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L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait état d’une hausse inhabituelle des cas d’hépatite A au cours des 12 derniers mois, les hommes ayant des rapports homosexuels (HRH) étant les principalement concernés.

L’organisation a indiqué que l’augmentation est particulièrement préoccupante sur le plan de la santé publique en raison de la disponibilité limitée du vaccin contre l’hépatite A dans le monde actuellement.

Dans la région européenne, entre le mois de juin 2016 et le 16 mai 2017, 15 pays ont rapporté 1 173 cas liés à trois épidémies d’hépatite A distinctes impliquant plusieurs pays. La plupart des pays affectés recommandent de manière systématique le vaccin contre l’hépatite A pour les HRH.

Cet avertissement intervient à quelques jours de la fête mondiale des fiertés LGBT à Madrid qui se déroulera du 23 juin au 2 juillet 2017 en Espagne. Selon l’OMS, même s’il est estimé que le risque de transmission de l’hépatite A par l’eau et la nourriture en Espagne est faible à modéré, le risque de transmission sexuelle de personne à personne est actuellement évalué comme étant modéré à élevé.

L’OMS recommande que les pays ayant un faible profil d’endémicité pour l’hépatite A proposent de façon systématique le vaccin aux personnes à risque accru d’infection et de développement de complications graves. Le recours au vaccin contre l’hépatite A est privilégié pour la prophylaxie pré-exposition comme pour la prophylaxie postexposition, a indiqué l’organisation.

Sources : univadis.fr

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a été informée récemment de la survenue de cas d’atteintes hépatiques graves susceptibles d’être liées à l’utilisation répétée et/ou prolongée de kétamine à doses élevées.

Dix cas d’atteintes hépatiques graves, survenus depuis 2014, dont quatre ayant conduit à une transplantation hépatique, ont été déclarés par des professionnels de santé. Il s’agit d’atteintes cholestatiques de type cholangite, susceptibles d’être liées à l’administration de kétamine de façon répétée et/ou prolongée (entre 1 mois et 5 mois de traitement continu) et à des posologies élevées, dans la prise en charge de douleurs rebelles (dépassant 100 mg/j en continu sur plusieurs jours) et lors de la réalisation de soins douloureux (200 à 400 mg/h en 3 à 6 heures) chez des grands brûlés.

Pour rappel, la kétamine est indiquée comme agent anesthésique, seule ou en association avec d’autres anesthésiques. Son usage dans la prise en charge des douleurs rebelles et lors de la réalisation de soins douloureux a fait l’objet, en 2010, de recommandations de bonne pratique publiées par l’Afssaps (ex ANSM), en lien avec les professionnels de santé (accord professionnel). Il est indispensable de respecter les posologies préconisées et de surveiller le bilan hépatique de façon rapprochée lors de telles utilisations.

Sources : ansm.sante.fr

De nombreuses études montrent l’impact négatif du tabagisme sur l’issue des grossesses. Néanmoins, cet effet n’avait pas été étudié jusqu’à maintenant spécifiquement chez les femmes infectées par le VIH, alors que la prévalence du tabagisme est élevé dans cette population. La cohorte WIHS comporte des femmes séropositives pour le VIH appariées de façon sociodémographique à des femmes séronégatives, dans 10 villes nord-américaines.

L’étude s’intéresse aux femmes de cette cohorte pour lesquelles a été rapporté un avortement spontané (fin de grossesse avant 20 semaines), un enfant mort-né ou une naissance vivante entre 1994 et 2014. Les données de 377 grossesses chez des femmes fumeuses (pendant la grossesse ou immédiatement avant celle-ci) ont été comparées à 656 grossesses chez des non-fumeuses. A noter que chez les fumeuses VIH+, les cofacteurs toxiques sont nombreux : 42% de consommation d’alcool (contre 21%  chez les non-fumeuses), 25% d’utilisation de Marijuana (contre 7% chez les non-fumeuses). Les paramètres immunovirologiques sont également moins bons : seulement 67% des femmes fumeuses ( vs 80% des non-fumeuses) sont traitées et 48% ont une charge virale < 1000 cop/mL (vs  71% des non fumeuses).

