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Brèves
Variole du singe : le Comité de veille appelle à se préparer à une éventuelle reprise
Source:komitid.fr
"Si les comportements se relâchent et que la couverture vaccinale reste insuffisante", le Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires n'exclut pas un "rebond de l'épidémie".
Le scénario “le plus probable” pour la variole du singe est la poursuite d’une épidémie “à bas bruit”, avec, à moyen et long terme, un risque de reprise, selon un avis du Comité de veille publié lundi et préconisant de mieux s’y préparer.
“L’épidémie actuelle décroît de façon majeure”, mais il “reste difficile” d’évaluer les risques de rebond ou de résurgence de la variole du singe en raison d’“un grand nombre d’inconnues”, note le Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars), successeur du Conseil scientifique, présidé par l’immunologue Brigitte Autran.
En France, quelque 4 100 cas ont été enregistrés jusqu’alors pour mpox, nouvelle appellation de la maladie (de monkeypox, en anglais) annoLe Fonds mondial s'inquiète de l'impact du changement climatique sur les maladies infectieuses
Source: letemps.ch
Le paludisme connaît une recrudescence «avec les inondations au Pakistan», selon le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. La propagation de la tuberculose parmi les personnes déplacées inquiète également
Le changement climatique finira par tuer des gens en faisant prospérer les maladies infectieuses, alerte mardi le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. En 2022, le Fonds a été témoin de «l'escalade de l'impact» du changement climatique sur la santé, a assuré son directeur exécutif Peter Sand.
Alors que la recrudescence du paludisme était jusqu'à présent due à la fréquence croissante et aux ravages des tempêtes tropicales, «avec les inondations au Pakistan, elles ont pris une toute autre ampleur», a-t-il souligné.
«Le mécanisme par lequel le changement climatique finira par tuer des gens est son impact sur les maladies infectieuses», a mis en avant Peter Sands, en précisLe 1er décembre, tous unis contre le sida
Source: saint-etienne.fr
Labellisée « Ville engagée contre le sida » depuis 2019, Saint-Étienne poursuit sa mobilisation à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre ce virus avec un seul mot d'ordre : amplifier les messages de prévention.
Un ruban rouge sur le fronton de l'Hôtel-de-Ville, voilà une action symbolique que mène la Ville de Saint-Étienne pour afficher sa mobilisation contre le virus du sida. Ce ruban sera bien là jeudi 1er décembre, mais le temps fort se déroulera en fin de journée. Un village des associations sur la place Jean-Jaurès
Dès 18 h 30, un village associatif sera dressé à côté du kiosque, en partenariat avec la Ville. Il réunira Aides, Enipse, le Planning familial, Triangle rose, Transaide, Démineurs, Face à Face, l'Adems (Association des étudiants en médecine de SaintÉtienne), avec les CeGIDD (Centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic des infections du VIH et des IST).
Ce village ap1er décembre : demandez le programme !
Source: seronet.info
La Journée mondiale de lutte contre le sida a lieu chaque année le 1er décembre depuis 1988, à l’initiative de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). C’est un rendez-vous important pour les militants-es de la lutte contre le VIH avec des marches, des actions et des stands de prévention, dans la plupart des villes. Seronet vous propose une sélection, non exhaustive, d’événements prévus en France cette année. Des mots contre l'oubli à Paris
Les Amis-es du Patchwork des Noms organisent une lecture de lettres écrites par les personnes qui ont créé des patchworks pour leurs proches décédés-es des suites du sida, pour exprimer leur douleur, leur colère, leur souvenir. Des lettres qui résonnent aujourd'hui sur les avancées obtenues et les combats à mener. Les lectures seront accompagnées de projection de photos de patchworks et de vidéos de déploiement, entrecoupées de fonds musicaux. Samedi 26 novembre de 18h30 à 20h30 à La MutinVIH indétectable = VIH intransmissible : le risque zéro existe et il est urgent de le faire savoir
COMMUNIQUÉ DE PRESSE, à l'approche de la journée mondiale de lutte contre le VIH-sida
Paris, le 30 Novembre 2022.
