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SYMTUZA® obtient son AMM Européenne
Source : VIH.orgEngagé depuis plus de 20 ans dans la recherche contre le VIH , le laboratoire Janssen a le plaisir de vous annoncer que la spécialité Symtuza® (800 mg darunavir, 150 mg cobicistat, 200 mg emtricitabine, 10 mg ténofovir alafénamide) a obtenu son autorisation de mise sur le marché le 21 septembre 2017.
Symtuza® est indiqué pour le traitement de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) chez les adultes et les adolescents (âgés de 12 ans et plus, pesant au moins 40 kg). L’utilisation de Symtuza® doit être guidée par un test de résistance génotypique (voir rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Propriétés pharmacodynamiques").
Pour de plus amples informations concernant Symtuza®, nous vous invitons à consulter les mentions légales complètes en cliquant sur l'élément ci-dessous : Mentions légales (.pdf)
Grippe : quelles différences entre les virus de type A et B ?
Source : UNIVADIS À retenirLes patients infectés par les virus A et B de la grippe ne présentent que des différences épidémiologiques mineures. Les infections liées au virus Influenza de type B ne semblent pas moins sévères que celles liées au virus de type A. Le risque de pneumonie est similaire pour les deux types de virus et concerne préférentiellement les patients de plus de 65 ans (risque multiplié par deux par rapport aux patients plus jeunes). La prise en charge des patients grippés aux urgences doit donc se baser davantage sur l’âge, les comorbidités et les signes cliniques que sur le type viral incriminé. Par ailleurs, les résultats aux tests de diagnostic rapide doivent être interprétés avec prudence au regard de leur faible sensibilité. Pourquoi est-ce important ?
La grippe fait plus de 14.000 décès chaque année en France. Peu d’études ont comparé les infections causées par les différentes types de virus Influ
Résultats de l’essai Dual comparant une bithérapie lamivudine darunavir/r à une trithérapie darunavir/r Lamivudine tenofovir (ou abacavir lamivudine) en traitement de maintenance.
Source : VIH.org L’objectif de cette étude randomisée était d’évaluer la non-infériorité d’une bithérapie darunavir/ritonavir et lamivudine par rapport à la trithérapie associant darunavir/ritonavir plus 2 analogues nucléosidiques dans le maintien de la suppression virologique chez des patients infectés par le VIH. Il s’agit d’un essai multicentrique, ouvert de non infériorité (marge de 12 %). Les patients inclus devaient présenter une charge virale plasmatique inférieure à 50 copies/ml depuis au moins 6 mois et recevoir du darunavir/ritonavir et 2 nucléosides (tenofovir disoproxil + emtricitabine ou abacavir + lamivudine) sans avoir de résistance génotypique. Ils ont été randomisés pour soit poursuivre le traitement (n = 128) soit switcher vers une bithérapie darunavir/ritonavir et lamivudine (n = 129). Le critère d’évaluation principal était la proportion de participants ayant une ARN-VIH < 50 copies/ml à 48 semaines de suivi (snapshot).Au total
Chlamydioses, gonococcies, Syphilis : les chiffres des infections sexuellement transmissibles en 2017
Source : VIH.org A l’occasion de la journée de lutte contre le sida, Santé publique France a présenté des données actualisées sur les infections sexuellement transmissible (IST) en France. On observe une stabilisation du nombre de cas de syphilis, mais le nombre d’infections à gonocoque continue d’augmenter.Ces données nous parviennent grâce à différents systèmes de surveillance auxquels participent biologistes et cliniciens, de façon obligatoire ou volontaire, et sur des enquêtes menées auprès de populations spécifiques.
Le dépistage régulier des IST , couplé à celui du VIH , est indispensable dans le cadre d’une approche globale de santé sexuelle. La surveillance de la fréquence, de la morbidité et les risques de complications liés au IST, ainsi que de l’apparition de résistances éventuelles aux traitements, permet d’oeuvrer à l'interruption de la transmission des IST.
Tuberculose dans le 93 : incidence stable et toujours plus élevée qu'ailleurs
Source : Le quotidien du médecinLa tuberculose reste une préoccupation de santé majeure en Seine-Saint-Denis, avec une vigilance particulière pour certaines populations plus exposées, est-il indiqué dans le « Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire » (BEH) qui publie deux articles sur la tuberculose dans le département du 93.
Si le taux d'incidence de la tuberculose maladie dans le cadre de la déclaration obligatoire (DO) est faible et en diminution au niveau national, il est « plus élevé en Seine-Saint-Denis que dans le reste de la France métropolitaine et en relative stabilité », écrit l'équipe dirigée par Laura Sulli. Dans le département, entre 2013 et 2015, le nombre de cas déclarés était de 1189, le taux d'incidence de 24,6/105 en 2015. Les tuberculoses respiratoires représentaient 80,4 % des cas déclarés. Parmi celles-ci, 65 % étaient à microscopie positive ou à culture positive.
Les tu
VHC, TABAGISME ET RISQUE D’ÉCHEC THÉRAPEUTIQUE
Source : SeronetLeur statut tabagique pourrait mettre en échec thérapeutique les personnes porteuses du VHC. C’est l’hypothèse d’un court article paru dans le "Lancet", dont rend compte la dernière lettre d’infos de la Fédération Addiction (novembre 2017). Une étude attribue à la forte prévalence du tabagisme chez les personnes vivant avec le VHC la relative inefficacité des antiviraux à action directe sur la survie telle qu’elle a été mise en évidence par une récente revue Cochrane. Facteur de risque de fibrose, de cirrhose puis de cancer primitif du foie chez les personnes vivant avec le VHC, facteur prédictif de pathologies cardiovasculaires, le tabac constitue un facteur de vulnérabilité supplémentaire impactant la survie, du fait de ses nombreuses comorbidités chez les personnes atteintes du VHC, alors même que les nouveaux traitements, plus efficaces et plus accessibles, augmentent quant à eux les chances de guérison de l’infection, mentionne l’ar