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vaccin Hépatite

Source:ansm.sante.fr

à partir du vendredi 23 septembre 2022 au mardi 28 février 2023

DCI

Antigène de surface de l’hépatite B recombinant ((levure/saccharomyces cerevisiae))

Indications

Engerix B 20 microgrammes/1 ml est indiqué pour l’immunisation active contre l’infection provoquée par le virus de l’hépatite B (VHB) causée par tous les sous-types connus chez les sujets non immunisés de 16 ans et plus.

Les populations devant être immunisées sont déterminées sur la base des recommandations officielles.

La survenue d’une hépatite D devrait être prévenue du fait de l’immunisation par ENGERIX B, l’hépatite D (provoquée par le virus delta) n’apparaissant pas en l’absence d’infection par le virus de l’hépatite B.

Article complet ici:ansm.sante.fr

TPE

Source:seronet.info

Le traitement post-exposition (TPE), connu aussi sous le nom de traitement d’urgence, est un outil efficace pour prévenir une infection à VIH après un rapport sexuel qui expose à des risques de transmission. Encore faut-il le connaître et y avoir accès facilement.

Cela fait des années que les associations de lutte contre le VIH réclament que le TPE soit disponible hors des urgences hospitalières, un véritable frein pour certaines personnes. Parmi les pistes envisagées, ouvrir la primo-prescription du TPE par un médecin de ville comme c’est déjà le cas pour la Prep ou encore mettre à disposition des « starter kits » (kits de démarrage) sans ordonnance dans les pharmacies de ville sur le modèle de la pilule du lendemain. 

Dans un article publié le 12 décembre, têtu· révèle que le gouvernement travaille sur une délivrance par les médecins généralistes, les infirmiers-ères scolaires ainsi qu’en pharmacies de ville. « Il est prévu d’étendre les lieux et les acteurs en capacité de délivrer un kit d’urgence, puis d’orienter vers les services compétents pour une prescription complète », confirme la direction générale de la Santé (DGS) à Têtu·.

Article complet ici: seronet.info

Canada Hépatite

Source:catie.ca

Les médicaments contre le VIH sont regroupés en différentes classes en fonction de leur mode d’action. Ces médicaments visent diverses cibles dans les cellules infectées par le VIH afin d’entraver leur contribution à la production de nouvelles copies virales. Les protéines ou enzymes suivantes du VIH sont ciblées par les médicaments ci-dessous :

  • TI (transcriptase inverse) : ténofovir, 3TC, FTC, éfavirenz, rilpivirine
  • protéase : darunavir (Prezista et ingrédient de Prezcobix), atazanavir (Reyataz)
  • intégrase : bictégravir (ingrédient de Biktarvy), cabotégravir (ingrédient de Cabenuva), dolutégravir (Tivicay et ingrédient de Dovato et de Triumeq), raltégravir (Isentress)

Comme nous l’avons mentionné plus tôt dans ce numéro de TraitementActualités, il existe maintenant une nouvelle classe de médicaments appelés inhibiteurs de la capside. Le premier de cette classe, le lénacapavir, est mis au point par Gilead Sciences. La compagnie ViiV Healthcare a également créé un inhibiteur de la capside, mais ce dernier en est aux stades très précoces de son développement.

Article complet ici: catie.ca

TasP

Source: jim.fr

Paris, le jeudi 29 décembre 2022 – Les associations de lutte contre le SIDA s’interrogent sur l’aspect éthique des recherches consistant à demander aux patients d’arrêter leur traitement antirétroviral.

L’époque où les relations entre les associations de lutte contre le VIH et les chercheurs étaient exécrables, les premiers accusant les seconds de ne pas en faire assez pour lutter contre la maladie, est depuis bien longtemps révolue. Désormais, militants et scientifiques travaillent main dans la main pour élaborer et diffuser des traitements contre le VIH. Les associations restent cependant attentives aux questions éthiques que peuvent soulever la recherche sur le SIDA, comme le montre le dernier article, en date du 16 décembre, du collectif TRT-5 CHV qui regroupe plusieurs associations de lutte contre le SIDA (Act Up-Paris, AIDES, Sida Info Services…).

Le collectif s’interroge cette fois sur la manière dont sont menés les essais dits d’interruptions analytiques de traitement (IAT). En effet, pour étudier l’efficacité d’un traitement expérimental dont le but serait de guérir totalement le patient en éliminant complètement le VIH de son organisme (recherche dite « HIV cure »), l’arrêt du traitement antirétroviral est indispensable. Il existe deux principales modalités de recherche avec IAT : le « time to rebound » où le traitement expérimental vise à retarder voire empêcher le rebond viral après arrêt du traitement antirétroviral, et le « rebond set point study » où le médicament expérimental vise à stimuler le système immunitaire dans le bus de contrôler le virus après le rebond viral qui suit l’arrêt du traitement antirétroviral.

Article complet ici: jim.fr

déclin cognitif

Source:univadis.fr

Les recherches révèlent que la préfragilité pourrait affecter jusqu’à deux tiers de la population atteinte du VIH qui est vieillissante.

À retenir

  • La préfragilité (définie comme un score d’un ou de deux critères de Fried sur cinq) touche jusqu’à deux tiers des personnes plus âgées vivant avec le VIH.

Pourquoi est-ce important ?

  • Attaquez-vous aux principaux facteurs de fragilité chez les personnes plus âgées vivant avec le VIH pour aider à gérer les résultats indésirables.

