Source:sondage.app.u-paris.fr
Nous savons aujourd’hui que des difficultés de prise en charge ou de communication autour des complications du CHEMSEX peuvent se poser avec le médecin généraliste. Cette étude a pour but d’évaluer les facteurs associés au fait de parler du CHEMSEX au médecin généraliste chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) qui le pratiquent.
- Nous cherchons, grâce à vos réponses, à apporter des constats solides et ainsi à améliorer la prise en charge du CHEMSEX et des complications qui y sont associées.
- C’est anonyme et gratuit… et cela prend moins de 10 minutes !
- L’enquête est réalisée dans le cadre d’une thèse de médecine générale dirigée par le Dr Thibaut JEDRZEJEWSKI.
- Elle est ouverte à tous hommes cis (hommes non-trans, qui vivent dans le genre qui leur a été assigné à la naissance) ayant une attirance pour d’autres hommes, majeurs et résidant en France métropolitaine.
- Concernant les personnes trans, les spécificités de santé et des parcours liés à la fois à la sexualité, au sexe et au genre des personnes amènent de nombreuses questions dédiées qui demandent un questionnaire à part entière, une étude ultérieure spécifiquement construite pour cette population nous semble indispensable et nous motivons toute initiative dans ce sens.
- Définition du CHEMSEX vis-à-vis de cette étude : consommation, en lien avec un contexte sexuel entre hommes (avant et/ou pendant l’activité sexuelle), de cathinones (3MMC/3CMC ou dérivés : alpha-PHP, 4MMC, etc…), de GHB/GBL, de métamphétamine (Crystal-Meth/Tina) de cocaïne ou de kétamine en excluant l’alcool, le cannabis et les poppers.
Sondage disponible ici:sondage.app.u-paris.fr