Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Source: Greypride.fr

Dans le cadre de la semaine des fiertés, GreyPride était invité début Juin, par ACT Up Sud-Ouest et Diverseniors. La toute nouvelle exposition #REVOLUTIONSENIOR a été présentée. Elle décline leur campagne sur les thèmes de l’habitat, de la sexualité, des services et du regard que nous portons sur la vieillesse.

Un débat autour de ces thèmes a permis d’aborder toutes les questions que se posaient les participant-e-s.
Prochaine expo et conférence à REIMS du 15 au 25 octobre.

Séjour Vacances

Le séjour proposé à la Seyne-sur-mer au mois d’octobre prochain a remporté un grand succès. En quelques jours toutes les places disponibles ont été réservées. Devant ce succès, la proposition d’autres séjours pour 2020 a été pensée. Ne vous désespérez pas si votre demande de participation n’a pas été retenue pour ce premier séjour, d’autres vont suivre…

Cohabitation entre seniors

Les travaux de l’appartement parisien ne sont toujours pas finis, mais il y a le projet d’un deuxième appartement de 3 ou 4 personnes.

Consultations médicales pour senior gay

En partenariat avec le CEGGID de l’Hotel Dieu, est proposée une consultation médicale aux seniors LGBT. Le but : pouvoir parler librement de sa vie sexuelle, faire des tests ou demander des conseils auprès de médecins avec qui ont peu échanger sur tous les sujets concernant notre vie sexuelle. Ils réfléchissent à mettre en place des consultations équivalentes pour les femmes et les personnes trans âgées.

Partenariats santé

Le groupe santé de GreyPRIDE développe plusieurs projets de partenariats avec le SPOT, AIDES, Vers PARIS SANS SIDA…
Ils ont, notamment, en projet la réalisation de brochures concernant la santé des seniors LGBT+
Les seniors sont trop souvent oubliés des dispositifs de prévention et de tous les sujets concernant leur santé sexuelle.

Festival #LOUDANDPROUD

Le festival qui célèbre les cultures queer, qui se déroulera du 4 au 7 juillet 2019, et pour sa troisième édition, à la Gaîté Lyrique.
Cette année Juliette Rennes, sociologue et maitre de conférences à l’EHESS, est reçue pour le temps de rencontre « passée la date limite » le samedi 6 Juillet à 17h30 en accès libre. Une rencontre intéressante.
Lors de cet évènement l’idée est aussi de proposer au public de prendre la parole pour témoigner de son vécu, de ce fait il nous semble intéressant que des membres de votre association peuvent si ils le souhaitent venir témoigner à ce temps d’échange.

 

Source : seronet.info

Les taux d’infection au VIH continuent d’augmenter dans un tiers des pays de l’Espace économique européen (EEE). C’est-à-dire les États membres de l’Union européenne (UE) plus l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège. Et cela, en dépit d’une baisse globale de la prévalence du VIH dans l’ensemble de la zone, a expliqué (3 juin) un envoyé de l’UE.

D’alarmantes statistiques…

Entre 25 000 et 30 000 nouveaux cas sont signalés chaque année dans les pays de l’EEE, a indiqué à l’Assemblée générale des Nations Unies Silvio Gonzato, chef adjoint de la délégation de l’UE auprès de l’Onu. « Ces statistiques sont alarmantes », a-t-il ajouté, cité par l’AFP. En 2018, environ 800 000 personnes vivaient avec le VIH dans les pays de l’EEE, et environ 14 % d’entre elles n’avaient pas encore été diagnostiquées, a précisé Silvio Gonzato.

Dans les pays de cette zone, 86 % des personnes infectées par le VIH ont actuellement été diagnostiquées ; 91 % des personnes diagnostiquées reçoivent un traitement, et 92 % des personnes diagnostiquées et traitées présentent une charge virale indétectable, a-t-il affirmé.

Conséquences d’inégalités sociales ?

Cela donne une idée du niveau de réponse concernant l’objectif 90-90-90 de l’Onusida (1).

L’épidémie continue de toucher de manière disproportionnée les populations les plus vulnérables et les plus marginalisées socialement, comme les travailleuses du sexe, les personnes sans-papiers, les personnes consommatrices de drogues injectables, celles qui sont en détention, etc.

« En conséquence, les politiques sociales et les politiques de santé doivent travailler main dans la main pour atteindre ceux qui courent le plus de risques. Nous devons renforcer la solidarité envers les plus vulnérables d’entre nous, et veiller à mettre davantage l’accent sur les stratégies de prévention, la formation et les services de santé, y compris pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et pour les personnes transgenres », a ajouté Silvio Gonzato.

Les objectifs européens dans la lutte contre le VIH !

Il a également souligné l’importance du renforcement des systèmes de santé publique. Il a précisé que l’UE et ses États membres étaient à l’avant-garde de la lutte contre le VIH dans les pays partenaires. Notamment grâce à leur soutien de longue date au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Les financements versés par la Commission européenne et les États membres de l’UE représentent en effet près de la moitié du financement total de cette initiative mondiale. Il n’en demeure pas moins que ces fonds restent insuffisants aujourd’hui pour en finir avec l’épidémie.

Source : seronet.info

La consommation de drogues est plus courante chez les hommes, indique (11 juin) l’Onusida. Les femmes ne représentent qu’un tiers des personnes consommatrices de drogues et seulement un cinquième des personnes qui s’injectent des drogues.

Même si peu de pays mettent à disposition de l’Onusida des données ventilées par sexe relatives aux personnes s’injectant des drogues, la majorité des données accessibles au public indiquent que les femmes, qui s’injectent des drogues sont plus vulnérables que les hommes au VIH, à l’hépatite C et aux infections transmises par le sang.

Une vulnérabilité spécifique

Ainsi dans seize pays des 21 qui ont fourni ce type de données depuis 2013 : les femmes qui s’injectent des drogues sont plus susceptibles de vivre avec le VIH que leurs homologues masculins. En Allemagne, en Ouganda et en Ouzbékistan, la prévalence du VIH parmi les femmes, qui s’injectent des drogues est presque deux fois plus élevée que chez leurs homologues masculins. Elle est également supérieure dans des pays comme l’Estonie, les Philippines, l’Ukraine, l’Inde, la Suisse, la Chine, le Kazakhstan, la Grèce, l’Ouzbékistan, le Mexique, etc.