Au total, 32% de l’ensemble des grossesses a résulté en un avortement spontané ou un enfant mort-né dans la cohorte (que les femmes soient VIH positives ou négatives). Le risque d’avortement spontané ou d’enfant mort-né est majoré de 9.7% avec le tabac chez les femmes séronégatives ; chez les femmes séropositives, ce risque est majoré de 19,2%.

Les auteurs concluent qu’il est essentiel que les femmes séropositives envisageant une grossesse puissent être accompagnées vers un sevrage du tabac. Le fait que la cohorte comporte une période antérieure aux traitements antirétroviraux efficaces rend néanmoins les résultats un peu fragiles.

Sources : info-vih.com

Peut-on dépister les cancers de la peau ?

Le dépistage des cancers de la peau consiste à se faire examiner régulièrement par un dermatologue, en particulier lorsqu’on est à risque plus élevé de développer ce type de cancer. Votre dermatologue vous indiquera la fréquence d’examen adapté à votre cas.

De plus, les personnes à risque peuvent apprendre à surveiller eux-mêmes leur peau : c’est l’auto-examen de la peau.

Faire un auto-examen de sa peau

Deux à trois fois par an, les personnes qui sont à risque de mélanome doivent faire le point sur l’aspect de leurs grains de beauté ou repérer de nouvelles taches. En règle générale, chez une personne, tous les grains de beauté se ressemblent. Il est particulièrement important de rechercher ceux qui sortent du lot, ceux que les dermatologues appellent « les vilains petits canards ».

Pour cela, il est nécessaire d’inspecter la peau à l’œil nu, mais également en s’aidant d’un miroir en pied (pour voir le dos, les épaules, le cou, etc.) en n’oubliant pas de lever les bras. De plus, un miroir à main peut être indispensable pour inspecter les zones inaccessibles à la vue. Il peut parfois être intéressant de faire des photos des grains de beauté les plus gros pour détecter un éventuel changement de forme, de couleur, de taille ou d’épaisseur.

Appliquer la méthode ABCDE

La méthode ABCDE est un moyen mnémotechnique simple pour se souvenir des éléments à rechercher sur les grains de beauté ou autres taches :

  • Asymétrie : les grains de beauté ou les taches qui ne sont ni ronds, ni ovales ou qui ne sont pas homogènes en termes de couleur ou de relief doivent être particulièrement surveillés.
  • Bords irréguliers : des bords déchiquetés sont le signe d’un grain de beauté à surveiller.
  • Couleur non homogène : attention aux grains de beauté et aux taches qui mélangent plusieurs couleurs (brun, rouge, blanc, bleu ou bleu-noirâtre).
  • Diamètre : les grains de beauté de plus de 6 mm de diamètre doivent faire l’objet d’une surveillance attentive.
  • Évolution : tout changement rapide de la taille, de la forme, de la couleur ou de l’épaisseur d’un grain de beauté ou d’une tache justifie une consultation chez un dermatologue.

Si vous avez de nombreux grains de beauté, repérez ceux qui répondent à un ou plusieurs critères de la méthode ABCDE et faites-les examiner régulièrement par un dermatologue.

Comment diagnostique-t-on les cancers de la peau ?

Le diagnostic des cancers de la peau repose sur l’examen clinique de la peau et sur l’analyse microscopique du prélèvement de la lésion suspecte.

L’examen de la peau

Lors de l’examen de la peau du patient, le dermatologue peut utiliser un appareil particulier, le dermoscope, une sorte de microscope qui lui permet de voir à travers la couche la plus superficielle de la peau. Parfois, il utilise également une lampe qui émet des rayons ultraviolets (« lampe de Wood ») pour rechercher des pigmentations anormales de la peau.

