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« Dans les pays où la PrEP n’est pas encore accessible, on constate que des personnes utilisent déjà des traitements antirétroviraux en prophylaxie pré-exposition hors des essais, de façon ‘sauvage' ». L’enquête Flash PrEP a exploré cette question. Voici les résultats.

Dans les pays où la PrEP n’est pas accessible, on constate que des personnes utilisent déjà des traitements antirétroviraux (TARV) en prophylaxie pré-exposition hors des essais. Ces utilisateurs de PrEP orale dite « sauvage » obtiennent les TARV auprès des personnes séropositives de leur entourage, par des médecins (par le biais d’un traitement d’urgence – TPE) ou encore par des achats sur Internet. Les études portant sur l’intérêt et l’intention des personnes à utiliser une PrEP fournissent souvent des informations sur ces expériences de PrEP « sauvage » et l’ampleur de son utilisation. L’enquête Flash PrEP a, elle aussi, exploré cette question. 136 personnes (4,5 % de l’échantillon total) ont déclaré avoir eu recours à la PrEP « sauvage ». 3 000 personnes ont répondu à la question concernant l’utilisation de la PrEP sauvage. 4,5 % (soit 136 personnes) ont « utilisé au moins une fois dans leur vie, un traitement anti-VIH (d’un ami ou d’un partenaire par exemple) afin d’éviter une contamination par le VIH avant un rapport sexuel ».

Découvrez l’article dans son intégralité sur le site SERONET.

« EVE est une enquête menée par AIDES et l’Inserm. Cette recherche communautaire porte sur les EVEnements indésirables vécus par les femmes vivant avec le VIH. Seronet a récemment publié un article qui, en quelques questions… et réponses, rappelle la nature de cette enquête et ses enjeux.

Pour construire cette enquête par questionnaire, une grille utilisée dans les essais thérapeutiques pour identifier les événements indésirables des traitements a été reprise et élargie (grille ACTG groups). 23 événements indésirables étaient explorés. Pour chaque symptôme, la fréquence, l’intensité, les types d’impacts dans les différentes dimensions de la vie (activités/professionnel, vie sociale et familiale, vie affective/intime), le fait d’en avoir parlé ou pas dans le cadre du suivi médical et le sentiment d’avoir été écouté, étaient questionnés. Des questions portant sur les solutions trouvées par les femmes (et/ou leur médecin) de manière plus globale ont été posées (…) »

Vous pouvez consulter les premiers résultats de l’enquête sur le site Seronet.

« D’où vient le virus du sida? La réponse à cette question cruciale est plus complète que jamais ce lundi, avec la publication dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences d’une étude internationale menée par l’Institut de recherche pour le développement qui finit d’élucider l’origine de toutes les souches du VIH-1.

On ne le sait pas toujours, mais il y a plusieurs virus du sida affectant l’homme: le VIH-1 et le VIH-2. Si ce dernier n’est pas très répandu, surtout hors d’Afrique, le VIH-1 est responsable de l’immense majorité des infections dans le monde. Il se divise en quatre variantes génétiques: le M, qui infecte 99% des porteurs du virus, le N, le O et le P. On le sait depuis plusieurs années, le M et le N ont été transmis à l’homme par le chimpanzé -lors de la chasse ou de la préparation de viande de singe. On savait aussi qu’un autre singe, le mangabey, nous avait refilé le VIH-2. Mais pour ce qui est des souches O et P du VIH-1, le mystère restait entier ».

L’intégralité de l’article en français est disponible sur le site d’information 20minutes.

Les nouvelles les plus importantes émanant de la CROI concernent la prophylaxie pré-exposition (PrEP), l’utilisation par des personnes séronégatives d’antirétroviraux pour éviter l’infection au VIH.

Deux études sur la PrEP chez les hommes gays et les femmes transgenres ont démontré que l’accès à la PrEP réduisait de 86% le taux d’infections. Ceci représente l’efficacité la plus élevée jamais observée pour la PrEP et une efficacité supérieure à la plupart des autres interventions préventives. Chose extraordinaire, deux études distinctes, ayant offert la PrEP de façon très différente, ont abouti exactement au même niveau d’efficacité.

