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vaccins Tuberculose

Source: news.un.org

Au Forum économique mondial, qui se déroule à Davos, en Suisse, le chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé mardi un projet de création d’un Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux afin de faciliter l’homologation et l’utilisation de ces vaccins.

Selon l’OMS, les répercussions négatives de la pandémie de COVID-19 sur les services de lutte contre la tuberculose ont clairement démontré qu’il fallait, de toute urgence, renforcer les efforts de conception des vaccins. 

Prenant la parole à une table ronde de haut niveau sur la tuberculose organisée au Forum économique mondial, le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a annoncé ce projet de Conseil d’accélération pour les vaccins antituberculeux.

Mobiliser les bailleurs de fonds

Cette instance facilitera l’homologation et l’utilisation de nouveaux vaccins antituberculeux efficaces par une mobilisation à haut niveau des bailleurs de fonds, des organismes internationaux, des pouvoirs publics et des utilisateurs finaux dans le but d’identifier et de surmonter les obstacles à la mise au point de ces vaccins. 

« L’une des leçons les plus importantes qu’il faut tirer de la riposte à la pandémie de COVID-19, c’est que les interventions sanitaires innovantes peuvent être mises en œuvre rapidement si on leur accorde la priorité d’un point de vue politique et si leur financement est suffisant », a déclaré le Dr. Tedros. 

« Les difficultés qu’entraînent la tuberculose et la COVID-19 sont différentes, mais les ingrédients qui permettent à la science, à la recherche et à l’innovation d’avancer plus rapidement sont les mêmes : des investissements publics consentis dans l’urgence et en amont, un soutien de la part de philanthropes et la participation du secteur privé et des collectivités. Nous pensons que l’action contre la tuberculose sortira gagnante d’une coordination similaire à un haut niveau », a-t-il ajouté.

Article complet: news.un.org

GÉNÉRATIONS POSITIVES

Source : REMAIDES

Marianne a 61 ans. Elle vit avec le VIH depuis 1987. Sasha, de son côté, a 30 ans. Il vit avec le VIH depuis 2014. Ils ne se connaissent pas et ne se sont jamais parlé. Aujourd’hui, ils participent à un entretien croisé.

Dans quelles circonstances avez-vous découvert votre séropositivité et quelles ont été les répercussions sur votre vie, les premiers temps ?

Marianne : En 1987 je vivais en Guyane et, suite à une crise d’herpès fulgurante, mon gynécologue m’a fait faire un test VIH qui est revenu positif. À l’époque, le sida, c’était une maladie honteuse et sale pour la société. C’était un véritable coup de massue, la terre s’est écroulée sous mes pieds. J’avais un petit garçon de 18 mois, né d’une ancienne relation. Je venais de me marier avec mon nouveau conjoint et j’avais le désir d’un deuxième enfant avec lui. Un chercheur de l’Institut Pasteur de Cayenne m’a annoncé que je pouvais espérer quatre ans à vivre, seul recul que j’avais à l’époque. Trois ans après cette annonce, je pensais qu’il ne me restait plus qu’un an, alors je suis partie seule en voyage pendant cinq mois en Thaïlande. Je me suis dit qu’il fallait que je profite de la vie, je ne me sentais pas malade et j’avais besoin de faire le point, me ressourcer.
Sasha : Je n’étais même pas né, mais j’essaie de me projeter. Tu avais quoi comme traitement ?
Marianne : Il n’y avait aucun traitement efficace à l’époque. J’ai échappé à l’AZT, c’était un traitement très toxique, mais qui permettait aux malades en stade sida d’avoir un peu de sursis. Je m’estime très chanceuse d’être toujours là aujourd’hui. C’est mon mari qui m’a transmis le VIH. Ce non-dit a été insupportable pour moi et nous avons fini par divorcer.

