La réglette des interactions médicamenteuses est un outil pratique conçu pour vérifier les interactions entre votre traitement VIH ou VHC et les autres médicaments, les drogues récréatives, ainsi que certaines plantes utilisées en phytothérapie que vous seriez amené·e à prendre.
Cette réglette n’est pas un outil de diagnostic ni un dispositif médical, elle n’a pas vocation à se substituer à l’avis de votre médecin ou pharmacien·ne. En cas de doute, demandez conseil à un·e professionnel·le de santé.
Interactions avec les ARV contre le VIH
L'outil de l'Université de Liverpool est une référence mondiale et nous sommes fier·ères de vous présenter la version traduite en français. L'outil est régulièrement mis à jour et disponible en anglais, français ainsi qu'en espagnol et portugais grâce à la fondation Huésped.
Interactions avec les AAD contre l'hépatite C
Pour les interactions médicamenteuses avec les AAD contre l'hépatite C, vous pouvez toujours utiliser l'outil de recherche ci-dessous :
Comment ça marche ?
Les médicaments et plantes sont présentés sous leur nom de substance active appelé DCI (dénomination commune internationale) ; les drogues sous le nom de substance psychoactive ou leur nom d’usage. Si vous ne trouvez pas le nom commercial de votre médicament, retrouvez sa DCI sur la page de présentation des médicaments de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
Renseigner votre traitement antirétroviral (ARV) puis le traitement dont vous souhaitez vérifier les interactions.
Si le resultat s'affiche :
- en vert, il n'y en a pas,
- en jaune, une interaction faible est possible et des précautions sont à prendre,
- en orange, une interaction potentielle est possible, parlez-en à votre médecin,
- en rouge, l'association est déconseillée.
La réglette comporte les différentes molécules pour lesquelles il existe un risque d’interaction avec au moins un ARV ou AAD. Pour les interactions avec les combinaisons d’ARV et AAD : si les interactions varient avec les différentes molécules de la combinaison, c’est le degré d’interaction le plus fort qui a été retenu.
