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Le virus de l’hépatite C (VHC) infecte le foie et y cause de l’inflammation. Au fil du temps, l’inflammation persistante liée au VHC cause la dégradation de cet organe vital parce que les tissus sains sont remplacés par du tissu cicatriciel inutile. Ce processus ne cesse de compromettre le fonctionnement du foie, et des complications risquent de surgir, y compris des infections graves, des hémorragies internes, la dysfonction rénale et un risque accru de cancer du foie.

Le Canada et les autres pays à revenu élevé continuent d’homologuer des thérapies anti-VHC de plus en plus efficaces et de plus en plus tolérables. Plus l’infection au VHC est décelée tôt, plus elle est facile à traiter, d’où l’importance du dépistage régulier. De plus, une fois le diagnostic du VHC posé, les personnes atteintes peuvent prendre des mesures pour prévenir la transmission à d’autres personnes.

Le cas des HARSAH séropositifs

Depuis plus d’une décennie, une éclosion du virus de l’hépatite C sévit parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes (HARSAH) en Europe occidentale, en Amérique du Nord et en Australie. La majorité de ces hommes vit avec le VIH, et le VHC semble se transmettre par les relations sexuelles. Pour une description détaillée des modes de transmission du VHC, consultez ce bulletin de Nouvelles CATIE.

Des chercheurs d’Amsterdam ont suivi un groupe d’hommes séropositifs qui ont été exposés au VHC lors de relations sexuelles. Les chercheurs ont prélevé et analysé régulièrement des échantillons de sang, en plus d’interroger les participants au sujet de leurs comportements. Les hommes sont restés dans l’étude pendant à peu près quatre ans. L’équipe a découvert un retard notable entre le moment de l’exposition au VHC et l’apparition d’anticorps anti-VHC dans le sang des hommes. Compte tenu de ce retard important, les chercheurs recommandent aux médecins et aux infirmiers d’envisager l’usage de tests de recherche du matériel génétique du VHC (ARN) lors du dépistage de l’hépatite C chez les HARSAH, plutôt que les épreuves reposant uniquement sur la recherche des anticorps.

(…)

Lire la suite sur le site de CATIE

—Sean. R Hosein

 

Produit du Réseau canadien d’info-traitements sida (CATIE). Pour plus de renseignements, visitez le site web à l’adresse http://www.catie.ca.

Trois mois c’est très peu. C’est pourtant dans ce délai qu’il faudra trouver des solutions pérennes s’il on veut sauver ce lieu unique, innovant et très efficient en matière de santé sexuelle.

Deux raisons pourraient mettre fin à cette structure de façon brutale.

La première porte sur la question du financement. Malgré une hausse importante et régulière des consultations médicales (dépistages et suivis), nous ne pouvons vivre sans subventions. Plusieurs dossiers déposés pour l’exercice 2014 n’ont pas encore été arbitrés. Nous ne pouvons, à cet instant, que constater le déséquilibre financier de la structure, sans certitude pour l’avenir.

La deuxième raison réside dans le fait que le propriétaire actuel des locaux où est hébergé Le 190, un fond de pension luxembourgeois, a vendu l’immeuble. Nous devons partir d’ici la fin décembre, l’acquéreur ne semblant pas disposé à nous accorder un quelconque délai.

Nous n’avons cessé, ces deux dernières années, de chercher des solutions dans Paris intra-muros. Nous avons rencontré des difficultés avec chaque lieu visité quant à la question des nombreuses normes imposées : accès aux personnes à mobilité réduite, établissement recevant du public, normes thermiques et environnementales,… Le coût de ces mises aux normes porte à chaque fois sur plusieurs centaines de milliers d’euros. L’aide de la région Ile-de-France étant elle-même partielle, et soumise au respect de ces normes.

La possibilité de déménager dans le bien que nous avions ciblé récemment (75011) connait des rebondissements ce jour avec l’annonce de travaux supplémentaires, d’autorisations préalables, de délai de passage de commission,… qui gonflent la facture et nous mettent largement hors-délai.

Devant l’ensemble de ces difficultés, une majorité parmi les administrateurs de SIS-Le 190, réunis le 11 septembre, a souhaité la convocation d’une Assemblée Générale Extraordinaire avec pour ordre du jour la question de la continuité ou de l’arrêt de l’expérience. Cette assemblée aura lieu le 29 septembre prochain.

