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SIDA : une molécule d’un laboratoire montpelliérain réduirait la charge virale même après l’arrêt de la trithérapie (Toutmontpellier)

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L’équipe de Jamal Tazi de l’Institut de génétique moléculaire de Montpellier dévoile le mécanisme d’action révolutionnaire de la molécule ABX464, premier candidat médicament pour les patients atteints du VIH dont l’effet persiste même après l’arrêt du traitement. Ces travaux viennent d’être publiés dans la revue Retrovirology.

À l’heure actuelle, les différents traitements visant à réduire la charge virale chez les patients infectés par le VIH font intervenir des molécules destinées à inhiber soit l’activité enzymatique de la transcriptase inverse virale, soit la protéase impliquée dans la maturation des protéines du virus, soit l’intégrase pour bloquer l’intégration du génome virale dans le génome des cellules infectées ou soit l’entrée des virus dans la cellule. Le plus souvent ces traitements sont donnés aux patients sous la forme d’une combinaison de trois molécules afin de réduire la charge virale. Cette trithérapie rétrovirale (ART) bien qu’efficace, nécessite une administration quotidienne, favorise l’émergence des résistances et l’arrêt du traitement résulte inévitablement en un rebond viral, imposant en général un traitement à vie des patients.

Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’article sur le site de Toutmontpellier.

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