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Brèves
IAS2019: Un Médicament Anti-VIH Révolutionnaire Sans Danger Pour Les Femmes En Âge De Procréer
Source : News-24.fr Ce médicament novateur contre le VIH est sans danger pour les femmes qui souhaitent tomber enceinte. Après un examen ayant montré que le risque de malformations congénitales est inférieur à celui que l'on pensait initialement.L’Organisation mondiale de la santé a mis à jour ses directives pour le médicament contre le dolutégravir (DTG). Ce médicament contre le VIH a désormais pour recommandation d'être administré à tout le monde, y compris aux femmes en âge de procréer. Médicament, femmes et désir de grossesse
L’année dernière, l’OMS a déclaré que les femmes qui souhaitent devenir enceintes ne devraient pas prendre ce médicament. Et ce, après une étude menée au Botswana – le premier pays d’Afrique subsaharienne à avoir introduit le médicament. Cette étude a découvert un nombre plus élevé que prévu de bébés nés avec des anomalies du tube neural, problèmes de la colonne vertébrale et du crâne qui survie
VIH : un rapport de la Cour des comptes contre le ronronnement ambiant
Source : liberation.fr Quel dommage que la Cour des comptes se montre aussi «polie» dans son rapport sur «la prise en charge et la prévention du VIH», réalisé à la demande du Sénat, et rendu public la semaine dernière.En effet, vu la situation médiocre de la France qui s’habitue, bon an, mal an, à ses 6 000 nouveaux diagnostics par an, on rêvait que les magistrats de la rue Cambon s’énervent, mettent les pieds dans le plat et bousculent cette gestion pépère que l’on a depuis quelques années de l’épidémie. Le résultat est en demi-teinte.
Certes, la Cour est critique, pointant une politique manifestement dépassée, mais ce énième rapport a été présenté de façon bien discrète. Mesuré et diplomatique, sans mot de trop, il risque de ne pas provoquer de changements. D’ailleurs le ministère de la Santé s’est bien gardé de réagir.
Comme souvent en matière de santé publique, les autorités sanitaires
Encore trop de discriminations liées au VIH
source : Onusida Au début de l'épidémie de VIH, la stigmatisation et la discrimination généralisées des personnes présentant un risque élevé d'infection au VIH ainsi que de celles vivant avec le virus ont pratiquement paralysé la riposte au sida.
Cette forme de discrimination empêche en effet ces personnes d'accéder aux services du VIH dont elles ont besoin pour rester en bonne santé, tout en affectant parfois leurs revenus et leur subsistance, ainsi que de nombreux aspects de leur vie.
Dans un nombre bien trop élevé de pays, les comportements discriminants envers les personnes vivant avec le VIH restent monnaie courante. Des études récentes menées auprès de la population de 26 pays révèlent que 16,9 % des 15-49 ans en Afrique du Sud et jusqu'à 80 % en Guinée adoptent une attitude de discrimination envers les personnes vivant avec le VIH.
IAS2019: VIH : «Le cycle des grands essais vaccinaux va se terminer fin 2020»
Source : liberation.frAu moment où débute un congrès international à Mexico sur le sida, les progrès à accomplir sont encore immenses.
Entretien avec l’épidémiologiste François Dabis. Météo très incertaine.
