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Violence VIH livre

Source : Reliefweb

RÉSUMÉ

La violence basée sur le genre est une violation grave des droits humains, interdite par le droit international en vertu de plusieurs instruments juridiques humanitaires, pénaux et relatifs aux droits humains, notamment la convention de 1979 sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et le protocole de Maputo de 2003. Si ces instruments constituent des engagements importants en faveur de l’élimination de la violence basée sur le genre, la société est encore loin d’avoir atteint cet objectif. L’accès à la prévention, au traitement et aux soins du VIH est également un droit de l’homme, couvert par des instruments juridiques tels que le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, en vertu du droit au meilleur état de santé possible. Pourtant, d’importantes inégalités subsistent en termes de prévention, d’accès et de rétention dans les services de lutte contre le VIH.

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Catégories VIH
Séropositivité objectifs professionnels

Source : Voices

Quand j’étais très jeune, mes deux parents sont morts du VIH. Quelques années plus tard, j’ai appris que j’étais moi aussi séropositive. J’ai été stigmatisée par la société en raison de mon statut. Mais je veux que les gens comprennent que c’est une maladie gérable, que nous pouvons mener la même vie que les autres. Nous ne devrions pas subir de discrimination.

J’ai 23 ans, je suis née et j’ai grandi à Surat, en Inde.

Quand j’avais 4 ans environ, mon père est décédé. Ce n’est qu’au dernier stade de sa maladie que sa séropositivité a été découverte, il n’a donc jamais pu recevoir de traitement.

Un an après environ, en 2006, ma mère est décédée à son tour. Elle avait entamé un traitement pour le VIH après le dépistage de mon père mais elle n’a pas pu s’en sortir. Depuis lors, je vis avec ma grand-mère maternelle et l’un de mes oncles.

Après le décès de mes parents, je n’ai pas été immédiatement dépistée pour le VIH. C’est quelques années plus tard, quand mon oncle a demandé à toute la famille de se faire tester, que j’ai découvert mon statut.

Tout le monde a été testé négatif, sauf moi. J’étais séropositive.

Quand mon père est décédé, aucun membre de la famille n’est venu lui rendre visite à l’hôpital. Ils disaient qu’ils ne voulaient pas toucher son corps par peur de contracter le VIH.

Je suis toujours en contact avec ma famille paternelle mais ils ne me demandent pas de venir leur rendre visite. La stigmatisation est là.

Mais on peut contracter une maladie à n’importe quel moment de sa vie. Tout le monde a des problèmes. Alors pourquoi devrions-nous vivre dans la peur?

Alors que le VIH a déjà un nom positif, pourquoi devrions-nous le voir de manière si négative?

Même si je ne me souviens pas beaucoup de mes parents, je sais que ma mère disait que je devais rendre fiers mes parents et ma famille.

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Dépistage gratuit

Source : Ouest-France

À compter du dimanche 1er septembre 2024, les moins de 26 ans pourront se faire dépister gratuitement sans ordonnance pour quatre infections sexuellement transmissibles, en plus du VIH qui était déjà remboursé, a indiqué ce vendredi 30 août le ministère de la Santé.

C’est sur fond de hausse des infections sexuellement transmissibles (IST) entre 2021 et 2023 que le ministère de la Santé a décidé d’étendre le dépistage gratuit pour quatre infections en plus du VIH. Annoncée en septembre 2022, cette mesure avait été inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023. Dans un rapport de l’OMS publié jeudi 29 août 2024, l’Organisation mondiale de la santé alerte d’ailleurs sur le manque d’utilisation des préservatifs par les adolescents.

Quatre nouvelles infections prises en charge

À compter du 1er septembre, un dépistage des IST, à la demande du patient et sans ordonnance, sera pris en charge par l’assurance maladie à 100 % pour les moins de 26 ans, et à 60 % pour le reste de la population, avec couverture du ticket modérateur par les complémentaires santé. Le dispositif, appelé « Mon test IST », sera déployé dans tous les laboratoires de biologie médicale.

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