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Les PVVIH avec cancer pourraient faire face à un niveau de mortalité plus élevé que les personnes ne vivant pas avec le VIH, selon une étude récente publiée en ligne dans le Journal of Clinical Oncology.

En effet, les recherches menées par Anna Coghil du National Cancer Institute dans le Maryland (Etats-Unis), ont permis d’examiner 14 cas de cancer entre 1996 et 2010 dans six États des Etats-Unis.

Dans l’étude de personnes décédées des suites d’un cancer, elle a identifié 6,459 cas de PVVIH avec cancer. Les recherches ont alors démontré que les niveaux de mortalité étaient plus élevés chez les patients infectés à VIH pour une multitude de cancers.

Pour voir les conclusions de l’étude, consultez ici l’article en ligne, disponible en version anglophone.

Actions Traitements cherche, pour l’écriture d’une brochure de sensibilisation à l’arrêt du tabac, des témoignages de personnes vivant avec le VIH ayant tenté l’arrêt du tabac, avec succès ou non.

Si vous souhaitez témoigner, merci de prendre contact avec Christelle : cdestomb@free.fr

Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, des programmes d’éducation thérapeutique (ETP) et différents outils d’information (brochures, dépliants, site Internet).

Objectifs du stage :

En relation avec le responsable du développement et le chargé de projet communication, le/la stagiaire participe à la mise en place des différentes opérations de communications. Au sein d’une équipe de trois personnes, le/la stagiaire participe, par ailleurs, à la gestion des différents projets portés par Actions Traitements.

Missions principales :

– Participation à la définition des plans de communication (projets et actions) mis en œuvre par l’association

– Appui à la conception de supports de communication (mise en page, maquette…),

– Rédaction d’articles et participation à l’animation de la vie numérique de l’association,

– Suivi des commandes et de la diffusion des outils de communication de l’association,

– Appui sur l’organisation et l’animation des réunions d’information mensuelles et du colloque annuel,

– Planifie les réunions d’équipe et en rédige les comptes-rendus,

– Participe à l’évaluation des projets et leur valorisation dans le rapport d’activités,

– Réalise des présentations à destination des partenaires,

– Réalise des recherches documentaires,

– Prend en charge le courrier, l’accueil physique et téléphonique.

Formations & expériences :

– Formation supérieure en Master (1 ou 2) de communication ou management des associations,

– Maîtrise des outils informatiques : Suite office, CMS (WordPress),

– Connaissance des outils de mises en page : Adobe CS6.

– La connaissance de FileMaker Pro est un plus

Qualités : Rigoureux(se), organisé(e), polyvalent(e), dynamique, autonome et ayant un intérêt pour la lutte contre le VIH/Sida.

Contrat : Stage de 2 à 6 mois minimum à temps plein

Indemnités : 508,20 €, tickets restaurant (pris en charge à 50 %), transports (pris en charge à 50 %), congés payés

Disponibilité : à partir de juin

Lieu : Siège de l’association Actions Traitements, 190 Boulevard de Charonne, Paris 20ème

Documents à envoyer : CV et lettre de motivation, à l’attention de Nicolas GATEAU : recrutement@actions-traitements.org

 

Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le Ministère de la Santé. Elle accompagne les personnes vivant avec le VIH et leurs proches. A ce titre, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un colloque annuel, des programmes d’éducation thérapeutique (ETP) et différents outils d’information.

Objectifs :

En relation avec la responsable administrative et financière, le/la stagiaire participe à l’organisation de la vie associative et à sa bonne gestion. Au sein d’une équipe de 3 personnes, le/la stagiaire pourra participer, par ailleurs, à la gestion d’un projet porté par Actions Traitements.

Missions principales :
-Participe à la constitution de dossiers de subventions
-Participe aux opérations administratives et de gestion au quotidien
-Prend en charge la mise à jour des tableaux de reporting
-Suit les processus de dons et d’adhésions
-Organise les réunions d’instance (CA et AG) et en rédige les comptes-rendus (CA, AG, réunions d’équipe hebdomadaires)
-Participe à l’évaluation des projets et leur valorisation dans le rapport d’activités
-Réalise des présentations à destination des partenaires
-Réalise des recherches documentaires
-Prend en charge le courrier, l’accueil physique et téléphonique.

