Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
Fonds mondial Afghanistan

Source : Theglobalfund

Genève/Kaboul – Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial) a approuvé une aide d’urgence de plus de 4,7 millions de dollars US, qui servira à fournir des services de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme au 1,3 million d’Afghanes et d’Afghans vivant au Pakistan qui devront retourner dans leur pays au cours de la prochaine année. 

Cette somme de 4,7 millions de dollars US en fonds d’urgence vient s’ajouter à une subvention de 66 millions de dollars US lancée le 1er janvier 2024 pour une période de trois ans. La subvention est mise en œuvre par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

« Il est prévu que 1,3 million de personnes reviendront au pays, ce qui représente plus de 3 % de la population de l’Afghanistan, précise Annelise Hirschmann, directrice du Département Asie, Europe orientale, Amérique latine et Caraïbes du Fonds mondial. Cette augmentation subite de la population, en particulier dans les régions rurales et difficiles d’accès à la frontière du Pakistan, constitue un risque épidémiologique qui ne pourra être maîtrisé sans un renforcement des services essentiels de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. »

Les fonds d’urgence seront utilisés comme suit :

  • Paludisme : diagnostics, fourniture de moustiquaires imprégnées d’insecticide de longue durée aux personnes qui s’installent dans des régions à forte prévalence du paludisme, et séances de formation pour les personnes vivant dans des provinces à faible risque, dans le but d’éviter que les personnes en provenance de régions à haut risque au Pakistan ne propagent la maladie.
  • Tuberculose : établissement à la frontière de points de services de santé équipés de matériel de dépistage, expansion de la recherche active de cas, et intégration des activités de transport des échantillons, de prévention et de traitement.
  • VIH : dépistage volontaire aux points de passage à la frontière, services d’accompagnement psychologique, et continuité du traitement des personnes déplacées.

Pour la lire la suite de l’article cliquez ici : Theglobalfund

VIH SIDA GABON

Source : GMT

Alors que le traitement du VIH/Sida nécessite une prise quasi quotidienne d’antirétroviraux, il est à déplorer que certains patients semblent éprouver un désintérêt à suivre méticuleusement ces recommandations. Toute chose qui contribuerait inexorablement à une hausse du taux de contamination mais aussi de décès liés à cette maladie. La preuve, ce sont plus de 12 000 malades enregistrés, selon l’Enquête démographique de santé (EDS) 2022.

L’infection au VIH exige un traitement continu qui nécessite d’être pris continuellement. Malheureusement la forte croyance aux tradipraticiens et la stigmatisation rendent le problème encore plus complexe, favorisant le nombre très important de perdus de vue qui s’élève à plus de 12 000 malades de VIH/Sida sur l’étendu du territoire. Toute chose qui constitue une sérieuse menace pour la réussite de la prise en charge des Patients Vivant avec le VIH (PVVIH), mais également pour les personnes avec lesquelles ils sont fréquemment en contact. 

L’ONUSIDA affirme que « le Gabon dispose des atouts et avance à petit pas mais sûrement dans sa réponse au VIH », assurant que le pays peut reprendre la trajectoire visant à éliminer le sida d’ici à 2030. Si cette affirmation semble encourageante, cependant le phénomène des perdus de vue demeure la principale menace qui complique la lutte contre le VIH/Sida dans notre pays, en raison d’une prise en charge thérapeutique tardive ou inadaptée. 

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : GMT

vieillissement prématuré VIH

Source : Ma Clinique

Le professeur agrégé de l’Institut Wistar Mohamed Abdel-Mohsen, Ph.D., a démontré, avec son laboratoire et ses collaborateurs, un lien entre les dommages viraux à l’intestin et le vieillissement biologique prématuré. Le groupe a découvert que ce lien pro-vieillissement peut contribuer à la fois à la perméabilité intestinale et au vieillissement prématuré des tissus systémiques et intestinaux chez les personnes vivant avec une infection chronique par le VIH, et leur découverte est détaillée dans l’article récemment publié intitulé « Signatures microbiennes intestinales distinctes liées à une accélération du vieillissement ». Vieillissement biologique systémique et intestinal », publié dans la revue Microbiote.

Quand les corps des gens vieillissent plus vite que leurs années chronologiques – ; une condition connue sous le nom de vieillissement biologique accéléré – ; ils deviennent plus vulnérables aux problèmes de santé graves généralement observés chez les personnes âgées, notamment les cancers, les maladies cardiaques, les troubles cérébraux, les infections graves et l’efficacité réduite des vaccins. Le Dr Abdel-Mohsen étudie les causes de ce vieillissement rapide et comment créer des moyens de ralentir le vieillissement biologique et d’améliorer la santé.