Chaque jour, le centre de santé sexuelle démontre le bien-fondé de son approche novatrice. Nous ne pouvons pas laisser nos deux mille patients annuels sans solutions de dépistage, d’accompagnement et de suivi.

Le 190 vit une crise de croissance. Nous avons défini nos prochaines voies de développement. Il y a encore tant à faire. Nous restons motivés et déterminés.

Je tiens à remercier et féliciter toute l’équipe du 190, et notamment les salariés qui, malgré cette épreuve, restent plus mobilisés que jamais, et continuent à porter nos convictions communes.

J’en appelle maintenant à la responsabilité de chacun et à la mobilisation de tous. La situation est très urgente.

Franck Desbordes,
Président SIS-Le 190,
Vice-Président de SIS Association (Sida info service)

PDF : le communiqué du 190 

Le groupe américain de biotechnologies Gilead Sciences a autorisé lundi pour 91 pays en développement une version générique de son traitement contre l’hépatite C, très efficace mais si onéreux que seule une infime minorité de patients y a actuellement accès.

Le Sovaldi de Gilead est vendu aux États-Unis 1 000 dollars par pilule, ce qui porte le coût total du traitement de douze semaines – efficace dans plus de neuf cas sur dix – à 84 000 dollars (65 000 euros). « Cette annonce change la donne », a estimé Greg Alton, vice-président exécutif de Gilead, auprès de l’AFP à New Delhi. « Le grand changement, c’est que nous mettons ce traitement à disposition de millions de gens dans le monde », a-t-il ajouté.

Le génériqueur Mylan a annoncé dans un communiqué qu’il avait obtenu de Gilead les droits non exclusifs de fabrication et de distribution du principe actif de ce traitement, le sofosbuvir. Sept fabricants de génériques – tous basés en Inde – bénéficient d’une autorisation similaire (Cadila Healthcare, Cipla, Hetero Labas, Ranbaxy, Sequent Scientific et Strides Arcolab).

Ces fabricants ont indiqué qu’il était trop tôt pour savoir à quel prix ils commercialiseraient le traitement. Gilead estime que le Sovaldi sera accessible en Inde pour 300 dollars par mois, un niveau de prix qui servira de « référence » pour les autres pays.

L’autorisation est valable pour 91 pays en développement où vivent plus de 100 millions de personnes contaminées par le virus de l’hépatite C (soit 54 % des personnes touchées dans le monde). Les modalités financières de l’accord n’ont pas été rendues publiques.

En France, les associations veulent aussi une baisse des prix

En France, les associations estiment que la décision de Gilead ne résout pas le problème de millions de patients de pays aux revenus plus élevés qui n’auront pas accès au traitement. « Nous saluons la volonté des fabricants de génériques de renforcer la production de ces nouveaux antiviraux à action directe », a déclaré Rohit Malpani, de Médecins Sans Frontières. Mais cet accord « prive des millions de malades de l’hépatite C de tarifs abordables, ce qui n’est pas acceptable », a-t-il ajouté.

La commercialisation du sofosbuvir a été autorisée en décembre 2013 par les autorités sanitaires américaines et en janvier 2014 par leurs homologues européennes. En juillet, quatorze pays européens, dont la France, se sont alliés pour négocier une baisse de prix du traitement de Gilead. La ministre française de la Santé Marisol Touraine avait annoncé que les négociations se feraient pays par pays mais que les 14 pays échangeraient leurs informations pour obtenir une baisse de prix de ce traitement qui, sinon, coûterait des « milliards » d’euros à la sécurité sociale.

Un collectif associatif* estime que « pour pouvoir traiter les 128 000 personnes qui ont un besoin urgent en France, il faudrait débourser l’équivalent de l’intégralité du budget 2014 de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) soit 7 milliards d’euros ». Il demande aux autorités de « soumettre le Sovaldi au régime de la licence d’office, qui permettrait d’en produire une version générique à un moindre coût ». Ce dispositif prévu dans le cadre des flexibilités de l’accord international sur les droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) est également possible dans le code de la propriété intellectuelle français.

