Source: futura-science.com
Une collaboration scientifique entre les États-Unis et l’Australie a permis de découvrir que le VIH laisse des traces permanentes dans les cellules qu’il infecte.
Les scientifiques de l’université George-Washington et leurs collègues australiens ont découvert que le VIH modifie durablement les cellules immunitaires, exposant l’organisme à une inflammation chronique qui ne disparaît pas avec la suppression de l’infection par des médicaments. C’est la protéine Nef qui est à l’origine de ce mécanisme ; celle-ci n’est pas nécessaire à la réplication du virus mais indispensable à sa virulence.
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