L’un des principaux suspects dans ce casse-tête du vieillissement est le microbiome intestinal et sa fuite potentielle dans la circulation sanguine. Le laboratoire Abdel-Mohsen étudie comment les fuites intestinales peuvent avoir un impact sur le système immunitaire et conduire à une inflammation chronique, susceptible d’accélérer le vieillissement.

Pour approfondir cette question, le Dr Abdel-Mohsen et ses collègues ont analysé des échantillons provenant de personnes vivant avec une infection chronique au VIH. On sait que vivre avec une infection chronique au VIH peut potentiellement accélérer ou accentuer l’âge biologique, ce qui en fait un excellent modèle pour étudier les mécanismes de l’âge biologique accéléré chez les personnes vivant avec des maladies chroniques.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : Ma Clinique

Lutte VIH Guinée

Source : MSN

Médecins Sans Frontières (MSF) a ouvert son premier projet de prise en charge des personnes séropositives à travers des traitements antirétroviraux en 2003. L’institution sanitaire a célébré ses 20 ans de lutte contre le VIH ce jeudi, 15 février 2024, à la Blue zone de Dixinn (Conakry), a constaté Guineematin.com à travers son reporter dépêché sur place.

Prenant la parole, le coordinateur du projet VIH-Tuberculose de Médecins Sans Frontières, a dressé le bilan des activités réalisées. « Pendant les 20 ans, la première des choses que je peux dire, donc nous avons instauré la mise en de la prise en charge gratuite. Nous avons fait un temps d’efforts de tout ce qui est suivi biologique pour amener une rénovation en collaboration avec le ministère. Nous avons fait des formations du personnel du ministère, ensuite on a renforcé les capacités des membres de la société civile et nous avons accompagné tout ce qui est programme des ateliers de subvention avec le fond mondial. En termes de données, 16 661 patients vivent avec le VIH. Je peux ajouter qu’il y a des modèles différentiels de prise en charge que nous avons apportés : d’abord le poste de distribution des antirétroviraux dans la sous-région. La Guinée est le premier pays qui a ce modèle de produit. Ce produit est géré par les membres des associations de dépistage et qui servent aussi à donner des antirétroviraux. Nous avons apporté un plus par rapport à la prise en charge du VIH avancé, et là nous avons une unité de formation recherche qui s’appelle Donka et c’est là-bas où nous prenons en charge le VIH avancé au niveau de la ville de Conakry », a indiqué Hippolyte Mboma Kamossi.

Le coordinateur a ensuite, énuméré les défis pour faciliter la prise en charge effective des personnes vivant avec le VIH. « Les défis pour le Gouvernement, on ne peut pas faire des prises en charge si on a pas les moyens, cela signifie que le gouvernement doit mettre le paquet pour que cette prise en charge soit effective. Les centres de santé qui doivent nous accompagner doivent être subventionnés par l’État. Notre part, c’est la formation continue. Nous devons continuer avec la formation et nous avons des perspectives de sortir des centres de santé mais avant de sortir nous avons un cadre de concertation, un cadre d’évaluation conjointe avec notre partenaire qui est la division régionale de santé de la ville de Conakry…Nous évaluons les indicateurs et nous faisons des recommandations pour que les centres soient autonomes dans cette prise en charge »,  a-t-il conclu.

Venu représenter le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, le chef de Cabinet a exprimé sa joie. Il a salué Médecins Sans Frontières et les autorités guinéennes pour les efforts déployés dans le domaine sanitaire.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : MSN

Doxycycline prévention

Source : CATIE

Des essais cliniques bien conçus ont révélé que la prise de l’antibiotique doxycycline après les relations sexuelles pouvait réduire considérablement le risque de contracter des infections transmissibles sexuellement (ITS) d’origine bactérienne, telles que la chlamydiose, la gonorrhée et la syphilis.

Pour une étude menée en France, on a recruté 232 hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (hommes gbHARSAH). Les participants en question suivaient également une prophylaxie pré-exposition contre le VIH (PrEP). Selon l’équipe de recherche, les participants qui prenaient 200 mg de doxycycline dans les 24 heures suivant une relation sexuelle sans condom étaient moins susceptibles de contracter la chlamydiose (70 %) et la syphilis (73 %). En ce qui concerne la gonorrhée, aucun effet n’a été constaté parce que, de façon générale en France, la bactérie qui cause cette infection a acquis la capacité de résister à la doxycycline et aux antibiotiques apparentés.

Lors d’un essai clinique mené aux États-Unis auprès de personnes séropositives et séronégatives, on a évalué l’efficacité d’une dose de 200 mg de doxycycline prise dans les 72 heures suivant une relation sexuelle sans condom. Les participant·e·s incluaient 174 personnes séropositives et 327 personnes séronégatives. Toutes les personnes séronégatives suivaient une PrEP. Les personnes inscrites à cette étude étaient soit des hommes gbHARSAH, soit des femmes trans. On a constaté que la doxycycline réduisait d’environ les deux tiers le risque de syphilis, de chlamydiose et de gonorrhée, ce qui est très considérable.