Formations & expériences :
-Formation supérieure en Licence, Master (1 ou 2) de management des associations
-Maîtrise des outils informatiques : Suite office (Excel, word et power point)
-Bon niveau rédactionnel impératif

Qualités :
Rigoureux(se), organisé(e), polyvalent(e), dynamique, autonome et ayant un intérêt pour la lutte contre le VIH/Sida.

Contrat : stage d’au moins 6 mois, éventuelle embauche en CDD de 8 mois (remplacement congé maternité) à partir d’aout 2016 en fonction des compétences acquises.

Indemnités : 554,40 €, tickets restaurant 8,90€ (pris en charge à 60 %), transports (pris en charge à 50 %), 2 jours de congés mensuels.

Disponibilité : à partir de mars/avril 2016.

Lieu : siège de l’association Actions Traitements, 190 Boulevard de Charonne, Paris 20ème.

Documents à envoyer : CV et lettre de motivation personnalisée pour l’offre, à l’attention de Léa Grigaut à l’adresse suivante : recrutement@actions-traitements.org

 

En attendant des thérapies capables d’éliminer définitivement le virus du sida (VIH), un nombre grandissant de malades se pose la question «d’alléger» leur traitement pour diminuer les effets secondaires, tout en maintenant sous contrôle l’infection.

Témoin de l’intérêt pour la question, l’organisation récente d’un colloque sur «l’allégement thérapeutique» par le groupement associatif TRT-5, spécialiste des questions thérapeutiques sur le sida.

«C’est une thématique qui suscite beaucoup de questions et de fantasmes chez des patients qui souffrent d’effets indésirables», explique à l’AFP Jean-Pierre Fournier coordinateur de TRT-5.

Un bon nombre des 150 000 porteurs du VIH en France prennent depuis plus de 20 ans des cocktails de médicaments antirétroviraux et s’interrogent sur leurs effets à long terme.

Mais alléger son traitement «n’est pas une mince affaire», prévient M. Fournier mettant en garde contre des «allègements sauvages» que les malades feraient «seuls dans leur coin».

Les antirétroviraux sont capables de museler efficacement le VIH, jusqu’à le rendre indétectable dans le sang, mais pas de l’éliminer totalement. L’arrêt du traitement se traduit inéluctablement par un «rebond» de l’infection.

Pour consulter l’intégralité de l’article, cliquez ici.

« L’Association française pour l’étude du foie s’engage pour l’éradication de l’hépatite C en France dans les 10 ans, dans ses nouvelles recommandations publiées. « La question, aujourd’hui n’est pas seulement de savoir avec quelle association traiter tel patient en fonction de l’avancée de sa maladie, explique le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général de l’AFEF, mais de savoir comment éradiquer l’hépatite C, puisque les molécules capables de traiter et de guérir l’ensemble des patients sont aujourd’hui disponibles. »

Dans ses recommandations, l’AFEF suggère de traiter tous les patients qui ont une fibrose modérée, sévère ou une cirrhose. En plus des indications adoptées il y a un an dans le rapport du Pr Daniel Dhumeaux, puis reprises par la Haute autorité de santé, la société savante estime également que le traitement doit être administré, quel que soit le degré de sévérité de la fibrose à tous les patients infectés par virus de l’hépatite C (VHC) de génotype 3, à tous les patients coïnfectés par le VIH ou le VHB, aux patients ayant une manifestation extra-hépatique significative ou avec une fatigue invalidante, ainsi qu’à tous les patients en attente de transplantation ou ayant reçu une transplantation. »

Pour lire l’intégralité de l’article, cliquez ici.

« Une étude confirme l’intérêt de démarrer le plus tôt possible une multithérapie après une contamination par le VIH. Plus ce délai est court, plus le réservoir viral est faible à court, à moyen et à long terme, ce qui engage un « meilleur pronostic pour le patient ». C’est ce qu’explique l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) dans un communiqué publié fin mars 2015.