Il peut prendre des clichés des lésions à surveiller pour pouvoir comparer leur aspect lors de la visite suivante.

L’analyse de la lésion suspecte

Si une lésion lui paraît suspecte, le dermatologue va la prélever sous anesthésie locale (c’est « l’exérèse diagnostique ») et l’envoyer au laboratoire pour analyse microscopique. Il prélève la lésion entière avec quelques millimètres de peau saine tout autour et ferme la plaie avec un ou deux points de suture.

Si le diagnostic de cancer de la peau est confirmé

Si l’analyse confirme qu’il s’agit d’une lésion cancéreuse, le médecin peut décider de faire pratiquer des examens complémentaires à la recherche d’éventuelles métastases : prise de sang, échographie des ganglions avoisinants, scanner (tomodensitométrie), IRM, etc.

Sources : eurekasante.vidal.fr

Depuis le 1er mars 2017, un décret permet aux médecins de prescrire de l’activité physique adaptée (APA) aux patients qui souffrent d’une affection longue durée (ALD). Cette reconnaissance du sport adapté en tant que traitement non médicamenteux pourra bénéficier aux dix à onze millions de Français qui souffrent de la trentaine de maladies chroniques reconnues comme ALD.

En pratique, comment se passe la prescription du sport adapté ?

Pour prescrire une activité physique adaptée, le médecin doit remplir un formulaire spécifique où il précise les objectifs thérapeutiques recherchés (contrôle du poids, amélioration de la force musculaire, amélioration des capacités cardiorespiratoires, etc.) et les contre-indications propres au patient. Il l’oriente alors vers les acteurs locaux actifs dans la mise en place de l’activité physique adaptée : éducateurs sportifs au sein de clubs, kinésithérapeutes, psychométriciens ou ergothérapeutes.

Muni de leur formulaire, les patients peuvent se rendre dans le club sportif de leur choix (à condition que celui propose des activités qui conviennent à leur état de santé) ou, dans certaines villes, à la mairie si celle-ci dispose d’un dispositif d’orientation des patients (c’est le cas, par exemple, à Strasbourg).

S’il choisit de s’adresser à un club sportif, le patient est pris en charge par un éducateur formé à l’APA qui lui propose un programme d’activités adapté à ses particularités et aux objectifs fixés par le médecin. Régulièrement, l’éducateur envoie un compte-rendu d’activité au médecin prescripteur qui fait le point sur l’accomplissement des objectifs.

Sur quoi le médecin fonde-t-il ses conseils autour de l’APA ?

Les conseils du médecin prescripteur se fondent d’abord sur l’état de santé de son patient : maladie, objectifs thérapeutiques recherchés, limites particulières du patient (contre-indications), mais aussi sur ses goûts. En effet, pour s’assurer que le patient pratique une activité physique adaptée sur le long terme, meilleure garantie d’effets positifs, le médecin interroge son patient sur ses envies, son éventuel passé de sportif, ses préférences (sport individuel ou collectif, sport en salle ou en extérieur, par exemple), etc.

Pour étayer ses recommandations, le médecin dispose d’une base de données, le MédicoSport Santé, publiée par le Comité national olympique et du sport français (CNOSF). Cette base liste, discipline par discipline, les bénéfices, les risques, les modalités d’adaptation, les publics cibles, les fédérations impliquées, etc.

Enfin, les conseils du médecin s’appuient sur sa connaissances des ressources locales en terme de clubs sportifs ou autres structures proposant des activités d’APA.

Qui paie pour les séances d’activité physique adaptée ?

La question financière est le point faible de cette nouvelle mesure. En effet, rien n’est prévu au niveau national pour rembourser ces coûts, comme peuvent l’être les traitements médicamenteux. L’État compte sur les collectivités locales (par exemple les régions dans le cadre des programmes régionaux de santé) et les assureurs complémentaires (« mutuelles ») pour financer cette activité.

