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Brèves
Contre le sida, la lutte continue.
Source : CNRS Le Journal Il y a tout juste 40 ans, une revue américaine faisait état d'une nouvelle forme de pneumonie touchant cinq patients : il s'agit en fait de la première évocation du sida. Rappel des faits dans cette chronique de Denis Guthleben, historien des sciences au CNRS.
5 juin 1981. La revue américaine Morbidity and Mortality Weekly Report publie une note révélant que cinq malades ont été admis depuis octobre 1980 dans trois hôpitaux de Los Angeles, et traités pour une forme de pneumonie qui n’apparaît que lorsque le système immunitaire est très affaibli. Or ces malades, dont deux sont déjà décédés, sont tous de jeunes hommes qui ne se connaissaient pas et étaient en parfaite santé jusqu’à l’apparition des premiers symptômes… SIDA, Sida, sida Difficile de ne pas être saisi aux tripes en lisant cette note, « Pneumocystis Pneumonia – Los Angeles », à quarante anLe vaccin anti-COVID-19 d’AstraZeneca stimule l’immunité face au SRAS-CoV-2 chez les personnes séropositives.
Source : Catie On a mené de grands essais cliniques pivots sur les vaccins contre la COVID-19 auprès de dizaines de milliers de personnes séronégatives. Nous disposons cependant de peu de données sur l'effet de ces vaccins chez les personnes vivant avec le VIH.
En Angleterre, des équipes de recherche de Londres et de l'Université Oxford ont collaboré à une étude portant sur 54 adultes séropositifs qui avaient reçu deux doses du vaccin d'AstraZeneca contre la COVID-19.
Avant de s'inscrire à l'étude, toutes les personnes suivaient un traitement du VIH (TAR) et avaient une quantité indétectable de ce virus dans leur sang (charge virale), ainsi qu'un compte de cellules CD4+ relativement élevé. Le suivi a duré presque deux mois. À des fins de comparaison, les équipes ont analysé des données se rapportant à 50 adultes séronégatifs qui avaient également reçu le vaccin d'AstraZeneca.
Chem sex : drogues et sexe, des liaisons dangereuses.
Source : Doctissimo
Prendre des psychotropes pour performer et décupler ses sensations pendant un rapport sexuel est une pratique "vieille comme le monde". Mais l'arrivée des drogues de synthèse et leur facilité d'accès ont changé la donne. Addiction, coma, mise en danger de soi ou d'autrui, abus sexuels, dégâts psychologiques... Ce qui n'était qu'un jeu devient un enfer.Christophe Michel avait 31 ans lorsqu'il est décédé. Au matin du 29 mai 2018, son mari, Jean-Luc Romero Michel, adjoint à la mairie de Paris chargé des droits humains, de l'intégration et de la lutte contre les discriminations, se réveille en retard, n'a pas le temps de regarder son téléphone et fonce à une conférence sur le Sida qu'il doitPortrait des infections sexuellement transmissibles et par le sang (IST) au Québec
Source : INSPQ Le présent portrait s’inscrit dans le cadre du Programme national de santé publique. Ce document s’adresse aux professionnels de la santé, aux associations, aux intervenants, aux groupes communautaires et aux individus engagés, de près ou de loin, dans la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS). Il vise à fournir de l’information et une réflexion sur l’émergence, l’ampleur ainsi que la progression de ces infections et de leurs déterminants afin d’orienter les interventions et la planification des ressources nécessaires en matière de lutte contre les ITSS.
Ce portrait fait état de la situation épidémiologique de l’infection à Chlamydia trachomatis, de l’infection gonococcique, de la syphilis, de la lymphogranulomatose vénérienne, de l’hépatite B, de l’hépatite C et de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).
Ces infectio
Sida : quarante ans après sa découverte, où en est l'épidémie en France ?
Source : Pourquoi Docteur L'année 2020 a été marquée par une diminution des dépistages du VIH, et les derniers chiffres disponibles montrent que de nombreux cas sont encore découverts à des stades avancés.
y a quarante ans jour pour jour, le centre américain de surveillance et de prévention des maladies (CDC) signalait cinq cas graves d’une pneumonie, appelée pneumocystose, chez de jeunes homosexuels californiens. L’article scientifique indiquait que les cas semblent liés à une maladie transmise par voie sexuelle. Le VIH sera identifié pour la première fois en janvier 1983, par des chercheurs de l’Institut Pasteur à Paris. Depuis, la prévention et les traitements se sont améliorés, mais de nouvelles personnes sont contaminées chaque année. Quel est le profil des personnes séropositives ?
En 2018, 6 200 personnes ont découvert leur séropositivité en France, soit une baisse de 7% par rappo
Sida : comment a évolué la prise en charge des patients en 40 ans ?
Source : RTL Il y a 40 ans paraissait le premier article décrivant les symptômes du Sida. Depuis, la prise en charge de la maladie a beaucoup évolué, mais des progrès restent à faire.
C'était il y a pile quarante ans. Le 5 juin 1981 est publié le premier article scientifique décrivant la maladie du Sida. Dans le Morbidity and Mortality Weekly Report (MMWR), des médecins s'interrogent sur le cas de cinq jeunes californiens homosexuels présentant une pneumocystose, maladie touchant des patients immunodéprimés, alors qu'ils semblaient en bonne santé. Au moment de la publication, deux de ces jeunes sont décédés. L'éditorial qui accompagne l'article suggère un "dysfonctionnement des cellules immunitaires" et une "maladie transmise par contact sexuel".
Le même jour, le médecin français Willy Rozembaum reçoit dans son cabinet un patient qui présente les mêmes symptômes. Et le
Ouganda: les médecins veulent convaincre les malades du VIH de mieux prendre leur traitement.
Source : RFI En Ouganda, le ministère de la Santé estime qu'environ 1,4 millions de personnes sont séropositives dans le pays. Mais si le traitement est gratuit, beaucoup décident de ne pas prendre leurs médicaments. Peur des discriminations, déni de la maladie, dépression, les médecins doivent effectuer un vrai travail de sensibilisation pour s'assurer que leurs patients suivent bien leurs recommandations.
Tous les matins à 7h, même routine à son réveil, Kristina n'oublie jamais de prendre ses médicaments. « Je garde mes cachets tout en haut de mon armoire, pour qu'ils restent au frais, à l'abri de la chaleur. »Séropositive depuis plusieurs années, son traitement a été difficile à accepter au début. Entre la dépression et la peur de la stigmatisation, elle a décidé pendant quelque temps de ne plus prendre ses médicaments.
« À un moment, j'ai v