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Plus de 500 000 personnes vivent avec le VIH/SIDA en République Démocratique du Congo.

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Source : Zoom-Eco

Plus de 500 000 personnes vivent avec le VIH/SIDA en République Démocratique du Congo. La Directrice pays de l’ONUSIDA, Susan Kasedde Muwanse, l’a déclaré à l’issue de la rencontre ce lundi 19 avril 2021 avec le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, Charly Nzanzu Kasivita.

Elle conduisait une délégation conjointe composée de l’ONUSIDA, du Programme National Multisectoriel de Lutte contre le Sida (PNMLS) et du Programme National de Lutte contre le VIH/SIDA (PNLS).

Leur mission s’inscrit dans le cadre du renforcement de la stratégie de riposte au VIH/SIDA dans la province du Nord-Kivu.

A cet effet, Madame Susan Kasedde Muwanse a rassuré ses interlocuteurs que l’ONUSIDA sera toujours aux côtés d’autres partenaires dans la lutte contre le VIH/SIDA.

« Vous pouvez absolument compter sur l’ONUSIDA pour continuer de mobiliser et d’accompagner la riposte au VIH », a-t-elle souligné.

D’après elle, le VIH se situe encore en bonne place parmi les grands défis à relever en République Démocratique du Congo.

« Pour nous, ONUSIDA et autres partenaires ainsi que la société civile, nous voulons voir qu’il y ait cette continuité d’accès au service de prévention et de prise en charge et une qualité de soin qui permettent que ceux qui sont touchés par le VIH vivent dignement. Nous avons tout ce qu’il faut pour y arriver si nous conjuguons les efforts », a affirmé la Directrice pays de l’ONUSIDA.

Pour sa part, le Secrétaire exécutif national adjoint du PNMLS, Docteur Bossiky Ngoy Belly, a salué l’engagement de l’autorité provinciale dans la lutte contre le VIH/SIDA et dit avoir envisagé des pistes de solution, en synergie avec les partenaires, afin de stopper la propagation de cette maladie au Nord-Kivu.

« Dans le contexte actuel où nous avons fourni beaucoup d’efforts pour pouvoir stopper l’évolution du VIH, si nous relâchons ces efforts en dépit d’autres problèmes que nous avons, notamment Covid-19 et Ebola, ça sera catastrophique surtout avec notre jeunesse qui reste très exposée. Il nous faut donc fournir les derniers efforts pour pouvoir stopper cette épidémie », a-t-il soutenu.

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