Selon les villes et les départements, des dispositifs d’aide financière sont parfois proposés pour compenser tout ou partie des coûts, en général pour la première année de pratique. Par exemple, à Strasbourg, où le sport sur ordonnance a été lancé dès 2012, environ 1 500 personnes en bénéficient. Gratuit la première année, le coût de l’APA est ensuite établi en fonction des revenus. L’aide financière est assurée par la ville de Strasbourg, l’Agence régionale de santé, le régime local de l’assurance-maladie, les hôpitaux universitaires de Strasbourg, le conseil départemental du Bas-Rhin, etc.

Les coûts restent généralement modestes, sauf pour des activités qui exigent un équipement conséquent.

Antiviral activity, safety, and exposure-response relationships of GSK3532795, a second-generation HIV-1 Maturation Inhibitor, administered as monotherapy or in combination with Atazanavir±Ritonavir in a phase 2a randomized, dose-ranging, controlled trial (AI468002)

Le GSK3532795 (anciennement BMS-955176) est un inhibiteur de maturation de seconde génération, ciblant la protéine Gag du VIH1, qui inhibe le clivage final de la protéase, produisant des virions immatures non infectieux.

Il s’agit d’une étude de phase 2a, randomisée, avec dose ranging en trois parties : dans la partie A les patients infectés par un sous type B recevaient 5 à 120 mg de la molécule ou du placebo, une fois par jour pendant 10 jours.
Dans une partie B, les patients recevaient 40 ou 80 mg de la molécule associée à de l’atazanavir boosté, ou un traitement associant tenofovir emtricitabine et atazanavir boosté pendant 28 jours.
Enfin dans la partie 3, les patients infectés par un sous type C recevaient 40 ou 120 mg de la molécule ou du placebo pendant 10 jours.

L’évaluation comportait le changement de la charge virale plasmatique à J11 (parties A et C) et J29 (partie B). Les résultats montrent une diminution supérieure à 1 log de charge virale à J11 et à J29 pour des doses de GSK3532795 supérieures ou égales à 40 mg.
Dans le groupe B, les patients traités par le GSK3532795 associé à de l’atazanavir ont une réduction similaire de la charge virale comparé au groupe standard of care. La diminution maximum de charge virale était identique dans les groupes 40 à 120 mg, quel que soit le polymorphisme de Gag à l’inclusion.  Il n’a pas été trouvé d’effets indésirables conduisant à un arrêt de traitement, ni d’effets secondaires graves.

Les auteurs concluent que les résultats démontrent une bonne efficacité et tolérance du GSK3532795 pour les patients infectés par un sous type B ou C, permettant la poursuite du développement de cette molécule. Cette molécule de seconde génération présente donc une efficacité intéressante, y compris en présence de polymorphisme sur Gag qui était associé à une résistance au bevirimat (BVM) (première génération dont le développement a été arrêté) (1).

Une autre interrogation sur les inhibiteurs de maturation concerne une résistance croisée potentielle en cas de résistance aux inhibiteurs de protéase, et des substitutions secondaires sur gag.  Une publication concomitante (2) évalue l’efficacité in vitro du GSK3532795 sur des isolats prélevés chez des patients traités par IP, et des isolats de patients hautement résistants aux IP.
Les résultats montrent que le GSK3532795 maintient une activité antivirale sur des isolats avec résistance aux IP et/ou mutations émergentes sur Gag. Ces résultats doivent être confirmés par les études de phase 3 en cours.

1. McCallister S, Lalezari J, Richmond G et al. HIV-1 Gag Polymorphisms Determine Treatment Response to Bevirimat (PA 457). 2008. Proceedings of the XVII International HIV Drug Resistance Workshop; 10-14 June 2008; Sitges, Spain.