Principaux résultats

  • 510 personnes vivant avec le VIH, dont la majorité étaient des hommes (âge médian : 73 ans) ont été incluses dans l’analyse ; 13,1 % des personnes (n = 67/510) étaient âgées de 80 ans ou plus ; 60 % (n = 306/510) présentaient des comorbidités multiples (3 comorbidités ou plus).
  • Dans l’ensemble, la prévalence de la fragilité (3 critères de Fried ou plus sur 5) était de 13,5 %, celle de la préfragilité était de 63,3 %, et 23,2 % des personnes ont été classées comme robustes (0 critère de Fried sur 5).

Article complet ici: univadis.fr

VIH Vivre Avec

Source: actu.fr

Contaminé par le VIH en 2001, Philippe Rossignol a appris sa séropositivité en août 2002. Depuis un mois, ce Mayennais prend un nouveau traitement, une véritable libération.

Diagnostiqué séropositif en novembre 2002, le Mayennais Philippe Rossignol suit désormais un nouveau traitement. Il témoigne.

Actu : Diagnostiqué séropositif en 2002, vous venez de commencer un nouveau traitement. Qu’est-ce que cela change ?

Philippe Rossignol : Au printemps, mon infectiologue m’a proposé de passer à un traitement par injection intramusculaire profonde à libération prolongée, autorisé depuis cette année. J’ai fait ma première injection il y a un mois. Un ami qui avait commencé le traitement avant moi m’a dit qu’il avait eu mal, mais moi, ça ne m’a rien fait. La sensation, c’est comme si j’avais fait du sport et que j’avais des courbatures aux fesses. Il y a un effet secondaire inattendu et c’est génial, je ne me sens plus séropositif. Inconsciemment, prendre un cachet tous les jours me le rappelait. Là, je ne me vois plus séropositif, ça libère l’esprit. Je ne m’y attendais pas du tout.

Article complet ici : actu.fr

Ouganda

Source:TV5monde.com

C’est un espoir pour toutes les personnes atteintes du VIH. Alors qu’aujourd’hui, la maladie ne peut être stabilisée que par la prise de thérapies médicamenteuses assez lourdes, l’Ouganda expérimente un traitement totalement injectable, une fois tous les deux mois.

Vidéo complète ici: TV5monde.com

Aides

Source:vivamagazine.fr

La prise en compte de la parole des patients est au cœur du combat militant de Camille Spire, la nouvelle présidente d’Aides. Ses échanges avec les bénévoles et les représentants d’autres associations de santé lui permettent de prendre le pouls de notre démocratie sanitaire, fortement mise à mal pendant la pandémie.

Comment le combat des associations de lutte contre le sida a-t-il inspiré la première loi sur les droits des malades, il y a vingt ans ?

Camille Spire : Avec la loi Kouchner de 2002, les patients sont enfin considérés. Cet événement marque le début de l’officialisation et de la structuration de la prise en compte de la parole des malades. A l’époque, le combat des associations de lutte contre le sida inspire en effet cette prise de conscience. Les personnes directement concernées par le VIH souhaitent être écoutées et ne pas rester les simples objets d’une maladie encore mal connue. Elles veulent devenir de véritables sujets, qui soient informés et accompagnés. « Rien pour nous, sans nous », crient alors les malades. Cet objectif-là, Aides continue de le porter depuis sa création en 1984.

Interview complète ici: vivamagazine.fr

IST France

Source: seronet.info

Quelle est la proportion de Français-ses porteurs-ses d’une infection sexuellement transmissible ? Quels sont les facteurs de risques associés ? Santé publique France, en collaboration avec l’Inserm, le centre national de référence des infections sexuellement transmissibles bactériennes et le centre national de référence des papillomavirus, a lancé, en novembre dernier, une étude nationale en population générale : l’étude PrévIST.

Pourquoi une telle étude ? Parce que les IST bactériennes sont en recrudescence depuis le début des années 2000 et « représentent un enjeu majeur de santé publique, du fait de leur fréquence, des risques de complications comme une infection génitale haute ou une grossesse extra-utérine, des séquelles comme l’infertilité, et d’un risque majoré de transmission du VIH », commente SpF.

L’étude PrévIST — lancée auprès de la population en France — permettra d’estimer la prévalence de plusieurs infections sexuellement transmissibles bactériennes et des papillomavirus humains. Pour cela, un auto-prélèvement réalisé à domicile sera proposé aux participants-es tirés-es au sort ; environ 37 000 personnes âgées de 15 à 89 ans, vivant en France métropolitaine et dans quatre territoires d’Outre-Mer : Guyane, Martinique, Guadeloupe et La Réunion, seront tirées au sort et interrogées par téléphone.

Article complet ici: seronet.info

VIH Vieillir

Source: seronet.info

Un témoignage plein d’espoir. D’après une modélisation présentée au congrès de la SFLS en octobre 2022, en 2030, il y aura en France 42 % de personnes vivant avec le VIH de plus de 60 ans et 17 % de plus de 70 ans. Comment vivent ces personnes et quelles sont leurs sources de préoccupations ?

Dans une vidéo publiée sur la chaine YouTube Les Audacieuses & Les Audacieux (l’association qui œuvre pour la construction de maisons de retraites pour les seniors-es LGBT+), Jacky-Franz, 70 ans, témoigne sur son vécu de vieillir avec le VIH. Diagnostiqué séropositif en 1987, le septuagénaire se souvient du manque d’espoir à cette époque : « On m’a dit : « Monsieur, il vous reste un an à vivre ! » Le monde s’écroule ; on a la rage ; on pleure ». 

Article complet ici: seronet.info