Les médecins le disent et le répètent, plus un traitement antirétroviral contre l’infection par le VIH est précoce, plus il est bénéfique, rappelle l’Inserm (…) Les auteurs viennent de confirmer que plus la mise en œuvre du traitement est rapide après l’infection, y compris dans la fenêtre de trois mois suivant la primo-infection, plus le réservoir viral mesuré dans les CD4 est faible, à court, moyen et long terme.

« La multithérapie antirétrovirale empêche efficacement la réplication du virus, mais elle ne permet pas de déloger le virus des cellules hôtes du système immunitaire. En effet, le VIH persiste dans l’organisme, intégré dans l’ADN de certaines cellules. Il peut se maintenir ainsi sous forme latente pendant des années, notamment dans les lymphocytes T CD4, puis se remettre à proliférer, par exemple lors d’une interruption de traitement », rappelle le docteur Laurence Meyer, co-auteure de ces travaux, dans le communiqué de l’Inserm. Et la chercheuse de préciser : ‘La taille de ce réservoir viral est corrélée au risque de complications et au pronostic de la maladie : il est donc important de la réduire au minimum’. »

L’intégralité de l’article est disponible sur Seronet.

Depuis mai 2014 Actions Traitements vous propose des vidéos chapitrées de ses dernières Réunions Qualité de Vie.

Chacune de ces captations, à destination de toutes les personnes qui ne peuvent se rendre à nos réunions, constituent autant de supports d’information, pédagogiques et interactifs. Accessibles aisément et à tout moment, ces vidéos condensent, en les séquençant, tous les contenus pratiques développés lors de nos réunions par nos intervenants experts (professionnels de santé et associatifs, principalement).

Notre dernière vidéo chapitrée publiée a pour thème « Les bilans biologiques, un allié pour sa santé ». Issue de notre réunion organisée le 19 mai 2015 avec le Dr Nesrine Day, biologiste et directrice générale des laboratoires du Chemin Vert, et le Dr Laurent Roudière, médecin spécialiste du VIH, cette vidéo vous permettra de mieux comprendre l’intérêt des bilans biologiques, souvent sources d’angoisse pour les personnes vivant avec le VIH, et de vous donner quelques repères pour ouvrir le dialogue avec votre médecin. Pour la visualiser, cliquez ici.

Pour information, 4 autres vidéos chapitrées sont accessibles sur notre site Actions Traitements, à partir du lien suivant : www.actions-traitements.org/videos

Prendre des antirétroviraux dès le diagnostic d’une infection par le virus du sida (VIH) réduit fortement le risque de mortalité et d’autres complications, ont démontré mercredi les résultats d’un vaste essai clinique international.

Cette étude appelée START (Strategic Timing of Antiretroviral Treatment) a été arrêtée un an plus tôt que prévu parce que les données préliminaires montraient que ceux traités sans attendre avaient 53% moins de risques de décéder ou de développer des maladies liées à l’infection, comparativement à un groupe témoin qui avait commencé le traitement plus tard, quand le système immunitaire s’affaiblissait.

Ces données combinées à celles d’études précédentes montrant que les antirétroviraux réduisent nettement le risque de transmission du VIH à des partenaires sexuels sains, plaident pour offrir ce traitement à tous ceux qui sont infectés, selon les chercheurs.

L’étude START est la première aussi étendue à démontrer qu’un traitement antirétroviral dès le début de l’infection est bon pour toutes les personnes séropositives, soulignent-ils.

«Nous avons désormais la preuve irréfutable d’un gain beaucoup plus grand pour la santé d’une personne infectée par le VIH de commencer une thérapie antirétrovirale plus tôt que plus tard», a déclaré le directeur de l’Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci.

La suite de l’article est disponible ici.

Le Kiosque Infos Sida et Toxicomanie souhaitent lancer une application mobile pour la santé gay et pour vous accompagner dans vos démarches de dépistages et vaccinations.

Pour les aider dans son élaboration, prenez deux minutes pour remplir ce rapide questionnaire, ils ont besoin de votre avis.

Le document est à remplir ici.