Source : REMAIDES

Sidaction 2023

Source: sante.lejounaldesfemmes.fr

Le Sidaction 2023 a lieu à la fin du mois de mars, avec une grande collecte de fonds destinée à la lutte contre le virus du Sida (VIH). Comment faire un don ? Que signifie le ruban rouge ? Où vont les dons ? Quel objectif ? Tout savoir.

Le Sidaction lutte contre le virus du Sida (VIH) depuis 1994. Cette association de solidarité présidée par Françoise Barré-Sinoussi soutient la recherche sur le virus du Sida. C’est également un évènement télévisuel de collecte de dons. « Les fonds collectés seront reversés à la fois aux programmes de recherche et de soins et aux programmes associatifs de prévention, d’accès au dépistage et d’aide aux personnes vivant avec le VIH, en France et à l’international » explique l’association Sidaction. Comment faire un don ? Quelle est la signification du logo, le ruban rouge ? Quelle est la date de la prochaine édition ?

Quelle est la date du Sidaction 2023 ?

Les dates de l’édition 2023 du Sidaction n’ont pas été encore communiquées. Néanmoins, l’opération a toujours eu lieu fin mars, donc potentiellement autour du 25 mars 2023

Définition : c’est quoi le Sidaction ?

Le Sidaction désigne une association de solidarité contre le VIH/sida reconnue d’utilité publique et inscrite au répertoire national des associations, présidée par Françoise Barré-Sinoussi. C’est aussi un évènement télévisuel annuel de collecte de dons pour cette association qui finance à parts égales des programmes de recherche et des associations d’aide aux malades et de prévention, en France et à l’international.

Article complet ici: sante.lejounaldesfemmes.fr

Guyane sida info service

Source: outremers360.com

Après un an d’exercice de la ligne téléphonique de Sida Info Service (SIS), l’association a décidé un élargissement des horaires d’écoute, ainsi que l’utilisation de nouvelles langues, afin de toucher un plus large public guyanais.

La ligne téléphonique du SIS, gratuite et accessible depuis un an en Guyane, voit ses horaires évoluer, les lundis, mardis, jeudis de 9h à 15h et les vendredis et samedi de 17h à 23h par téléphone ou via l’application WhatsApp. De plus, si la ligne proposait déjà 4 langues, avec le français, le créole haïtien, le portugais et l’espagnol, deux nouvelles langues sont désormais disponibles, avec l’anglais et le sranan tongo, dans une volonté d’élargir la disponibilité et l’écoute de professionnels locaux, dédié à la mission de l’association.

Autre annonce notable du SIS, le soutien apporté par l’association Gay Friendly et LGBT du Groupe Air France, « Personn’Ailes », qui a organisé pour le 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le VIH/sida, l’envoi de brochures de prévention et de préservatifs vers la Guyane pour sensibiliser et protéger la population locale. Ainsi, dans une volonté de soutenir le travail du SIS, l’association du groupe Air France mettra en place une ou deux campagnes de soutien pendant l’année, avec un appel au don auprès du public et des salariés, ou encore la mise en place de vol « Ruban rouge » le 1er décembre prochain avec transport de matériel de prévention vers la Guyane

Article complet ici: outremers360.com

manifestation 19 janvier

Source : Les Actupiennes

Retraite pour les personnes vivant avec VIH et pathologie chronique grave.

On nous promet que dalle !

Nous personnes vivant avec le VIH et personnes atteintes de pathologie chronique grave avons eu
la chance de survivre, la retraite nous ne l’avions même pas envisagée, nos parcours professionnels
ont été hachés, nous avons été trop souvent en arrêt de longue maladie, nous avons été quelquefois
orientées vers des dispositifs de remplacement financier inadaptés, nous étions des artisans, des
agriculteurs, des libéraux, des fonctionnaires, nous n’avions pas pensée aux ruptures de droits dans
le maquis de la protection sociale.

Pour toutes ces raisons, nous n’avons pas les trimestres requis pour prétendre à une retraite
décente.

