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Préservatifs gratuits

Source : tetu.com

Emmanuel Macron a annoncé avant Noël que les jeunes de moins de 26 ans pourraient se procurer des capotes gratuites en pharmacie à partir du 1er janvier 2023. Dans les officines que nous avons contactées en ce début d’année, on reconnaît qu’il faut encore attendre pour que la mesure soit réellement effective.

Début décembre dernier, à l’heure où les Français préparaient leur cadeaux de Noël, Emmanuel Macron faisait une promesse surprise. « En pharmacie, le préservatif sera gratuit pour les 18-25 ans. Cela va commencer dès le 1er janvier », assurait-il, avant d’étendre dès le lendemain la mesure aux mineurs. Jusqu’à présent, les capotes étaient remboursées pour tout le monde, mais seulement à hauteur de 60% et sur prescription médicale.

Article complet ici : tetu.com

Canada Hépatite

Source: catie.ca

  • On a recours au médicament antiviral ténofovir pour traiter le VIH et l’hépatite B
  • Une équipe de recherche a évalué l’impact du remplacement de l’ancienne version de ce médicament par la nouvelle
  • Des personnes co-infectées par le VIH et l’hépatite B ont connu des améliorations de leur santé rénale et hépatique

Si aucun traitement n’est administré, le virus de l’hépatite B (VHB) infecte le foie et y provoque une inflammation chronique. Avec le temps, le tissu sain de l’organe se fait remplacer graduellement par du tissu cicatriciel. Le foie devient conséquemment de plus en plus dysfonctionnel et se rétrécit, ce qui peut augmenter le risque de nombreux problèmes, dont fatigue persistante, perte de l’appétit, nausées, accumulations de liquide, infections abdominales, problèmes de mémoire et détérioration de la fonction cérébrale. À mesure que le tissu cicatriciel s’accumule, le risque de cancer du foie et de décès augmente.

  • On a recours au médicament antiviral ténofovir pour traiter le VIH et l’hépatite B
  • Une équipe de recherche a évalué l’impact du remplacement de l’ancienne version de ce médicament par la nouvelle
  • Des personnes co-infectées par le VIH et l’hépatite B ont connu des améliorations de leur santé rénale et hépatique

Article à lire ici: catie.ca

Violence Conjugale

Source:journaldemontreal.com

Les femmes victimes de violences conjugales seraient trois fois plus susceptibles de développer le VIH et 9 % moins sujettes à en guérir, a récemment conclu une étude de l’Université McGill. 

«Nous voulions examiner l’effet que la violence conjugale avait eu sur les récentes infections au VIH et sur l’accès des femmes aux soins destinés aux personnes atteintes du VIH dans cette région», a indiqué Mathieu Maheu-Giroux, professeur à l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en modélisation de la santé des populations par communiqué.

Pour se faire, l’équipe a étudié l’Afrique subsaharienne, une des régions dans le monde où «la fréquence de la violence conjugale et des infections au VIH est la plus élevée», a-t-il ajouté.

L’équipe de recherche a découvert un lien direct entre la violence conjugale physique ou sexuelle dans la dernière année et une infection récente au VIH.

Article à lire ici: journaldemontreal.com

TasP

Source: ladepeche.fr

C’est une réalité encore trop ignorée : lorsqu’une personne séropositive au VIH est traitée correctement, elle ne peut plus transmettre le virus. C’est ce qu’on appelle le TasP. Explications.

TasP signifie en anglais Treatment as Prevention, c’est-à-dire traitement antirétroviral comme prévention. Dans le cadre de l’infection par le VIH, non seulement le traitement protège la personne séropositive, puisqu’elle ne développe pas le Sida, mais il prévient tout risque de contamination d’autres personnes. A condition que le traitement soit bien mené, suffisamment pour permettre de rendre indétectable la charge virale depuis au moins 6 mois.

Article ici : ladepeche.fr

fin du sida

Source :vih.org

A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida 2022, Santé publique France a publié les derniers chiffres concernant le dépistage de trois infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes : la syphilis, les gonococcies et les infections à Chlamydia trachomatis (Ct).

Ces tendances, valables pour 2021, sont extraites des données individuelles de remboursement du Système national des données de santé (SNDS) et des données des rapports d’activité et performance (RAP) des CeGIDD, les centres de dépistages gratuits. 

Les IST sont en augmentation en France depuis le début des années 2000, et leur surveillance est une part essentielle de la prévention de ces maladies. La crise liée au Covid-19 avait gravement fait reculer le recours au dépistage, mais ces données concernant 2021 sont plus rassurantes. Elles semblent indiquer que cette chute a été rattrapée pour les IST bactériennes, contrairement au VIH. (Les derniers chiffres concernant l’épidémiologie du VIH en 2021 sont disponibles dans notre article : Chiffres du VIH 2021 : Stabilité du nombre de diagnostics.)

Article à lire ici : vih.org

Fance VIH

Source:rfi.fr

Depuis 40 ans, l’épidémie VIH fait rage. En France, 200 000 personnes sont contaminées. C’est 38 millions dans le monde, dont 54% sont des femmes. Aujourd’hui, les traitements ont évolué et permettent aux personnes séropositives d’avoir une vie quasi normale. Mais la stigmatisation et la sérophobie restent élevées, tout comme la prévention progresse mais exclue de nombreux publics comme les femmes, les personnes transgenres, immigrées ou travailleuses du sexe. 