Dr Lydia Archimède (avec AFP)

* Actions Traitements, Act Up Paris, Act Up Sud-Ouest, Aides, Arcat, ASUD CHV, CISS, Comede, Médecins du Monde, Dessine-moi un Mouton, Nova Dona, SIS association, Sol En Si, SOS Hépatites Fédération, TRT-5

Communiqué – le 16 Septembre 2014

L’arrivée de nouveaux traitements contre l’hépatite C permet d’espérer l’éradication du virus chez la quasi-totalité des malades. Mais les tarifs exigés actuellement par les laboratoires ne le permettront pas car ils conduiront les autorités françaises à mettre en place une véritable stratégie de rationnement qui créera une inégalité d’accès aux soins intenable dans la durée.

Le cas du sofosbuvir, première de ces molécules prometteuses, commercialisée par le laboratoire Gilead sous le nom de Sovaldi, est emblématique de cette situation. Le prix initialement exigé est de 56 000 € le traitement (12 semaines) pour un coût maximal de production estimé à 80 Euros. Pour pouvoir traiter les 128 000 personnes qui ont un besoin urgent en France, il faudrait débourser l’équivalent de l’intégralité du budget 2014 de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) soit 7 milliards d’euros[1]. Sans compter que cette molécule doit, dans de nombreux cas, être prise pendant 6 mois et associée à un autre médicament, entrainant un coût total de 147 000 euros par personne, selon les exigences actuelles des laboratoires.

Si les dernières négociations engagées ce mois-ci pour la fixation du prix entre Gilead et le Comité économique des produits de santé (CEPS) aboutissent dans le sens voulu par le laboratoire, les répercussions seront lourdes pour l’ensemble des pathologies et des molécules innovantes à venir. Se pose de fait la question de la mécanique de fixation des prix des médicaments, tant sur le plan de la transparence que sur celui des arguments avancés pour justifier des prix aussi exorbitants.

Dans le contexte social et économique actuel et en particulier son retentissement sur la santé des populations, nos associations et collectifs ont demandé aux autorités de soumettre le Sovaldi au régime de la licence d’office, qui permettrait d’en produire une version générique à un moindre coût.

Ce mécanisme, rendu possible dans le cadre des flexibilités de l’accord international sur les droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) est également prévu dans le code de la propriété intellectuelle français. Certains pays européens ont déjà eu recours aux licences d’office pour de nombreux médicaments permettant de faire chuter  considérablement les prix et contribuer ainsi à la lutte contre les inégalités de santé.

Il est de la responsabilité de l’Etat de permettre l’accès à la santé, sur la base des moyens que la loi prévoit pour le faire. C’est précisément le cas de l’octroi d’une licence d’office pour le sofosbuvir.

Contacts :

Michel Bonjour, Président de SOS Hépatites Fédération –   06 84 29 00 95
Emmanuelle Hau/Aurélie Defretin, Médecins du Monde –  01 44 92 14 31 /13 81 – 06 09 17 35 59
Yann Mazens, TRT-5 –  06 46 10 09 51

Signataires : Actions Traitements, Act Up Paris, Act Up Sud-Ouest, Aides, Arcat, ASUD  CHV, CISS, Comede, Médecins du Monde, Dessine-moi un Mouton, Nova Dona, SIS association, Sol En Si,  SOS Hépatites Fédération, TRT-5

 

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Afin de faciliter l’observance, des médicaments contre le VIH à prendre une seule fois par mois sont en cours de développement à l’Université de Liverpool (Royaume-Uni). 

Aujourd’hui, il n’est pas rare pour les patients infectés par le VIH de rater une prise des médicaments qu’ils utilisent pour lutter contre la maladie, en particulier parce qu’il leur est demandé de prendre un traitement chaque jour de leur vie – un phénomène connue sous le nom de « fatigue des pilules ».

Pour les aider à contrer cette « fatigue », des chercheurs basés à l’Université de Liverpool et à l’Université John Hopkins (USA) développent de nouveaux traitements injectables capables d’offrir une dose thérapeutique valable sur une durée minimal d’un mois et qui pourraient, ainsi, remplacer les pilules prise au quotidien par certains patients. Lire la suite (en anglais)...

d3f1dc5164b1370b7b40ab73892f7b08Ce médicament du laboratoire ViiV Healthcare pourrait concurrencer le leader du marché, Atripla, ainsi que Stribild, tous deux commercialisés par le laboratoire Gilead.