Pour bon nombre d’entre nous, c’est l’ASPA qui se profile jusqu’à la fin de notre vie soit 953€/mois
nous sommes et seront en dessous du seuil de pauvreté.
Même si notre espérance de vie s’est améliorée et tendra prochainement à rejoindre celle des
personnes séronégatives, l’âge moyen au décès en 2020 des personnes vivant avec le VIH est de
62ans et l’âge médian de 61ans (1), pour certainEs la retraite on ne la verra même pas.
Pour ces raisons nous refusons le recul de l’âge de départ à la retraite, nous refusons que l’ouverture
des droits à l’ASPA soit reculée.

  • Nous exigeons le maintien de la possibilité de départ à taux plein dès 62 ans pour les personnes
    percevant une pension d’invalidité ou une Allocation Adultes Handicapés,
  • Nous exigeons qu’une demande d’ASPA sans condition de validation de trimestres soit possible
    dès 62 ans,
  • Nous exigeons la validation des trimestres pour les personnes qui ont été orientées à tort vers
    une Allocation Adulte Handicapés alors que des droits à une pension d’invalidité existaient.

Nous appelons à constituer un cortège pour mettre en avant nos vies et nos revendications :

Jeudi 19 janvier à 14h30
Place Olympes de Gouges

Plus d’infos suivre notre page Facebook et Twitter
https://www.facebook.com/LesActupienNE – https://twitter.com/LesActupienNEs
(1) https://assurance-maladie.ameli.fr/sites/default/files/2020_fiche_vih-sida.pdf

Découvrir l’appel à manifestation sur le site : Les Actupiennes

Assemblée groupes études

Source: seronet.info

Il existe environ 80 « groupes d’études » à l’Assemblée nationale sur des sujets très variés, dont certains concernent directement la santé. C’est le cas de celui sur VIH et sida, ou encore de ceux sur le cancer, la santé mentale, la maladie d’Alzheimer, les maladies rares, etc. Certains groupes d’études sont dévolus aux questions d’organisation du système de santé comme celui qui traite des déserts médicaux et de l’accès aux soins, de la fin de vie, ou encore du handicap et de l’inclusion.

Des groupes ont aussi été constitués sur la « prostitution » (c’est le terme utilisé par l’Assemblée nationale), le cannabis, les conditions d’accueil des migrants-es et des mineurs-es non accompagnés-es, les discriminations et LGBTQI-phobies, la pauvreté, précarité, non-recours aux droits et sans-abri ou encore les prisons et les conditions carcérales. 

Le 7 décembre dernier, le Bureau des groupes d’études, présidé par le député RN Sébastien Chenu, a « agréé la liste des groupes d’études pour la XVIe législature et réparti les présidences ou co-présidences entre les groupes politiques ». 

Article complet ici: seronet.info

Tahiti VIH

Source: tahiti-info.com

Tahiti le 12 janvier 2023 – En 2022, une personne est décédée du VIH et 21 nouveaux cas ont été détectés. “Une augmentation de presque 50% comparés à 2021”, selon le docteur Lam Nguyen, médecin épidémiologiste à la Direction de la santé. La hausse s’explique par plusieurs facteurs, et les données de recensement de malades ont été perturbées par la pandémie.

En 2022, 21 nouveaux cas d’infection au VIH ont été dénombrés, dont 4 au stade du sida. Un étudiant âgé de 24 ans est décédé des suites de complications liées à la maladie. La Direction de la santé est consciente du problème. Elle rappelle actuellement, avec une campagne préventive, que “le VIH circule activement au fenua”. Des affiches reprenant ce message ont notamment été distribués en pharmacie, dans le but d’inciter la population à se faire dépister.