Sources : info-vih.com

Selon le « tableau de bord » tabac mensuel de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, les ventes de tabac ont évolué comme suit, par rapport au mois de mars 2016 : ventes de cigarettes en baisse de 0,1 %, ventes de tabac à rouler en baisse de 6,6 %. Concernant les traitements à l’arrêt, les ventes de mars 2017 atteignent un niveau record équivalent à 253 000 personnes sous traitements substitutifs, en hausse de 58 % par rapport à mars 2016. Ce niveau élevé de ventes (ce terme fait référence aux commandes des officines de pharmacie auprès de leurs fournisseurs et non aux achats des particuliers) peut être rapproché de la mise en place en novembre 2016 par l’Assurance maladie du remboursement forfaitaire à hauteur de 150 euros annuels des traitements par substituts nicotiniques contre  euros avant. L’effet de cette mesure n’aurait pas été immédiat puisque, en novembre et en décembre 2016, les ventes équivalaient à 200 000 personnes sous traitements substitutifs. Ce n’est qu’à partir de janvier qu’elles ont bondi pour atteindre l’équivalence de 240 000 personnes sous traitements substitutifs.

Sources : seronet.info

C’est une première en France. L’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) a ouvert une consultation dédiée à la prise en charge des complications associées aux tatouages (allergies, infections, inflammations, etc.) Cette consultation fonctionne depuis avril dernier à l’hôpital Bichat-Claude Bernard dans le service de dermatologie du professeur Vincent Descamps. Cette consultation inédite proposera un diagnostic et une prise en charge des complications associées aux tatouages. Des inflammations, des infections (bactériennes communes, virales, mycologiques ou parasitaires) ou des réactions allergiques liées aux produits utilisés et aux conditions hygiéniques de réalisation du tatouage, peuvent survenir, indique un communiqué de l’AP-HP. Un sondage de l’Ifop en janvier 2017 indiquait que 14 % des Français seraient aujourd’hui tatoués. La fréquence réelle des complications cutanées et le risque pour une personne tatouée de développer des complications sont aujourd’hui mal appréciés. C’est le docteur Nicolas Kluger qui anime cette consultation. « L’ouverture de cette consultation permettra de mener des travaux de recherche sur cette problématique aujourd’hui peu explorée », indique-t-il. La consultation proposera des conseils adaptés aux patients souhaitant se faire tatouer. Hôpital Bichat – Claude-Bernard (01 40 25 82 40 / secretariat.dermatologie.bch « @ » aphp.fr).

Sources : seronet.info

A l’occasion de la Journée nationale de lutte contre les hépatites, le 20 juin, l’accélérateur culturel Culture Angels et l’association SOS hépatites lancent le 20 juin 2017 une campagne d’incitation au dépistage du VHC. Dans un communiqué, l’association explique qu’elle lance cette campagne parce que « mettre fin à l’épidémie d’hépatite C en France c’est possible ». Cette campagne, baptisée « savoirCguérir« , utilise « la musique comme vecteur de fédération ». C’est la chanteuse Jewly, marraine de SOS hépatites depuis trois ans, qui prête sa voix au projet avec le musicien britannique Phil Spalding. Le 20 juin, 10 000 singles seront distribués gratuitement. L’hépatite C concerne encore de nos jours 230 000 personnes en France, note SOS hépatites, qui souligne que les traitements actuels permettent de guérir plus de 95 % des personnes atteintes avec l’élimination définitive du virus. A condition, bien entendu, de savoir que l’on est porteur de la maladie, ce qui n’est pas souvent le cas car elle est souvent ignorée car silencieuse le plus souvent, rappelle l’association.

Sources : seronet.info

La Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) a sortie un guide d’appui pour l’élaboration de réponses aux besoins des personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine, fruit d’un travail mené avec des associations dont : ARCAT, Act Up Paris, AIDES, le TRT5, le COREVIH Ile-de-France Est et la FNHVIH.

Ce guide pédagogique et technique doit permettre à chaque acteur (personnes concernées, professionnels des MDPH, professionnels de santé, du secteur médico-social, et associations ) de comprendre les missions des Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH) et d’identifier les informations nécessaires à l’évaluation de la situation et des besoins des personnes vivant avec le VIH, en vue d’élaborer des réponses adaptées.

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Sources :