Dans la gamme des antirétroviraux destinés à lutter contre le VIH, les traitements en une prise par jour sont parmi les plus prescrits. Facilité de prise, meilleure observance du traitement expliquent que les médecins et les patient.e.s privilégient la simplicité, à efficacité comparable.

En France, c’est la trithérapie contenue dans Atripla qui tient encore le haut du classement. Mais l’homologation d’une nouvelle combinaison pourrait changer la donne. Le laboratoire ViiV Healthcare a en effet obtenu l’Autorisation de mise sur le marché par la Commission européenne de Triumeq, une combinaison de trois molécules anti-VIH, réunies en un comprimé à prise unique quotidienne. Lire la suite…

(Christophe Martet / illustration :Fabien Guénot)

 

Capture d’écran 2014-09-10 à 16.13.08Actions Traitements a le plaisir de vous annoncer la sortie de sa nouvelle Infocarte TIVICAY. Disponible en version papier ou pdf, cette Infocarte est la dernière parue d’une série présentant les combinaisons d’antirétroviraux, en une ou plusieurs prises, les plus utilisées.

Désormais, vous pouvez retrouver 28 Infocartes sur notre plateforme de commande. Développées avec des pharmaciens, elles synthétisent de manière claire et accessible, l’essentiel des informations à connaître pour le patient.

Plus accessibles que les notices d’information fournies dans les boîtes de médicaments, elles ont pour objectif de sensibiliser les personnes vivant avec le VIH aux enjeux du bon usage de leur traitement.

Construites sur le même modèle, chaque Inforcarte délivre aux patients des informations générales sur les traitements et sur la famille à laquelle appartient le médicament, sur les effets secondaires, 
sur le nombre de prises quotidiennes et leur rythme, sur les modalités de la prise,
sur les problèmes d’interactions médicamenteuses, et sur les incompatibilités éventuelles avec d’autres antirétroviraux.

La parution de cette nouvelle Infocarte est aussi l’occasion pour notre association n’étrenner une nouvelle plateforme de commande : plus pratique, plus ergonomique, elle met à la disposition des patients comme des professionnels de santé tous nos outils d’information.

Les nouveaux traitements contre l’hépatite C commencent à être proposées aux patients séropositifs au VHC. Dans ce contexte, une équipe de chercheurs menée par Martin Duracinsky, médecin et chercheur à l’hôpital de Bicêtre, aimerait recueillir le ressenti des patients sur la vie avec le virus de l’hépatite C et sur la vie avec ces traitements afin de pouvoir valider un questionnaire international qui permettra d’analyser et d’améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus de l’hépatite C.

Cette étude est menée en partenariat entre l’EA 7334 REMES – Recherche Clinique Coordonnée Ville-Hôpital, Méthodologies et Société (ED 393)Unité de Méthodologie des critères d’évaluation (Patient-Reported Outcomes)Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris-Cité représentée par le Dr Martin DURACINSKY, médecin et chercheur à l’hôpital de Bicêtre, spécialiste des échelles de qualité de vie, et le Collectif Hépatites Virales (CHV).

Vous êtes porteur de l’hépatite C et vous souhaitez participer à cette étude ?

Vous trouverez ci-après toutes les informations pour vous permettre de remplir le questionnaire.

DATE LIMITE DE REPONSE : MARDI 30 SEPTEMBRE 2014

Qui peut participer ?

– Les personnes majeures porteuses d’une hépatite C chronique,
– Les personnes porteuses d’une hépatite C chronique co-infectées par le VIH et/ou l’hépatite B,
– Les personnes n’ayant jamais pris de traitement VHC,
– Les personnes en cours de traitement ou en échec de traitement.

Cas particuliers excluant la participation à l’étude :

– Les personnes transplantées,
– Les personnes hospitalisées,
– Les personnes ayant terminé un traitement VHC depuis plus d’un mois et ayant une charge virale VHC indétectable.

Si vous aviez des doutes sur votre éligibilité à répondre à cette étude, quelques questions visant à vérifier cette dernière vous seront posées sur le site internet hébergeant l’étude avant d’y accéder.

Comment participer ?