“Le nombre de nouveaux cas de VIH détectés en 2022 a presque doublé comparé à 2021. On passe de 14 à 21 cas supplémentaires cette année. Au total, cela représente un peu plus de 170 personnes” porteuses du virus en Polynésie, explique le docteur Lam Nguyen, médecin épidémiologiste à la Direction de la santé. Le médecin suit “95 à 100 %” des patients atteints par le virus. “On constate que le nombre de personnes infectées augmente significativement depuis les années 2015/2016”, explique Dr Nguyen.

“Il est important de prendre le sujet du sida au sérieux. L’un des soucis, c’est que certaines personnes contaminées se laissent aller, ne suivent pas leur traitement, et ne se protègent pas. En conséquence, elles laissent la maladie circuler”, rappelle Karel Luciani, président de l’association Agir contre le sida.

Problème “d’interprétation” des données

Le docteur Nguyen explique que “l’augmentation de cas sur l’année 2022 ne veut pas forcément dire que la maladie a circulé plus activement”. “Il y a un problème d’interprétation des données. Il faut réfléchir aux différentes hypothèses possibles pour expliquer cette hausse”, continue-t-il. “Pendant la période de pandémie, les dépistages du VIH et des autres IST (Infections sexuellement transmissibles, ndlr), se faisaient plus rarement. Les gens étaient confinés et se déplaçaient moins dans les dispensaires, les pharmacies. Le personnel soignant était aussi complétement submergé par le covid. Je crois que les retards de diagnostic du VIH durant les deux années covid se répercutent sur l’année 2022. Concrètement, des personnes qui n’ont pas pu être dépistées pendant les deux ans d’épidémie, ne l’ont été qu’en 2022”, suggère l’épidémiologiste.

Article complet ici: tahiti-info.com

Histoire VIH

Source: seronet.info

Thomas Mallon est un romancier, essayiste et critique américain. Il s’établit en 1985 à New York, dans un studio à Manhattan. Il a alors 33 ans et la cité américaine fait face au VIH. La Library of Congress a acquis cent quarante-six volumes de ses journaux intimes, qu’il tenait depuis le début des années 1970. Avant de remettre les carnets dans lesquels l’auteur ouvertement gay a chroniqué sa vie, il a scanné et téléchargé les pages sur une clé USB. Le 5 décembre dernier, l’hebdomadaire américain The New Yorker a publié des extraits de ces carnets qui datent de 1985 à 1988.

On peut y découvrir un instantané de la ville de New York en proie à l’épidémie de sida et la peur viscérale de Thomas Mallon de se faire dépister après le décès en 1984, des suites du sida, de son amant Tommy. Extraits : 10 septembre 1985 : « Nous avons tous été exposés, nous vivons tous sous l’épée et je ne suis pas plus mortel qu’un autre. Nous allons l’avoir ou pas. Point final. Je déteste faire ce calcul dans ma tête, mais peut-être que ça aide à ne pas devenir complètement fou ». 2 octobre 1985 : « J’ai pris le train pour rentrer chez moi. . . . La première chose que j’ai vue à l’extérieur du terminal, c’est le Post annonçant la mort de Rock Hudson. Le pauvre bougre. Pauvre de nous. L’article de couverture à New York est sur « le dernier mot pour éviter le sida ». Un médecin me rassure, un autre me dit que j’ai plus d’une chance sur trois d’avoir le sida. Et Diane McGrath, la candidate républicaine à la mairie, veut fermer non seulement les saunas mais aussi les bars ». 

Article complet ici: seronet.info

AAH

Source: seronet.info

La déconjugalisation de l’Allocation aux adultes handicapés (AAH) signifie que les revenus du ou de la conjoint-e d’un-e adulte handicapé-e ne sont plus pris en compte dans le calcul de l’AAH pour cette personne. Les décrets d’application se sont fait attendre… comme souvent. Finalement, fin décembre, ils ont été publiés au Journal officiel, ouvrant la voie à la mise en œuvre effective de la déconjugalisation de l’AAH (allocation aux adultes handicapées). Le principe a été décidé par le Parlement le 16 août 2022, après des mois de blocage de l’ancienne majorité et du gouvernement, et, surtout, des années de combat de la part des associations de santé, dont celles de lutte contre le VIH/sida. Mais cela ne sera effectif qu’en octobre prochain.

