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Actions Traitements recrute un.e psychologue à temps partiel
Actions Traitements est une association de loi 1901, agréée par le ministère de la Santé pour représenter les usagers du système de santé. Elle informe, soutient, accompagne et défend les droits des personnes vivant avec le VIH et/ou une hépatite virale et celles qui les accompagnent depuis plus de 30 ans. Pour ce faire, elle propose une permanence téléphonique et d’accueil, des réunions d’information mensuelles, un programme d’éducation thérapeutique (ETP) et développe différents outils d’information thérapeutique (brochures, dépliants, site Internet, applications pour smartphones).
Dans le cadre d’un remplacement congé maternité, Actions Traitements recrute un.e psychologue à temps partiel (1 journée toutes les deux semaines ou une demi-journée par semaine).
Au sein d’un petite structure associative et plus particulièrement de l’équipe d’Éducation Thérapeutique du Patient, vous aurez pour mission de :- Accompagner les usager.e.s sur le plan psychologique dans le c
MANIFESTE - APPEL à signatures - VIH : Allaiter ou pas ? Permettre aux femmes de choisir
Par : Le Comité des Familles, Dessine-moi un mouton, Actions Traitements
Le texte que nous vous proposons aujourd’hui de soutenir est une synthèse des constats et des pistes discutés lors de la 6 ème rencontre organisée par le Comité des Familles en collaboration avec Dessine-moi un mouton et Actions Traitements , le 12 octobre 2021 sur le sujet de VIH et Allaitement.
LIRE ET SIGNER notre manifeste
sur mesopinions.com en cliquant ICI
L’objectif premier de ce documentest de fournir des axes de réflexionsau groupe d'experts chargé d'élaborer de nouvelles recommandations sur l'allaitement dans le cadre de l'actualisation 2022 des recommandations sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH. La dernière actualisation du rapport dirigé par le Professeur Philippe Morlat sur la « Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH – Recommandations du groupe d’experts » remonte à 2017.On sait traiter l'infection par le VIH, mais pas la sérophobie
Source : Komitid L'association AIDES, à l'origine de la journée contre la sérophobie, samedi 30 avril, veut "rendre visible ces discriminations, sensibiliser le public", y compris dans l'usage des mots, explique Camille Spire, présidente.
“J’ai toujours autant d’appréhension avant d’en parler” : Nicolas, séropositif, déplore les discriminations dont les personnes porteuses du VIH sont victimes. Plus de trente ans après le début de l’épidémie, on sait traiter la maladie mais la sérophobie, elle, continue de sévir.
Cet habitant du Pas-de-Calais, âgé de 27 ans et qui ne souhaite pas donner son nom de famille, a appris sa séropositivité en 2015. “Au début, je me suis isolé. Puis j’ai décidé de continuer à vivre ma vie”, et de prendre la parole sur les réseaux sociaux, raconte-t-il à l’AFP. Dans la vie quotidienne, seuls ses très proches sont au courant.
Il se présente sur les réseaux sociaux comme “HIV activist” et dit recevoir beaucoup de “messSidaction 2022 : La vie avec le VIH, toujours un combat quotidien
Source : Transversal mag L’infection par le VIH, épidémie banalisée ? Certes, en quarante ans, les perspectives de vie ont radicalement changé pour les personnes touchées. Pourtant, le VIH demeure une lutte de tous les jours, aux nombreuses conséquences sociales et psychologiques.
En 2022, vivre avec le VIH ne signifie évidemment pas la même chose qu’en 1982 : jusqu’à l’arrivée des trithérapies, en 1996, l’annonce d’une séropositivité équivalait à une condamnation à mort. Une mort qui survenait en quelques années, voire en quelques mois si le diagnostic était posé au stade sida. Il aura fallu attendre les années 2000 pour que de premières études confirment le retour à une espérance de vie normale des personnes traitées. Quant au risque de transmettre le VIH, il a d’abord été levé pour la transmission de la mère à enfant, puis pour les partenaires sexuels, grâce à la reconnaissance du rôle préventif du traitement anti-VIH à la fin des années 2000 (TasP ou traiteSondage Sidaction 2022 - Alerte : la jeunesse est de moins en moins bien informée sur le VIH/sida
Source : Têtu Magazine Avant son week-end 2022 de mobilisation (du 25 au 27 mars), Sidaction révèle un sondage montrant que les jeunes connaissent de moins en moins le VIH/sida. Et sur ce sujet, l'école ne joue pas son rôle. L'information est pourtant cruciale dans le lutte contre cette pandémie.
