia, gonorrhée, syphilis… Des invitées indésirables pourraient perturber la fête des Jeux olympiques de Paris 2024, qui doivent s’ouvrir dans cinq mois jour pour jour, le 26 juillet. Ces infections sexuellement transmissibles (IST) se propagent à l’occasion de rapports sexuels non-protégés. Des rapprochements statistiquement plus fréquents lors de grands rassemblements: concerts, festivals ou… JO.

En 2021, en amont des Jeux de Tokyo, les autorités sanitaires japonaises s’étaient inquiétées d’une forte diffusion des IST dont la circulation n’avait « pas diminué par rapport à avant le début de la pandémie ». « Il existe des risques d’importation et de propagation » du VIH, même s’il est « probable que les cas ne soient détectés qu’après » les JO, notaient-elles.

Une autre étude réalisée après les JO de Sydney en 2000 avait mis en lumière ce phénomène. « La proportion de personnes présentant des symptômes ou un contact connu avec une infection sexuellement transmissible (IST) était plus élevée pendant les Jeux », une hausse de l’ordre de 29%.

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