De quoi parle-t-on ?

« L’allocation aux adultes handicapés est un minimum de ressources garanti aux personnes en situation de handicap, de façon subsidiaire, c’est-à-dire qu’elle n’est allouée qu’à la condition que la personne n’a pas pu faire valoir ses droits à d’autres prestations », rappelle la fiche pratique de Santé Info Droits, consacrée à l’AAH. Les personnes touchées par une incapacité du fait du VIH ou d’une hépatite virale peuvent donc bénéficier de cette allocation à défaut de disposer de ressources minimales (salaire, pensions, etc.). Ces dernières années, l’accès à l’AAH s’est réduit pour les personnes vivant avec le VIH et/ou avec une hépatite virale. Comme pour toute allocation, son versement se fait selon certains critères ; autrement dit « sous réserve de remplir un certain nombre de conditions d’ordre administratif et médical ». Côté médical, la personne doit présenter un taux d’incapacité permanente d’au moins 80 % ; ou de 50 à 79 % avec une restriction substantielle et durable pour l’accès à l’emploi. Le taux de handicap est apprécié selon le Guide-barème pour l’évaluation des déficiences et incapacités des personnes handicapées figurant à l’annexe 2-4 du Code de l’action sociale et des familles. Les conditions administratives sont les suivantes : la personne qui fait la demande doit justifier « d’une résidence stable, permanente et régulière sur le territoire français ». C’est-à-dire plus de trois mois, sauf exceptions particulières. Pour les personnes étrangères (hors ressortissants-es de l’Union européenne ou de l’espace social économique), la régularité est justifiée par la production d’un titre de séjour ou d’une attestation de demande de renouvellement de titre de séjour.

La durée de validité de l’AAH ne peut être inférieure à un an, ni supérieure à dix ans. Elle peut toutefois être attribuée sans limitation de durée (attention : retenez votre souffle…) « à toute personne qui présente un taux d’incapacité permanente supérieur à 80 % et dont l’évaluation établit l’absence de possibilité d’évolution favorable à long terme des limitations d’activités ou des restrictions de participation sociale occasionnant une atteinte définitive de l’autonomie individuelle des personnes qui ont besoin d’une aide totale ou partielle, d’une stimulation, d’un accompagnement pour l’accomplissement des actes de la vie quotidienne ou qui nécessitent une surveillance ». Et enfin son versement dépend des ressources perçues par le foyer au cours de l’année civile de référence, c’est-à-dire l’avant-dernière année précédant la période de paiement (soit N-2). Le plafond de ressources varie selon que le-la demandeur-se vit seul-e ou en couple. Et à deux… c’est un problème !

Article complet ici: seronet.info

Violence Conjugale

Source: lesoleil.com

Les femmes victimes de violence conjugale sont trois fois plus susceptibles de contracter le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), constate une étude menée par une équipe de recherche de l’Université McGill.

L’article publié dans «The Lancet HIV» révèle qu’il existe un lien étroit entre la violence fondée sur le genre et les épidémies de VIH dans certains des pays les plus touchés. Chez les femmes vivant avec le virus, celles qui ont vécu de la violence conjugale au cours de la dernière année ont 10 % moins de chances d’avoir une charge virale indétectable, l’étape ultime du traitement.

«Environ une femme sur quatre vivra une violence physique ou sexuelle pendant sa vie, affirme Mathieu Maheu-Giroux, professeur à l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en modélisation de la santé des populations. Dans certains pays, c’est plus de 40% des femmes qui ont subi ce genre d’abus au cours de la dernière année».

Article complet ici: lesoleil.com