Il faut d'urgence informer les jeunes sur le VIH/sida. C'est le message que Sidaction cherche à faire passer quelques jours avant son week-end annuel de mobilisation et de collecte de dons, du 25 au 27 mars. Car les chiffres appellent à un sursaut : un jeune sur trois (31%) estime être mal informé sur l'épidémie, quand c'était un sur 10 (11%) il y a dix ans, rapporte un sondage Ifop* pour Sidaction rendu public ce lundi 21 mars.
Trois séances d'éducation à la sexualité par an sont pourtant inscrite dans les programme scolaires du primaire au lycée. Ces séances visent informer sur le VIH, bien sûr, mais aussi à aborder les notions de consentement, de respect du corps et deVIH : le dépistage en laboratoire est désormais gratuit, sans ordonnance, ni avance de frais
Source : Allo Docteurs Après avoir été testé deux ans à Paris et dans les Alpes Maritimes, le dispositif "VIH-test" est entré en vigueur le 1er janvier 2022. Il vise à faciliter l'accès au dépistage.
"Au labo, sans ordo" pour un dépistage du VIH. Depuis juillet 2019, ce dispositif était expérimenté dans tous les laboratoires de biologie médicale de Paris et des Alpes-Maritimes. Depuis le 1er janvier 2022, il est désormais appliqué à l’échelle nationale sous le nom de "VIH- test". Qui est concerné par le "VIH-test" ?
Ce dispositif s'adresse à tous les assurés sociaux et leurs ayants droit mais également les bénéficiaires de l’aide médicale d’État (AME).
Pour "les personnes sans couverture sociale, ainsi que les assurés sociaux ou bénéficiaires de l’AME désirant garder l’anonymat, ils doivent s'adresser pour la réalisation du test aux centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic", détaille l’Assurance maladie. DépUne, deux ou trois doses de Gardasil® confèrent la même protection contre HPV 16 et 18
Source : Medscape
Pas besoin de répéter les injections de Gardasil ® quadrivalent pour majorer son effet protecteur. Une seule dose suffit. La vaccination dans les pays en développement devrait être facilitée.
Une seule dose de vaccin quadrivalent Gardasil ® prévient aussi bien les infections contre les HPV 16 et 18 que deux ou trois doses après un suivi de 10 ans, selon les résultats d'une étude menée en Inde et publiés dans Lancet Oncology[1].
Dans une nouvelle étude, Partha Basu (Centre international de recherche sur le cancer Circ à Lyon) et ses collègues ont cherché à comparer l'efficacité d'une seule dose de Gardasil ® à deux et trois doses pour prévenir les infections HPV 16 et 18 qui sont les plus souvent impliquées dans la genèse des dysplasies ou des cancers du col de l'utérus et d'autres pathologies néoplasiques (cancer de la gorge ou du canal anal).
Le protocole prévoyait le recrutement de 10 000 participantes Indiennes non mariées de 1Antirétroviraux «long acting» en injection: plus qu’un nouveau mode d’administration ?
Source : VIH point ORG
Depuis le 21 décembre 2021, une nouvelle combinaison de deux antirétroviraux (rilpivirine et cabotégravir), injectable tous les deux mois, est commercialisée par le laboratoire ViiV Healthcare pour le traitement de l’infection par le VIH, après avoir obtenu son autorisation européenne de mise sur le marché en décembre 2020.
Est-ce une révolution galénique? Un élargissement de l’offre de soins en thérapeutique antirétrovirale? Un changement de paradigme ? Dans tous les cas, la sortie de l’association cabotégravir et rilpivirine en injection intramusculaire tous les deux mois, annoncée par voie de presse le 20 octobre 20211, est attendue par un nombre conséquent de personnes vivant avec le VIH (PVVIH).
Le premier constat à la source de la création de cette association de deux molécules, un inhibiteur d’intégrase et un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase reverse, développée en profil d’action prolongée («long a