Source:journaldemontreal.com
Les femmes victimes de violences conjugales seraient trois fois plus susceptibles de développer le VIH et 9 % moins sujettes à en guérir, a récemment conclu une étude de l’Université McGill.
«Nous voulions examiner l’effet que la violence conjugale avait eu sur les récentes infections au VIH et sur l’accès des femmes aux soins destinés aux personnes atteintes du VIH dans cette région», a indiqué Mathieu Maheu-Giroux, professeur à l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en modélisation de la santé des populations par communiqué.
Pour se faire, l’équipe a étudié l’Afrique subsaharienne, une des régions dans le monde où «la fréquence de la violence conjugale et des infections au VIH est la plus élevée», a-t-il ajouté.
L’équipe de recherche a découvert un lien direct entre la violence conjugale physique ou sexuelle dans la dernière année et une infection récente au VIH.
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