Vous pouvez lire l’intégralité de l’article sur le site Aidsmap.

L’ONG britannique i-Base vient d’éditer ce mois-ci son guide pour accompagner les patients vivant avec le VIH dans les changements de traitements antirétroviraux qui peuvent survenir.

Dans cette 14ème édition, le guide présente les étapes qui accompagnent un changement de traitement, et les questions fréquentes posées par les patients :

  • Quand changer de traitement et pourquoi ?
  • Quels examens médicaux doivent être réalisés ?
  • Quel nouveau traitement recevoir ?
  • Que faire si le patient ne supporte pas le traitement ?
  • Quelles sont les nouvelles combinaisons d’antirétroviraux et les récentes avancées médicales ?

 

A destination d’un public anglophone, ce guide est disponible sur le site d’i-Base.

Pour information, l’ONG i-Base publie des informations scientifiques simplifiées à destination des patients vivant avec le VIH et des professionnels de santé.

Cette substance mise au point par une équipe américaine a été testée pendant des mois sur des singes. Elle ouvre la voix à un traitement à effet prolongé contre le VIH.

Un espoir dans le traitement du sida ? Une substance anti-sida mise au point par une équipe américaine s’est avérée efficace pendant des mois sur des singes. Ce qui offre la perspective d’un traitement à effet prolongé contre le VIH sans l’obligation de prises quotidiennes d’antirétroviraux, a annoncé mercredi la revue scientifique Nature (…)

Vous pouvez dès à présent lire la totalité de l’article sur le site de l’Express.

 

 

Des chercheurs de l’université de Maastricht et du King’s College à Londres collaborent aujourd’hui avec plusieurs associations de patients à un projet de recherche sur l’information des patients. Ce dernier à pour objectif d’aider la communauté médicale à comprendre comment les patients, concernés notamment par une maladie chronique, reçoivent les informations qui leur sont transmises sur leur maladie et les traitements. Sont-elles compréhensibles ? Pour quel impact ?

Si vous souhaitez participer à cette enquête, il vous suffit de cliquer sur le lien suivant :

http://scripts.hcscommunity.com/scripts/dubinterviewer.dll/Frames?Quest=69&src=3

Il y a près de 15 ans, les chercheurs de l’organisation de soins de santé intégrés (HMO) Kaiser Permanente de la Californie ont fait état d’un risque accru de crise cardiaque chez les personnes vivant avec le VIH. Dans leur rapport le plus récent, les chercheurs de Kaiser révèlent un changement étonnant : au cours des dernières années, le risque de crise cardiaque parmi les personnes séropositives a diminué, de sorte qu’il se situe maintenant au même niveau que chez les personnes séronégatives. Nous explorons maintenant leurs résultats et les raisons de ce changement (…)

Lire la suite sur le site de CATIE

—Sean R. Hosein

This information was provided by CATIE (Canadian AIDS Treatment Information Exchange). For more information, contact CATIE at 1.416..263.1638 info@catie.ca.

Cette année, le Sidaction aura lieu les 27, 28 et 29 mars : 3 jours de mobilisation offrant une opportunité exceptionnelle de parler de la maladie, pour mieux la combattre. Mais pour continuer la lutte contre le sida, Sidaction a besoin de vous  : l’association recherche activement le témoignage de personnes vivant avec le VIH.

Témoigner : Pourquoi ? Comment ? (Pour témoigner, téléchargez le document explicatif)

Les chercheurs John Gill et Dominique Costagliola prônent un virage vers la promotion de la santé et encouragent les médecins, les infirmiers et les pharmaciens à prendre note de l’affirmation suivante :

« En saisissant chaque occasion lors de la prestation des soins liés au VIH pour focaliser nos efforts sur la réduction du tabagisme, nous aurons les meilleures chances de réduire [les taux de crise cardiaque]. » Et d’ajouter le duo : « L’encouragement et le soutien aux patients dans leurs efforts pour arrêter de fumer offrent des bienfaits immenses pour la santé » (…)

—Sean R. Hosein

Lire l’article sur le site de CATIE

This information was provided by CATIE (Canadian AIDS Treatment Information Exchange). For more information, contact CATIE at 1.416..263.1638 info@catie.ca.