Podcast à écouter ici: rfi.fr

vaccin Hépatite

Source:ansm.sante.fr

à partir du vendredi 23 septembre 2022 au mardi 28 février 2023

DCI

Antigène de surface de l’hépatite B recombinant ((levure/saccharomyces cerevisiae))

Indications

Engerix B 20 microgrammes/1 ml est indiqué pour l’immunisation active contre l’infection provoquée par le virus de l’hépatite B (VHB) causée par tous les sous-types connus chez les sujets non immunisés de 16 ans et plus.

Les populations devant être immunisées sont déterminées sur la base des recommandations officielles.

La survenue d’une hépatite D devrait être prévenue du fait de l’immunisation par ENGERIX B, l’hépatite D (provoquée par le virus delta) n’apparaissant pas en l’absence d’infection par le virus de l’hépatite B.

Article complet ici:ansm.sante.fr

TPE

Source:seronet.info

Le traitement post-exposition (TPE), connu aussi sous le nom de traitement d’urgence, est un outil efficace pour prévenir une infection à VIH après un rapport sexuel qui expose à des risques de transmission. Encore faut-il le connaître et y avoir accès facilement.

Cela fait des années que les associations de lutte contre le VIH réclament que le TPE soit disponible hors des urgences hospitalières, un véritable frein pour certaines personnes. Parmi les pistes envisagées, ouvrir la primo-prescription du TPE par un médecin de ville comme c’est déjà le cas pour la Prep ou encore mettre à disposition des « starter kits » (kits de démarrage) sans ordonnance dans les pharmacies de ville sur le modèle de la pilule du lendemain. 

Dans un article publié le 12 décembre, têtu· révèle que le gouvernement travaille sur une délivrance par les médecins généralistes, les infirmiers-ères scolaires ainsi qu’en pharmacies de ville. « Il est prévu d’étendre les lieux et les acteurs en capacité de délivrer un kit d’urgence, puis d’orienter vers les services compétents pour une prescription complète », confirme la direction générale de la Santé (DGS) à Têtu·.

Article complet ici: seronet.info

Canada Hépatite

Source:catie.ca

Les médicaments contre le VIH sont regroupés en différentes classes en fonction de leur mode d’action. Ces médicaments visent diverses cibles dans les cellules infectées par le VIH afin d’entraver leur contribution à la production de nouvelles copies virales. Les protéines ou enzymes suivantes du VIH sont ciblées par les médicaments ci-dessous :

  • TI (transcriptase inverse) : ténofovir, 3TC, FTC, éfavirenz, rilpivirine
  • protéase : darunavir (Prezista et ingrédient de Prezcobix), atazanavir (Reyataz)
  • intégrase : bictégravir (ingrédient de Biktarvy), cabotégravir (ingrédient de Cabenuva), dolutégravir (Tivicay et ingrédient de Dovato et de Triumeq), raltégravir (Isentress)

Comme nous l’avons mentionné plus tôt dans ce numéro de TraitementActualités, il existe maintenant une nouvelle classe de médicaments appelés inhibiteurs de la capside. Le premier de cette classe, le lénacapavir, est mis au point par Gilead Sciences. La compagnie ViiV Healthcare a également créé un inhibiteur de la capside, mais ce dernier en est aux stades très précoces de son développement.

Article complet ici: catie.ca

TasP

Source: jim.fr

Paris, le jeudi 29 décembre 2022 – Les associations de lutte contre le SIDA s’interrogent sur l’aspect éthique des recherches consistant à demander aux patients d’arrêter leur traitement antirétroviral.

L’époque où les relations entre les associations de lutte contre le VIH et les chercheurs étaient exécrables, les premiers accusant les seconds de ne pas en faire assez pour lutter contre la maladie, est depuis bien longtemps révolue. Désormais, militants et scientifiques travaillent main dans la main pour élaborer et diffuser des traitements contre le VIH. Les associations restent cependant attentives aux questions éthiques que peuvent soulever la recherche sur le SIDA, comme le montre le dernier article, en date du 16 décembre, du collectif TRT-5 CHV qui regroupe plusieurs associations de lutte contre le SIDA (Act Up-Paris, AIDES, Sida Info Services…).

Le collectif s’interroge cette fois sur la manière dont sont menés les essais dits d’interruptions analytiques de traitement (IAT). En effet, pour étudier l’efficacité d’un traitement expérimental dont le but serait de guérir totalement le patient en éliminant complètement le VIH de son organisme (recherche dite « HIV cure »), l’arrêt du traitement antirétroviral est indispensable. Il existe deux principales modalités de recherche avec IAT : le « time to rebound » où le traitement expérimental vise à retarder voire empêcher le rebond viral après arrêt du traitement antirétroviral, et le « rebond set point study » où le médicament expérimental vise à stimuler le système immunitaire dans le bus de contrôler le virus après le rebond viral qui suit l’arrêt du traitement antirétroviral.

Article complet ici: jim.fr