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Source : VIH.ORG

Les résultats de l’étude HPTN 084 confirment la très grande efficacité de la Prep en version injectable (cabotegravir), chez les femmes africaines cette fois.

En effet, dans l’étude lancée en novembre 2017, le cabotégravir à action prolongée (ViiV Healthcare), injecté toutes les huit semaines, s’est avéré à 89% plus efficace que la Prep quotidienne sous forme de cachets (fumarate de ténofovir disoproxil / emtricitabine) pour prévenir l’infection par le VIH.

Quatre infections par le VIH ont été recensées parmi les femmes ayant reçu l’injection, contre 34 chez celles qui prenaient tous les jours un comprimé. Le risque de contamination était donc neuf fois inférieur avec le cabotegravir.

Les deux formes de Prep ont néanmoins toutes deux confirmé leur très grande efficacité au cours de la phase III de l’essai en double aveugle, qui comprenait 3223 femmes âgées de 18 à 45 ans exposées face au VIH et vivant dans sept pays d’Afrique subsaharienne (Botswana, Kenya, Malawi, Afrique du Sud, Eswatini, Ouganda et Zimbabwe).

Suite aux très bons résultats de cette analyse intermédiaire, le comité indépendant de surveillance de la sécurité et des données de l’essai a recommandé que toutes les participantes de l’étude puissent savoir quels médicaments elles avaient reçu jusqu’à présent et que celles sous Prep orale puissent avoir accès aux injections de cabotégravir.

Pour lire la suite de l’article, rendez-vous sur le site : VIH.ORG