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Les PvVIH présentent une sensibilité accrue à certaines infections contre lesquelles il existe un vaccin, le pneumocoque ou la grippe, par exemple. Elles sont aussi plus exposées à certains virus comme le VHB.

En cas d’immunodépression, les vaccins sont moins efficaces, d’autant plus si le taux de lymphocytes T CD4 est inférieur à 500/mm3, a fortiori inférieur à 200/mm3. Une charge virale mal contrôlée par le traitement antirétroviral contribue aussi à diminuer la protection conférée par les vaccins. Des rappels plus fréquents peuvent être nécessaires.

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Sources : CRIPS-IDF

Suite à une saisine adressée le 23 février 2015 par Patrick Yeni, Président du CNS, et Jean-François Delfraissy, directeur de l’ANRS, le groupe d’experts chargé de l’actualisation des recommandations de prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH en France, dirigé par le professeur Philippe Morlat, a rédigé deux documents distincts, désormais disponibles en ligne.

Le premier, consacré à la Prophylaxie Pré-Exposition (PrEP), a été remis à la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes le 8 octobre.

Le deuxième, adressé à la ministre le 24 novembre, est une actualisation 2015 du rapport d’experts rédigé en 2013 et partiellement actualisé en 2014. Cette actualisation regroupe :
-la création d’un nouveau chapitre intitulé « Optimisation du traitement antirétroviral en situation de succès virologique » (situation communément appelée « switch») qui se substitue au paragraphe du même nom au sein du chapitre « Traitement antirétroviral de l’infection à VIH1 chez l’adulte » ;
-une courte mise au point concernant la « co-infection par le virus de l’hépatite C » ;
-une actualisation des chapitres « Prise en charge de l’enfant et de l’adolescent » et « Désir d’enfant et grossesse ».

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