Dans ces études menées en France et aux États-Unis, la doxycycline s’est révélée sécuritaire et la motivation des participant·e·s à s’en servir était forte, de sorte que leur taux d’observance était élevé. Dans l’étude américaine, qui était plus récente et de plus grande envergure, les participant·e·s avaient recours à la doxycycline trois ou quatre fois par mois en moyenne.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : CATIE

VIH IST actus

Source : AIDES REMAIDES

Un nouvel essai clinique qui teste la Prep par lavement rectal, le succès de Dry January en France, la campagne de vaccination de la grippe prolongée d’un mois. Les sujets importants sur le VIH et les IST n’ont pas manqué ces derniers jours. La rédaction de Remaides fait le point.

Une Prep par lavement rectal?

Un lavement rectal, également appelé lavage intestinal ou lavement anal, est une procédure médicale ou d’hygiène intime qui implique l’introduction d’un liquide dans le rectum (la dernière partie du côlon) par l’intermédiaire de l’anus. Cette procédure est généralement réalisée dans le but de nettoyer le rectum et le côlon, soit à des fins médicales, telles que la préparation à une intervention chirurgicale ou un examen médical, soit à des fins d’hygiène intime et de confort personnel, notamment pour soulager la constipation ou avant une pénétration sexuelle anale réceptive. Il est important de noter que l’utilisation de lavements rectaux à des fins d’hygiène personnelle devrait être effectuée avec précaution car un usage excessif peut avoir des effets néfastes sur la santé intestinale. En cas de besoin médical, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils appropriés.

Partant du principe que le lavement rectal était une pratique courante chez les hommes ayant des rapports sexuels anaux réceptifs, des chercheurs-ses se sont posé la question de créer un produit de lavement contenant une Prep VIH à base de ténofovir. Cette nouvelle méthode pourrait être une alternative prometteuse à la Prep par voie orale ou injectable, selon les résultats d’un essai de phase 1 mené aux États-Unis, justifiant ainsi la poursuite de leur développement rapporte le site The Body Pro.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : AIDES REMAIDES

VIH financement tests

Source : Journal le Guide

L’initiative consistant à fournir partout au Canada des tests de dépistage du VIH à effectuer à domicile semble en péril, car son financement prendra fin le mois prochain, alors que les infections à ce virus augmentent au Canada.

Le gouvernement du Canada a fait savoir qu’il envisageait de mettre fin au programme d’autotests, selon Sean Rourke, un scientifique qui était l’un des chercheurs principaux d’une étude qui a contribué à l’approbation des tests au Canada. M. Rourke est également directeur de REACH Nexus aux Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et un chercheur à l’hôpital St. Michael de Toronto. Cet hôpital facilite l’achat et la distribution de la plupart des tests.

Pour utiliser le test appelé INSTI, il suffit d’utiliser une goutte de sang pour fournir des résultats en une minute, environ. Le programme devait être élargi pour inclure un test de dépistage du VIH et de la syphilis, qui a été approuvé par Santé Canada l’année dernière.

De nombreux travailleurs de première ligne affirment que les tests changent la donne en stoppant la hausse des nouveaux diagnostics de VIH. Il y a eu 1833 nouveaux diagnostics au Canada en 2022, ce qui représente une augmentation de près de 25 % par rapport à l’année précédente.

Les responsables de la santé publique de Montréal en ont enregistré 310 en 2022, soit une augmentation de 120 % par rapport à 2021, ce qui a représenté le plus grand nombre de nouveaux cas signalés en une décennie.

On estime que des milliers d’autres personnes à travers le Canada ne sont pas diagnostiquées.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : Journal le Guide

Afrique programme anti sida

Source : 20minutes

Les chefs d’Etats africains vont demander instamment aux Etats-Unis le renouvellement du principal programme américain de lutte contre la propagation du VIH-sida, a annoncé dimanche à Addis Abeba le patron du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC Afrique) de l’Union africaine.

Lancé en 2003 par George W. Bush, le PEPFAR (Plan présidentiel d’urgence de lutte antisida) est l’un des principaux contributeurs mondiaux en matière de lutte contre le sida (tests, éducation ou traitements).

Le programme bénéficiait jusqu’il y a peu d’un large soutien du Congrès américain, mais récemment, les parlementaires américains ne l’ont pas renouvelé pour cinq ans supplémentaires, du fait de controverses sur l’avortement.

Les chefs d’Etat africains « vont envoyer un message clair demandant la réautorisation du PEPFAR », a déclaré à la presse Jean Kaseya, directeur du CDC-Afrique, en marge du Sommet de l’UA qui se tient samedi et dimanche à Addis Abeba.