En pratique, pour participer à cette étude il suffit d’aller sur le site suivant. MERCI de lire les recommandations ci-après avant de commencer : *

http://proqol-measures.com/surveys/index.php/179736

Votre participation implique que vous remplissiez plusieurs questionnaires qui permettront l’analyse de différents critères mesurant la qualité de vie (sociodémographique, qualité des soins…). Ces questionnaires évaluent l’impact de l’hépatite C et de son traitement éventuel sur votre vie quotidienne.

Ces questionnaires sont strictement anonymes (votre nom n’y apparaitra pas) et confidentiels (l’adresse email utilisée pour la saisie du questionnaire ne sera pas conservée après l’étude).**

Le remplissage de ces questionnaires peut prendre de 30 à 60 minutes. Il est conseillé d’y répondre dans un environnement favorable à la réflexion. Si cela vous est possible, isolez-vous dans un endroit calme le temps d’y répondre. Pour la réussite du projet et la validation du questionnaire, il est important de répondre à TOUTES les questions, même si certaines questions se répètent.***

ATTENTION : cette étude peut vous être proposée par une association, par votre médecin, ou sur internet, nous vous remercions de ne participer qu’une seule fois.

Si besoin, vous pouvez poser des questions complémentaires sur cette étude à la personne en charge de sa coordination en la contactant par email avec en objet « Questions PROQOL VHC » à : efleury.proqol@gmail.com

Merci d’avance pour votre participation.

* Merci de vérifier que Javascript soit bien activé sur votre navigateur, certains antivirus ou pare-feux désactivent les fonctionnalités Javascript. Sans cela vous ne pourrez peut-être pas accéder à la saisie des questionnaires.

** Pour pouvoir accéder aux questionnaires, il vous faudra fournir une adresse e-mail valide (ATTENTION lors de la saisie de votre adresse email) et vous recevrez ensuite un mot de passe qui vous permettra de vous connecter sur le site sécurisé où sont stockés les questionnaires.

*** Cette procédure informatique, vous permettra de reprendre la saisie des questionnaires là où vous vous étiez arrêté si pour un motif quelconque vous êtes amené à interrompre le remplissage des questionnaires. Il vous faudra alors retourner sur le site et vous y connecter avec le mot de passe que vous aurez reçu par email le jour de votre première connexion.

Vous vous reconnaissez comme « senior », vous êtes séropositif(ve) contaminé(e) récemment ou depuis de longues années, votre témoignage nous intéresse.

Quelles sont vos perceptions, vos représentations  concernant l’avenir, compte tenu de votre avancée en âge ?
Quels sont vos projets et choix de vie pour cette période à venir ?

Nous aimerions recueillir votre point de vue au cours d’un entretien téléphonique anonyme où vous pourrez exprimer ce qui vous tient le plus à cœur sur ce sujet.

De nombreux thèmes peuvent  être prétextes à se projeter dans cet « avenir » en communiquant votre expérience et ressenti. Citons par exemple l’évolution de vos ressources financières et de votre mode de vie, l’état  de santé, les liens affectifs et ceux de votre réseau social, la sexualité,  l’estime et la confiance en soi, vos activités…

Votre témoignage, recueilli anonymement par téléphone au cours d’un entretien, servira à un récit mis en forme et restitué sur notre site internet. Il visera à valoriser votre démarche et la manière dont vous vous projetez  dans le futur. Mais il s’agit aussi de la la partager avec celles d’autres témoins, dans un « récit collectif » qui en renforcera le « sens ».

Si cette démarche suscite votre intérêt, prenez contact dès maintenant avec Actions-Traitements au 0143672060 ou par email à ngateau@actions-traitements.org en indiquant au moins un prénom, les moments où l’on peut vous joindre le plus facilement pour fixer un rendez-vous en vue d’un entretien téléphonique avec un numéro fixe/portable.

Nous sommes heureux de vous accueillir sur le nouveau site Internet de notre association. Conçu pour être un portail d’informations fiables et mises à jour, il est destiné aux personnes vivant avec le VIH, ainsi que ceux qui les accompagnent, et concentrera en un seul point sur Internet, sous une forme moderne et aérée, toute l’information produite par notre association. Notre objectif est également de faciliter l’accès à tous nos services et tous nos outils d’information thérapeutique, pour la plupart mis à jour à l’occasion de la refonte de ce site. Bonne lecture !