Dimanche soir, la conférence mondiale sur le sida, la plus grande «conférence scientifique sur le VIH dans le monde», s’est ouverte à Mexico. Ce congrès intervient à un moment unique dans l’histoire de la pandémie, comme le fait remarquer l’éditorial de la grande revue scientifique The Lancet, ce week-end. Elle s’alarme de l’absence de leadership mondial et, en particulier des menaces portées contre l’ONU-sida, cette structure internationale essentielle qui n’a plus de directeur depuis des mois (1) et dont plusieurs personnes demandent la disparition en l’intégrant dans l’OMS. Une aberration aux yeux des experts : «Près de 37 millions de personnes dans le monde vivent avec le VIH. Et
Lancement PAACX - Enquête sur les Perceptions, Attitudes et Attentes vis-à-vis du Chemsex
AIDES (association de lutte contre le sida et les hépatites) et l’équipe SanteRCom (SESSTIM – UMR 1252) mènent actuellement une étude nationale, financée par l’ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales), sur le chemsex c’est-à-dire l’utilisation de substances psychoactives en contexte sexuel. Cette enquête porte sur les Perceptions, attitudes et attentes vis-à-vis du chemseX de l’ensemble des acteurs concernés (PaacX).Votre coopération est sollicitée afin d'informer les personnes potentiellement concernées par le chemsex de l'enquête PAACX. Les objectifs principaux de l’étude sont de :
- mieux appréhender les profils de (ex-)chemsexeurs, avoir une meilleure connaissance des spécificités du chemsex sur le territoire national, de l’hétérogénéité des pratiques et des usagers et de leur rapport singulier à l’usage du chemsex, du point de vue des chemsexeurs eux-mêmes et des intervenant.e.s (professionnel.le.s de santé e
Contre le sida, ces autotests de dépistage ont été distribué "illégalement"
SANTÉ - À la veille de la journée mondiale de lutte contre le SIDA qui a lieu ce dimanche 1er décembre, l’association ActupienNEs a distribué dans les rues de Paris plusieurs sacs contenant préservatifs et autotests de dépistage du VIH dans la rue, comme le montre la vidéo en tête d’article.Mais si ces autotests, qui fonctionnent à partir d’un autopiqueur, sont disponibles à la vente dans les pharmacies (ils coûtent une vingtaine d’euros), ils ne peuvent être distribués gratuitement. C’est ce que reprochent plusieurs associations de prévention comme ActupienNEs, qui aimeraient les rendre plus accessibles.“Nous n’avons pas le droit de distribuer des tests gratuitement et c’est la deuxième année que nous nous adressons aux parlementaires mais on ne voit pas de résultats”, explique une membre de l’association. “Donc on a décidé de distribuer des autotests du VIH aujourd’hui pour sensibiliser les ParisiLutte contre le VIH/SIDA : le projet HIV Free officiellement lancé à l'ouest du Cameroun
source : Initié par la Cameroun Baptist convention health service, le projet HIV Free West a pour but d'étendre l'accès aux soins de qualité durable de prévention et de prise en charge du VIH/SIDA dans les formations sanitaires afin d'atteindre le contrôle de l'épidémie d'ici septembre 2020.
Projet HIV Free : lutter contre l'épidémie de VIH dans un pays très touchéLe Cameroun est le deuxième pays avec la prévalence du VIH la plus élevée en Afrique de l'ouest et centrale. Dans la population générale, la prévalence du VIH est passée de 5,3 % en 2004 à 3,4 % en 2018. Pour atteindre le contrôle de l'épidémie à VIH, le Cameroun a adopté les objectifs 90-90-90 de L'ONU SIDA en 2020. Selon l'enquête CAMPHIA de 2017-2018, les performances au Cameroun sont les suivantes : Ist 90:56%, 2e 90:93% et 3e 90:80%.Un an après,les performances sont: 1e 90:68%, 2e 90:90La PrEP, le traitement préventif contre le VIH, adoubée par les experts du monde entier
Source : europe1.fr Pour toutes les autorités sanitaires et les spécialistes du Sida de la planète, réunis à partir de dimanche Mexico, le traitement préventif contre le VIH, la PrEP, doit faire partie des outils de prévention du Sida, au même titre que le préservatif.
Mexico va accueillir du 21 au 24 juillet la dixième conférence IAS 2017, l'une des plus grande conférence scientifique sur le Sida. Un événement majeur qui se déroule tous les deux ans et regroupe tous les chercheurs et médecins du monde entier qui travaillent sur cette maladie. Le sujet de cette conférence
Toutes les innovations et les défis à relever pour les années à venir seront au centre des discussions. Et cette année, pour l'ouverture du congrès ce dimanche, l'OMS va prendre position pour la première fois sur l'intérêt de la PREP, le traitement préventif contre le VIH, qui est déjà disponible en France et rembo