Pour lire la suite cliquez ici : 20minutes

Expulsion homme VIH

Source : Politis

14 février 2024

Visée par une OQTF, la personne pourrait être expulsée vers la République démocratique du Congo. Un pays où « il ne pourra pas bénéficier des soins et du suivi » nécessaires, estiment plusieurs associations mobilisées, pour lesquelles il s’agit d’une « mise en danger avérée ».

« Le juge m’a libéré ! » Lundi 12 février, Pascal* apprend qu’il peut enfin quitter le centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot, où il vient de passer les deux derniers mois. Mais le soulagement ne dure qu’un instant : sa liberté, il ne la doit qu’aux autorités consulaires congolaises qui n’ont pas répondu à la demande de laissez-passer de la préfecture de l’Essonne.

*Le prénom a été changé.

Sans garantie de pouvoir l’éloigner du territoire dans les quinze prochains jours, le juge des libertés et de la détention (JLD) a décidé, dans ces conditions, de ne pas prolonger son enfermement. Néanmoins, l’obligation de quitter le territoire (OQTF) dont il fait l’objet court toujours. Alors très vite, Pascal en revient à ses inquiétudes. « Le magistrat m’a donné sept jours pour quitter la France, mais mercredi, j’ai rendez-vous à l’hôpital. Cette semaine, je vais pouvoir y aller. Mais après ? »

Si je suis renvoyé, qu’est-ce qu’il va se passer pour moi ? Pascal

L’homme de 45 ans est originaire de la République démocratique du Congo (RDC). Il vit en France depuis 12 ans. En 2016, il apprend qu’il est porteur du VIH. Il souffre aussi d’autres comorbidités associées. Une gastrite chronique et « des problèmes de prostate », qui nécessitent, elles aussi, des traitements adaptés. Mais sa crainte, en cas de retour en RDC, concerne surtout l’accès à sa trithérapie antirétrovirale : « Mes médecins m’ont expliqué que mon traitement n’était pas disponible. Si je suis renvoyé, qu’est-ce qu’il va se passer pour moi ? »

Le 8 février dernier, alors que Pascal était toujours maintenu en rétention, un communiqué de presse interassociatif s’alarme. La CimadeAct Up-Paris et le Comité pour la santé des exilés (Comede) dénoncent non seulement que « la France enferme et [veuille] expulser une personne atteinte du VIH vers un pays où elle ne peut pas être soignée », mais aussi les multiples entraves à son traitement, au sein même du centre de rétention.

Pour lire la suite de l’article cliquez ici : Politis

Santé des étrangers

Source : corevih Île-de-France Nord

12 février 2024 

En vertu du droit international, les personnes migrantes ont des droits en raison de leur humanité. Le droit à la santé et à sa protection est un droit fondamental inaliénable explicitement inscrit dans plusieurs textes internationaux, européens et nationaux ratifiés par la France, à commencer par notre constitution. Sa garantie est également une obligation légale pour nous soignants (code de la déontologie) et un devoir éthique.

Pourtant, au nom de la lutte contre l’immigration, la société d’aujourd’hui voudrait nous pousser à altérer ce fondement en inscrivant dans la loi une restriction du droit à la santé pour les étrangers sans papiers ou arrivés récemment en France. L’Aide Médicale de l’État (AME) est dans ce contexte de nouveau attaquée. À la suite du vote de la loi immigration par le Sénat en novembre 2023 proposant la réduction de l’AME en Aide Médicale d’Urgence (AMU), la première ministre a missionné deux personnalités politiques, Claude Evin et Patrick Stefanini, pour élaborer un rapport sur l’AME. Ces derniers ont auditionné plusieurs acteurs de santé et associations et ont rendu public leur rapport début décembre 2023. La réforme de l’AME a finalement été retirée de la loi immigration tout en faisant l’objet d’un accord politique prévoyant sa réforme début 2024. La portée du rapport Evin-Stefanini est donc important car il sera le point de départ des discussions de la réforme annoncée. Ce dernier conforte l’intérêt du maintien de l’AME, tout en proposant de réduire à nouveau les soins couverts (via l’instauration de délais de carence) et en proposant d’augmenter les contrôles et la complexité pour y recourir, en contradiction avec le constat de non-recours massif objectivé par l’enquête Premiers pas. Dans le même temps, la loi « pour contrôler l’immigration et améliorer l’intégration » qui a été votée et promulguée le 26 janvier, acte un durcissement des conditions d’accès et de renouvellement du droit au séjour, et facilite l’éloignement des sans-papiers s’étant vus délivrés une obligation de quitter le territoire français.

Pour découvrir la suite de l’article cliquez ici : corevih Île-de-France nord