Parmi les acteurs et actrices de la lutte contre le VIH-sida, personne n’ignore ce que représente le Rapport Hirschel (ou « Avis suisse »). Le 1er décembre 2007, il y a quinze ans jour pour jour, il affirmait pour la première fois qu’une personne vivant avec le VIH, avec un traitement efficace et une charge virale indétectable, ne transmettait pas le virus à ses partenaires. Cette annonce aurait dû révolutionner la prise en charge du VIH et sa prévention. Or, quinze ans plus tard, les sondages d’opinions se succèdent et avec eux ce triste constat : l’information ne se diffuse pas auprès du grand public, des professionnels de santé ou de l’action sociale… qui restent marqués par des représentations datant des années 1980-1990 concernant le VIH.
Pourtant les preuves scientifiques irréfutables ne manquent pas. De l’essai HPTN 052 (2011) auxEnquête Actions Traitements sur le vaccin contre la grippe saisonnière
Source : Hajime
La campagne annuelle de vaccination contre la grippe saisonnière est ouverte depuis le 18 octobre 2022 et se terminera le 31 janvier 2023. Comme chaque année, le premier mois de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière permet aux personnes les plus fragiles de se faire vacciner en priorité. Actions Traitements en profite pour renouveler son engagement en faveur des vaccins recommandés pour les personnes vivant avec le VIH et/ou une hépatite virale, dont le vaccin contre la grippe saisonnière fait partie.
À cette occasion, nous vous proposons de participer à cette enquête, conçue en partenariat avec l'institut Hajime AI, une jeune entreprise crée par des psychologues sociaux afin d’améliorer le parcours des patients touchés par des pathologies chroniques. L'objectif est de partager votre ressenti vis-à-vis du vaccin contre la Grippe saisonnière.
Cette enquête est destinée aux personnes vivant avec le VIH. Elle est totalement anonyme,La visibilité, une arme contre la sérophobie
Source: seronet.info
Juin 2022, une maison dans un quartier résidentiel de la banlieue de Lyon. Andréa nous accueille chez elle dans son intimité familiale, entourée de son mari et de ses trois enfants. La jeune femme franco-ivoirienne a soigné son look et son arrivée en descendant les escaliers qui mènent au salon, dans sa superbe robe rouge. « Est-ce que ça va mes cheveux ? » nous demande-t-elle. À 30 ans, Andréa est devenue l’une des figures les plus visibles de la lutte contre la sérophobie, que ce soit en Côte d’Ivoire ou en France. Rencontre. Quelles étaient vos connaissances et représentations du VIH avant d’être vous-même concernée ?
Andréa : Je connaissais les modes de transmissions, mais j’ignorais tout des traitements ou encore de la différence entre VIH et sida. En tant que jeune femme avec un accès à l’éducation et issue d’un milieu social confortable, je ne me sentais pas concernée par le VIH. Pour moi, c’était une maladie qui concernait pKinshasa : 20 ans après une prise en charge gratuite des personnes vivant avec VIH, MSF note des progrès mais d'immenses défis restent à relever
Source: actualite.cd
Médecins Sans Frontières a présenté ce mardi 15 novembre 2022 le bilan 20 ans de prise en charge gratuite des personnes vivant avec le VIH à Kinshasa. Il s'agit d'un anniversaire en demi-teinte pour l'organisation et les patients malgré des progrès enregistrés en RDC au cours des vingt dernières années. En effet, lorsque les équipes de MSF ouvraient en mai 2002 le tout premier centre de traitement gratuit dans la commune de Lingwala à Kinshasa, la situation était critique: plus d'un million d'hommes, femmes et enfants, vivent alors avec le VIH en RDC, et le virus y tue entre 50 000 et 200 000 personnes chaque année, selon l'ONU-SIDA.
" À l'époque, être infecté par le VIH équivalait pour beaucoup à une condamnation à mort. Les traitements ARV étaient extrêmement rares dans le pays, et leur prix empêchait une écrasante majorité de patients d'en bénéficier. MSF a été la première organisation à introduire le traitement A